Jean Francois Bottollier
Η σωστή ερώτηση δεν είναι να ξέρεις πόσο καιρό ζωγραφίζω αλλά να ξέρεις πότε σταμάτησες.
Όλα τα έργα τέχνης από Jean Francois Bottollier
2016-2017-2018-2019 : Des Origines du Mulet Fertile • 17 έργα τέχνης
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Invitation à l'exploration de notre mémoire archaïque
2018 - 2019 - 2020 - 2021 Dessins • 37 έργα τέχνης
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Travaux sur papier à partir de textes originaux.
2014-2015-2016 : Les Nouveaux comptes des Mille et une Nuits • 13 έργα τέχνης
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Acryliques, Pastels Gras et Stylo bille
2014 - Tableaux d'une exposition. • 15 έργα τέχνης
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15 toiles en cours, de 60x60 à 120x120. Interprétation de l’œuvre de Modeste Moussorgski orchestrée [...]
15 toiles en cours, de 60x60 à 120x120.
Interprétation de l’œuvre de Modeste Moussorgski orchestrée par Maurice Ravel.
Version du Chicago Symphonic Orchestra dirigé par Carlo Maria Giulini.
Interprétation de l’œuvre de Modeste Moussorgski orchestrée par Maurice Ravel.
Version du Chicago Symphonic Orchestra dirigé par Carlo Maria Giulini.
2014 - Soldats homonymes • 9 έργα τέχνης
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2014 • 9 έργα τέχνης
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2012 - 2013 • 12 έργα τέχνης
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Influencé, sur le plan formel par les Enluminures
2009 - 2012 De Kerouac à Colas • 9 έργα τέχνης
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La route Masqué derrière les reflets du pare-brise Sous l’œil clignotant de mon bus Je t’ai vue Lola [...]
La route
Masqué derrière les reflets du pare-brise
Sous l’œil clignotant de mon bus
Je t’ai vue Lola me regarder sans surprise
Plantée comme un piquet à l’arrêt du campus.
Mouflette tu es montée souriante : « hello gus ! »
Et mutine ce matin là « J’ai un ticket pour L.A »
Oh Minos et les enfers que n’ai je murmuré « Hello L.A »
A mes côté sur la moleskine tu as posé les fesses
Et glissé sous la banquette un cabas laid,
Les baskets en arrière tu l’as bloqué des talons,
Les lacets défaits sous les jambes d’un pantalon
Couvert de zips, de badges, et qui s’affaisse
En route pour les routes, la traversée nationale,
De koenigsbourg à Hossegor il n’y a pas loin de la mer à l’Amérique.
And that’s right kids! With a yeah, Yeah! Yellow bus !
Vibrent les fontes, les cuivres, dans le tempo de la mécanique,
Les tôles s’ébrouent dans un vacarme infernal,
Un passager tintamarre,
Un Rock And Roll pour ma Lo La Woman
Affublée d’une bande d’énergumènes
Et lorsque les portes se referment,
Automatiques,
Je démarre
Tandis que tes camarades comme autant de professeurs nimbus,
Hagards, regardent défiler les pointillés blancs
Avachie, tu songes aux vagues du Michigan, aux embruns, à l’écume,
Ton regard plane au loin sur l’air qui ondule au raz du bitume,
Les yeux calés à la ligne médiane et le dos collé au skaï, des démons te gagnent
Tu songes à Chicago, Amarillo, Albuquerque, et plus loin l’océan
At « The Mother Road » de Steinbeck, la Grande Diagonale
Qui t’emporte de l’Illinois aux Côtes occidentales.
Tu rêves d’un matin dans les rochers, l’aurore azurée à fleur de montagne
D’un après midi atonal, où sous un soleil à l’aplomb file le macadam.
De soirs dans la tiédeur des néons, des Motels, des Buick et des Cadillac
De celles qui attisent les envies et attirent les dames
Ou finissent plantées sur le talus de la route de Kerouac.
La nuit tout est calme. Les Nimbus dorment au rythme du diesel
Des ombres tracées par la lune se dessinent sur les visages blafards
Ta raison se perd en traversant Flagstaff.
Le temps qui s’étend au bout de la route entre les phares
Serpente à l’est de l’Eden au gré du ruban d’asphalte
Par endroit jalonné de poteaux du télégraphe.
