"Art & Sport"-"Made in China" (2008) Ζωγραφική από Corine Sylvia Congiu

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Cette série a été créée en 2008 pour les peintures, à l’occasion des Jeux Olympiques qui ont eu lieu du 8 au 24 août en Chine à Pékin et six autres villes chinoises. Quant à la série de photographies, elle est née en 2009, et concerne les Jeux mondiaux de 2009 qui se sont déroulés à Kaohsiung, Taïwan, du 16 au 26 juillet 2009. Cette 8e édition[...]
Cette série a été créée en 2008 pour les peintures, à l’occasion des Jeux Olympiques qui ont eu lieu du 8 au 24 août en Chine à Pékin et six autres villes chinoises.
Quant à la série de photographies, elle est née en 2009, et concerne les Jeux mondiaux de 2009 qui se sont déroulés à Kaohsiung, Taïwan, du 16 au 26 juillet 2009. Cette 8e édition regroupait des sports non-inscrits au programme des Jeux olympiques. Près de 4 500 athlètes issus de 99 nations ont participé à cet évènement. Parmi eux ne figurait pas le TAI CHI CHUAN auquel je rends cet hommage. Celui-ci n’est plus pratiqué seulement par des émules qui se spécialisent dans un «sport» de combat, mais devient de plus en plus populaire comme prophylaxie physique et mentale, dans un monde où la santé de la Nature et des hommes devient objectif prioritaire.

Deux tableaux de 200 cm sur 200 cm, toile transparente sur châssis fabriqués sans les éléments centraux verticaux et horizontaux, afin que le tableau ressemble en transparence à un écran, et en fasse office au cours d’une performance filmée dont sont nées les photographies : les ombres chinoises d'un corps en mouvement derrière le tableau dessinent des figures de tai chi chuan, épée, éventail, sabre.

1) Les peintures « Jeux et jouets Made in China »
Le tableau est peint avec les 5 couleurs des 5 anneaux olympiques, rouge, vert, noir, jaune, bleu.
Peint au sol tout autour sans tenir compte de la verticalité traditionnelle, son sens est lisible de tous les côtés, les figures se juxtaposent et se superposent au bord du tableau, comme si le couvert était mis sur la table pour déjeuner. Ainsi il trouve aussi sa cohérence en étant posé horizontalement sur le sol.

Les objets que j'ai utilisés en pochoirs sont presque tous des objets fabriqués en Chine, et achetés en France. Une insistance visible sur les objets toxiques qui ont fait scandale dans la presse : les couverts en plastiques au peroxyde d'urée (potentiellement toxique quand il est chauffé) et les poupées Barbie à la peinture de plomb, ses accessoires aux aimants meurtriers.

Des Jeux Olympiques aux jouets d'enfants, ces hauts lieux de la transmission des valeurs, les représentations symboliques et culturelles s'échangent par le biais du commerce des jouets et la mondialisation des médias visuels.

Les objets sont disposés comme des écritures hiéroglyphiques dont les paradigmes sont identifiables mais la syntaxe nous reste mystérieuse. Seul indice de lecture, la disposition de la table mise tout autour du carré en signe de convivialité et d'échanges frontaux. En outre les connexions entre les lieux et les choses semblent se faire aussi latéralement par ces empreintes de fils USB qui improvisent des connexions ludiques.

Nos petits soldats de plomb jouent à la guerre avec Batman, et des alignements similaires de toutes sortes de volailles, tous arrangés en collections comme outils pendus au mur d'un établi, évoquent leur instrumentalisation dans le grand jeu international du commerce et de la dévoration mutuelle et aléatoire des puissances.
Ne se met-on à table pas seulement pour déjeuner, mais aussi pour les jeux appelés « de société », dans lesquels les figures simples et identiques se déplacent sur leur socle en armées rangées et avancent, identifiables aux parties opposées uniquement par leur couleur en effigie (semblables aux pions de la plupart des jeux de société –Monopoly, Petits Chevaux, jeu de l'oie, etc. – où ils évoluent sur un support plan quadrangulaire .)