Puis longtemps après l’horizon de l’Arizona
Santa Anna et Santa Monica déploient leurs ailes pacifiques
Et d’un simple regard en arrière, jusqu’aux grands lacs,
D’Hossegor, ou Soulak, dans des parfums d’iode et de sel
Tu reviens au soleil de l’atlantique
Et de ce côté, retrouves la raison là
Masqué derrière les reflets du pare-brise
Sous l’œil clignotant de mon bus
Je t’ai vue Lola me regarder sans surprise
Plantée comme un piquet à l’arrêt du campus.
Mouflette tu es montée souriante : « hello gus ! »
Et mutine ce matin là « J’ai un ticket pour L.A »
Oh Minos et les enfers que n’ai je murmuré « Hello L.A »
A mes côté sur la moleskine tu as posé les fesses
Et glissé sous la banquette un cabas laid,
Les baskets en arrière tu l’as bloqué des talons,
Les lacets défaits sous les jambes d’un pantalon
Couvert de zips, de badges, et qui s’affaisse
En route pour les routes, la traversée nationale,
De koenigsbourg à Hossegor il n’y a pas loin de la mer à l’Amérique.
And that’s right kids! With a yeah, Yeah! Yellow bus !
Vibrent les fontes, les cuivres, dans le tempo de la mécanique,
Les tôles s’ébrouent dans un vacarme infernal,
Un passager tintamarre,
Un Rock And Roll pour ma Lo La Woman
Affublée d’une bande d’énergumènes
Et lorsque les portes se referment,
Automatiques,
Je démarre
Tandis que tes camarades comme autant de professeurs nimbus,
Hagards, regardent défiler les pointillés blancs
Avachie, tu songes aux vagues du Michigan, aux embruns, à l’écume,
Ton regard plane au loin sur l’air qui ondule au raz du bitume,
Les yeux calés à la ligne médiane et le dos collé au skaï, des démons te gagnent
Tu songes à Chicago, Amarillo, Albuquerque, et plus loin l’océan
At « The Mother Road » de Steinbeck, la Grande Diagonale
Qui t’emporte de l’Illinois aux Côtes occidentales.
Tu rêves d’un matin dans les rochers, l’aurore azurée à fleur de montagne
D’un après midi atonal, où sous un soleil à l’aplomb file le macadam.
De soirs dans la tiédeur des néons, des Motels, des Buick et des Cadillac
De celles qui attisent les envies et attirent les dames
Ou finissent plantées sur le talus de la route de Kerouac.
La nuit tout est calme. Les Nimbus dorment au rythme du diesel
Des ombres tracées par la lune se dessinent sur les visages blafards
Ta raison se perd en traversant Flagstaff.
Le temps qui s’étend au bout de la route entre les phares
Serpente à l’est de l’Eden au gré du ruban d’asphalte
Par endroit jalonné de poteaux du télégraphe.
Puis longtemps après l’horizon de l’Arizona
Santa Anna et Santa Monica déploient leurs ailes pacifiques
Et d’un simple regard en arrière, jusqu’aux grands lacs,
D’Hossegor, ou Soulak, dans des parfums d’iode et de sel
Tu reviens au soleil de l’atlantique
Et de ce côté, retrouves la raison là
Sculptures et Résines 2008 - 2013 • 12 έργα τέχνης
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second degré 2008 • 12 έργα τέχνης
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Second degré Eugène erre dans le temps et l’ennui d’une nuit tiède et noire. Seul le halot blafard des [...]
Second degré
Eugène erre dans le temps et l’ennui d’une nuit tiède et noire.
Seul le halot blafard des halogènes perce l’obscurité du trottoir
Tandis qu’un chien jaune, un très vieux mâle,
La truffe perlée de sueur, promène son profil squelettique,
Sur la piste d’une femelle en chaleur, au pieds des réverbères
De sa mise faite de trafics qui tournent mal,
Lustré le pantalon de tergal, l’imperméable mastique
le gilet léger, la chemise de viscose ;
Ce soir sur le boulevard balnéaire
Résonne l’air de l’hère et de la cloche.
Baignant dans sa sueur, il se sent crasseux, collant et moche
A errer tard, dans les rues du Tréport.
Ses yeux sont cernés de paupières gonflées et roses
Ses cheveux, sont d’épais épis gras plaqués en arrière.
Deux plis amers et las partent d’un nez busqué
Et encadrent en creux un visage aux traits forts.
La main étreignant dans sa poche,
d’une arme blanche, le manche de palissandre.
d’un pas lent, il marche, le long des palissades.
Au-delà s’étend un parc de lauriers odorants
De massifs, de par terre de giroflées, de coreopsis
Qui dans la chaleur du soir exhalent des fragrances d’épice,
De miel, de résines, dans l’ombre épaisse des épicéas.
Un pavillon élégant et tranquille se découpe au sommet d’un tertre
La lumière brille dans la demeure et sous la marquise
Eugène regarde avec envie, le chien à ses pieds demeure dans une langueur exquise
Ils gravissent l’allée gravillonnée, les cailloux crissent sous les pas
La démarche est prudente et muette
Un pas, 2 pas, pas 3 peut être les séparent des marches du perron
Un degré, 2 degrés ; 3 peut être, l’amène sous la fenêtre
Engoncé dans ses effets, accroupi sous le couvert des lilas
Avec le chien tapi sur la terrasse de la villa.
A travers les rideaux de nylon une ombre paresse
Une femme lourde, rousse, le visage rond
Déambule en déshabillé et bas de soie collants à la peau. Il la vit là.
Les mains filant sur l’étoffe, elle se caresse,
Assurée de son quant à soi dans la touffeur vespérale.
Sur les tapis, de l’alcôve au vestibule
Ou pieds nus sur le carrelage d’un vaste salon
Sure d’elle et crane, elle ondule
Et ondoie en arabesques orientales
Oubliant pour un soir ses airs de vestale
Et toutes ces manières ridicules.
Son bas est filé de haut en bas traçant une échelle au talon.
Dans un soupir
Il la verrait rouge de poil, touffue, hirsute, avenante, vaste et molle,
Des lèvres carminées ourlant un large sourire
Une invitation paisible, mouillée et silencieuse
Une invention possible, brouillée et licencieuse.
Son regard remonterait le long de ses cuisses :
- « jusqu’où la peau et la chaire plus sombres paraissent,
presque noires, et plus douces » se dit il dans la pénombre
- « jusque là où la peau et la chaire béante me mettent au supplice »
Et puis elle l’attendrait provocante, pleine de vice sur le vis à vis,
- « les yeux rivés aux miens, une jambe passée sur le dossier,
la main gauche abandonnée sur le pubis »
Deux seins chauds, ronds, pleins, paresseux, aux larges aréoles
la peau laiteuse, par endroit veinée de filigranes bleutés,
Son parfum, une douce chaleur humide
- « o mon amour, o mon amour, tu me tues
dans le tumulte de tes voiles et de ton cul »
Il a vu entrer en catimini , un voleur sans scrupules,
Un assassin à la solde du mari, son bourgeois
Le bras levé et menaçant s’approcher d’elle, les pas étouffés par le tapis.
Eugène s’est levé, les doigts serrés sur le manche du couteau
Se protège le visage de la manche du manteau,
Brise le carreau et traverse la croisée
Sa lame effilée bat, menace, entaille et fend le flanc de la racaille qui rougeoie
Le chien, babines retroussées grogne et écume
Blessé, effrayé, le tueur à gage dégage, la canaille a filé jusqu’en bas
Dévalé l’allée, à travers massifs de fleurs et rocailles.
La femme hystérique, hurle et pleure, ses cris résonnent
Sur les carreaux de ciment rouges et verts
Au milieu du bruit et des débris de verre
En transe, échevelée elle déraisonne.
Puis, tout s’est calmé, ils sont restés pleins de peur et de sanglots.
Elle hébétée sur le canapé, lui cherchant un point d’eau.
Dans la salle de bain carrelée de marbre blanc
Il regarde ses mains poissées de sang
les passe sous l’eau tiède et les savonne
de mousse rosit l’émail du lavabo.
Ses yeux dans le miroir jètent un regard vide
Et sa bouche prognathe marquée de 2 rides
N’exprime que dégoût et amertume
Eugène a quitté le drame aux pâleurs de l’orient
Aux lueurs matutinales il a laissé la dame à son infortune,
Passé le portail 3 liasses de billets verts, une fortune
Laissée par la canaille l’attendaient sur le bitume
Eugène erre dans le temps et l’ennui d’une nuit tiède et noire.
Seul le halot blafard des halogènes perce l’obscurité du trottoir
Tandis qu’un chien jaune, un très vieux mâle,
La truffe perlée de sueur, promène son profil squelettique,
Sur la piste d’une femelle en chaleur, au pieds des réverbères
De sa mise faite de trafics qui tournent mal,
Lustré le pantalon de tergal, l’imperméable mastique
le gilet léger, la chemise de viscose ;
Ce soir sur le boulevard balnéaire
Résonne l’air de l’hère et de la cloche.