B) Les photographies.
Derrière le tableau dressé verticalement et servant d'écran, en ombres chinoises, en performance muette, une série d'actions est projetée sur la toile et filmée, et les photographies en sont des copies d’écran.
Ces actions sont issues des postures du Tai Chi Chuan, comme métonymie des Arts Martiaux qui nous
viennent de la Chine.
Le Tai Chi Chuan est à la fois un jeu dans toutes ses acceptions de catharsis, d'échanges entre partenaires d'un même monde, et de symbolisation de combat entre adversaires qui sont les caractéristiques de tout sport collectif occidental ; mais il est originairement comme tout art martial, beaucoup plus qu'un jeu, c'est-à-dire une pratique reliant toutes les fonctions humaines profanes et sacrées dans un art de vivre qui a fasciné les artistes du 20° siècle ; au point que les pratiques asiatiques soient devenues une référence et un modèle récurrents, dans l'engouement global pour les pratiques primitives rituelles qui s'opposent au morcellement schizophrénique occidental.

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Corine Sylvia Congiu, née le 5 août 1953 à Meknès au Maroc, est une artiste contemporaine française qui vit et travaille dans l'Essonne. Reçue à l’agrégation d'Arts Plastiques, elle effectue[...]

Corine Sylvia Congiu, née le 5 août 1953 à Meknès au Maroc, est une artiste contemporaine française qui vit et travaille dans l'Essonne.

Reçue à l’agrégation d'Arts Plastiques, elle effectue un DEA d’Esthétique, deux ans de philosophie à La Sorbonne tout en entreprenant une carrière de peintre. 

Artiste plasticienne protéiforme dont le medium privilégié demeure cependant la peinture, elle pratique également le dessin, la photographie, la vidéo, publie un roman et plusieurs nouvelles, sélectionnées par prix et concours.

Depuis 1987, elle expose régulièrement ses œuvres en galeries (Galeries Jean, Keller, Génie de la Bastille à Paris, A propos d'Art à Argenteuil, Galerie Depardieu à Nice), salons (Villeparisis, Montrouge, Comparaisons, Première Vision, Art Cité...), Centres culturels (Institut du Monde Arabe...) Musées (Brunoy et Musée de Damas, Syrie) et autres lieux notables (Prieuré Saint-Nicolas Sables d'Olonne, Chapelle Saint Nicolas, Croissy sur Seine)

En 1992, elle réalise une Commande Publique, environnement peint (sol, murs et colonnes)  de 350 m2 dans le hall du Lycée Hugues-Capet à Senlis.

À partir de 1995, ses œuvres sont exposées à Moscou, Séoul, Hong Kong, Alexandrie, Gênes, San Francisco, Alger, Damas, Chicago, Rio de Janeiro, Vienne, Ferrare, Vooburg, Budapest.

En 1998, lauréate du Concours de la Ville d’Evry, Abolition de l’esclavage, elle accomplit une peinture de 10 m × 2 m, dont elle fait don au Téléthon.

A partir de 1994, elle collabore, en tant qu'actrice et scénographe, au travail de Luc Fritsch, dramaturge et metteur en scène : Elle crée la totalité de l'environnement pictural, au Théâtre de l’Hôpital Ephémère, 25 tableaux projetés sur grand écran (3m x 4m) pour la performance théâtrale "Ruines / L'Après-Vietnam à travers la survie d'un couple" et assure le premier rôle féminin. Elle participe aux décors et crée le premier rôle de "La Ballade des mégots secs", de Bernard Mazéas, mise en scène par L. Fritsch en 1999 dans la Cave à Théâtre à Colombes.

En 2004, pour une commande de la Fondation Art Dialogue sous l'Egide de l'Institut de France, elle exécute l'installation Histoire d’une ligne, dix toiles monumentales de 400 cm × 200 cm  et 200 cm × 200 cm  sur les murs de la Ville de Yerres, et obtient un achat par la ville.

En juin 2014, elle réalise les peintures et les dessins pour Cosmophonies, spectacle à double voix conçu au Théâtre des Bouffes du Nord  par Hubert Reeves dans le cadre du Festival Jazz Nomades.

Elle publie des textes dans des revues universitaires, élaborant une théorie des Figures abstraites, qui distingue son travail de l'abstraction lyrique traditionnelle. A la fois gestuelles et géométriques, ces "Figures de la pensée" jouent comme rébus de signes superposés dans le filigrane de la toile : « Mon tableau est un lieu ouvert où se joue un théâtre de figures abstraites, qui ont une énergie, un parcours, un rôle au sein d’actions qui forment une dramaturgie. »

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