Baignant dans sa sueur, il se sent crasseux, collant et moche
A errer tard, dans les rues du Tréport.
Ses yeux sont cernés de paupières gonflées et roses
Ses cheveux, sont d’épais épis gras plaqués en arrière.
Deux plis amers et las partent d’un nez busqué
Et encadrent en creux un visage aux traits forts.
La main étreignant dans sa poche,
d’une arme blanche, le manche de palissandre.
d’un pas lent, il marche, le long des palissades.
Au-delà s’étend un parc de lauriers odorants
De massifs, de par terre de giroflées, de coreopsis
Qui dans la chaleur du soir exhalent des fragrances d’épice,
De miel, de résines, dans l’ombre épaisse des épicéas.
Un pavillon élégant et tranquille se découpe au sommet d’un tertre
La lumière brille dans la demeure et sous la marquise
Eugène regarde avec envie, le chien à ses pieds demeure dans une langueur exquise
Ils gravissent l’allée gravillonnée, les cailloux crissent sous les pas
La démarche est prudente et muette
Un pas, 2 pas, pas 3 peut être les séparent des marches du perron
Un degré, 2 degrés ; 3 peut être, l’amène sous la fenêtre
Engoncé dans ses effets, accroupi sous le couvert des lilas
Avec le chien tapi sur la terrasse de la villa.
A travers les rideaux de nylon une ombre paresse
Une femme lourde, rousse, le visage rond
Déambule en déshabillé et bas de soie collants à la peau. Il la vit là.
Les mains filant sur l’étoffe, elle se caresse,
Assurée de son quant à soi dans la touffeur vespérale.
Sur les tapis, de l’alcôve au vestibule
Ou pieds nus sur le carrelage d’un vaste salon
Sure d’elle et crane, elle ondule
Et ondoie en arabesques orientales
Oubliant pour un soir ses airs de vestale
Et toutes ces manières ridicules.
Son bas est filé de haut en bas traçant une échelle au talon.
Dans un soupir
Il la verrait rouge de poil, touffue, hirsute, avenante, vaste et molle,
Des lèvres carminées ourlant un large sourire
Une invitation paisible, mouillée et silencieuse
Une invention possible, brouillée et licencieuse.
Son regard remonterait le long de ses cuisses :
- « jusqu’où la peau et la chaire plus sombres paraissent,
presque noires, et plus douces » se dit il dans la pénombre
- « jusque là où la peau et la chaire béante me mettent au supplice »
Et puis elle l’attendrait provocante, pleine de vice sur le vis à vis,
- « les yeux rivés aux miens, une jambe passée sur le dossier,
la main gauche abandonnée sur le pubis »
Deux seins chauds, ronds, pleins, paresseux, aux larges aréoles
la peau laiteuse, par endroit veinée de filigranes bleutés,
Son parfum, une douce chaleur humide
- « o mon amour, o mon amour, tu me tues
dans le tumulte de tes voiles et de ton cul »
Il a vu entrer en catimini , un voleur sans scrupules,
Un assassin à la solde du mari, son bourgeois
Le bras levé et menaçant s’approcher d’elle, les pas étouffés par le tapis.
Eugène s’est levé, les doigts serrés sur le manche du couteau
Se protège le visage de la manche du manteau,
Brise le carreau et traverse la croisée
Sa lame effilée bat, menace, entaille et fend le flanc de la racaille qui rougeoie
Le chien, babines retroussées grogne et écume
Blessé, effrayé, le tueur à gage dégage, la canaille a filé jusqu’en bas
Dévalé l’allée, à travers massifs de fleurs et rocailles.
La femme hystérique, hurle et pleure, ses cris résonnent
Sur les carreaux de ciment rouges et verts
Au milieu du bruit et des débris de verre
En transe, échevelée elle déraisonne.
Puis, tout s’est calmé, ils sont restés pleins de peur et de sanglots.
Elle hébétée sur le canapé, lui cherchant un point d’eau.
Dans la salle de bain carrelée de marbre blanc
Il regarde ses mains poissées de sang
les passe sous l’eau tiède et les savonne
de mousse rosit l’émail du lavabo.
Ses yeux dans le miroir jètent un regard vide
Et sa bouche prognathe marquée de 2 rides
N’exprime que dégoût et amertume
Eugène a quitté le drame aux pâleurs de l’orient
Aux lueurs matutinales il a laissé la dame à son infortune,
Passé le portail 3 liasses de billets verts, une fortune
Laissée par la canaille l’attendaient sur le bitume
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Αναγνώριση
Αναγνωρισμένος καλλιτέχνης
Ο καλλιτέχνης αναγνωρίζεται για τη δουλειά του
Ο καλλιτέχνης αναγνωρίζεται για τη δουλειά του
Εκτίθεται σε δημόσιες συλλογές
Τα έργα του καλλιτέχνη βρίσκονται σε μουσεία ή δημόσιες συλλογές
Τα έργα του καλλιτέχνη βρίσκονται σε μουσεία ή δημόσιες συλλογές
Επιλογή εκδότη
Τα έργα του καλλιτέχνη έχουν γίνει αντιληπτά από το συντακτικό επιτελείο
Τα έργα του καλλιτέχνη έχουν γίνει αντιληπτά από το συντακτικό επιτελείο
Παρουσιάζεται σε Art Fairs
Ο καλλιτέχνης συμμετέχει σε εκθέσεις τέχνης και εκθέσεις
Ο καλλιτέχνης συμμετέχει σε εκθέσεις τέχνης και εκθέσεις
Επαγγελματίας Καλλιτέχνης
Ασκεί το επάγγελμα του καλλιτέχνη ως κύρια δραστηριότητα
Ασκεί το επάγγελμα του καλλιτέχνη ως κύρια δραστηριότητα
Αυτοδίδακτος καλλιτέχνης
Ο καλλιτέχνης έχει αναπτύξει την τεχνική του μέσα από τη δική του καλλιτεχνική εμπειρία
Ο καλλιτέχνης έχει αναπτύξει την τεχνική του μέσα από τη δική του καλλιτεχνική εμπειρία
Βιογραφικό
Ο Jean-François Bottollier είναι ένας σύγχρονος Γάλλος καλλιτέχνης γνωστός για την αναζήτησή του για ανακάλυψη και νόημα μέσω της τέχνης του. Ένα φωτισμένο αυτοδιδάξιμο, το έργο του Bottollier έχει τις ρίζες του σε βαθύ προβληματισμό, αμφισβήτηση και ανανέωση, με επίσημες επιρροές από τη μεσαιωνική τέχνη, τα φλαμανδικά πρωτόγονα, την ιερή τέχνη και τα κόμικς.
Οι μοναδικοί χαρακτήρες του Bottollier χαρακτηρίζονται από τα παράλογα, παραμορφωμένα σώματα και τα τραχιά, πρωτόγονα πρόσωπά τους. Αυτές οι φιγούρες, που συχνά ορίζονται από τις σεξουαλικές τους ιδιότητες, λειτουργούν ως αρχέτυπα και σύμβολα, αντιπροσωπεύοντας τις διπλές όψεις της ανθρώπινης φύσης - την αγριότητα και το τερατούργιό μας μαζί με την ομορφιά και τη χάρη μας.
Η καλλιτεχνική έμπνευση του Bottollier εκτείνεται πέρα από την εικαστική τέχνη στη μουσική και τη λογοτεχνία, με ιδιαίτερη συγγένεια με τον Μεσαίωνα και τους Φλαμανδούς πρωτόγονους, συμπεριλαμβανομένων των έργων της Bosch. Η τέχνη του ενσαρκώνει έναν λυρικό «μανιερισμό», διερευνώντας τα θέματα με έναν βαθιά ενδοσκοπικό και σχεδόν εμμονικό τρόπο. Μέσα από τους καμβάδες του, ο Bottollier εμβαθύνει στην ανθρώπινη κατάσταση, παρουσιάζοντας μια ζωντανή εξερεύνηση τόσο της ζωώδους όσο και της εξαιρετικής πτυχής της ανθρωπότητας.
-
Ιθαγένεια:
ΓΑΛΛΊΑ
- Ημερομηνία γεννήσεως : 1957
- καλλιτεχνική τομείς: Έργα επαγγελματιών καλλιτεχνών,
- Ομάδες: Επαγγελματίας Καλλιτέχνης Σύγχρονοι Γάλλοι Καλλιτέχνες
Τρέχουσες και Μελλοντικές εκδηλώσεις τέχνης
Δεν υπάρχουν ακόμη διαθέσιμα στοιχεία
Επιρροές
εκπαίδευση
1977 - 2024
Autodidacte
Γαλλία
Η καλλιτεχνική αξία έχει πιστοποιηθεί
Δεν υπάρχουν ακόμη διαθέσιμα στοιχεία
Επιτεύγματα
Δεν υπάρχουν ακόμη διαθέσιμα στοιχεία
Δραστηριότητα στο ArtMajeur
Ημερομηνία τελευταίας τροποποίησης: 5 Αυγ 2025
(Μέλος από 2004)
Προβολές εικόνα: 233.917
Τα έργα τέχνης από το Jean Francois Bottollier προστέθηκαν στις αγαπημένες συλλογές: 132
Τελευταία Νέα
Όλα τα τελευταία νέα από τον σύγχρονο καλλιτέχνη Jean Francois Bottollier
Προστέθηκε 10 Δεκ 2024
Trak N°24
Disponible sur le WEB - La Fabuloserie - La Halle Saint Pierre - La Collection d'Art Brut de Lausanne - L'Abbaye de Auberive.
Σάββατο
7
Δεκέμβριος
2024
Δευτέρα
31
Μάρτιος
2025
Προστέθηκε 12 Νοε 2024
Itinéraire pour la création de Tableaux d'une exposition
Caluire-et-Cuire, France
Παρασκευή
15
Νοέμβριος
2024
Παρασκευή
15
Νοέμβριος
2024
Προστέθηκε 23 Σεπ 2024
Feel Art
La Filature d'Audincourt, Allée de la Filature, Audincourt, 25, France
Παρασκευή
18
Οκτώβριος
2024
Κυριακή
3
Νοέμβριος
2024
Feel Art du 18 octobre au 03 novembre, 1 allée de la Filature 25 400 Audincourt. Exposition de groupe.
Προστέθηκε 23 Σεπ 2024
Lyon Art Paper
fondation Renaud Fort de Vaise 27 bd Antoine de Saint Exupéry 69 009 Lyon
Τετάρτη
9
Οκτώβριος
2024
Κυριακή
13
Οκτώβριος
2024
Au plaisir de se rencontrer à
Lyon Art Paper du 09 au 13 Octobre à la fondation Renaud Fort de Vaise 27 bd Antoine de Saint Exupéry 69 009 Lyon. Exposition collective.
Προστέθηκε 5 Σεπ 2024
Souscription pour le livre Battle
Editions de l'oeil de la femme à Barbe
Κυριακή
1
Σεπτέμβριος
2024
Τετάρτη
25
Δεκέμβριος
2024
Ce qu'en dit ARALYA
https://www.aralya.fr/battle-jean-francois-bottollier/
Προστέθηκε 25 Ιουν 2024
Exposition Galerie Midiune Lourmarin
Galerie Midiune Lourmarin
Δευτέρα
1
Ιούλιος
2024
Κυριακή
13
Οκτώβριος
2024
Προστέθηκε 20 Μαΐ 2024
Exposition
L'atelier Galerie Mo Bluffy 48 chemin des sapins le Bosson à Bluffy (74 290)
Παρασκευή
31
Μάιος
2024
Πέμπτη
27
Ιούνιος
2024
en compagnie d' Isabelle Selvadjian et de Sarah Safar j'ai le plaisir de montrer quelques tableaux de la série "Des origines du mulet fertile" à L'atelier Galerie Mo Bluffy 48 chemin des sapins le Bosson à Bluffy (74 290) du 31 mai au 27 juin.
Ouvert de 14h à 18h et sur RDV (Contact sur l'affiche).
Vernissage le 31 mai à partir de 18h.
Προστέθηκε 16 Απρ 2024
Trak N°22
Disponible sur le WEB - La Fabuloserie - La Halle Saint Pierre - La Collection d'Art Brut de Lausanne - L'Abbaye de Auberive.
Παρασκευή
15
Μάρτιος
2024
Δευτέρα
15
Ιούλιος
2024
Essai et poème sur le travail de l'artiste plasticienne Brigitte Derbigny
Προστέθηκε 7 Ιαν 2024
TRAKT N°21
Disponible sur le WEB - La Fabuloserie - La Halle Saint Pierre - La Collection d'Art Brut de Lausanne - L'Abbaye de Auberive.
Τετάρτη
1
Νοέμβριος
2023
Πέμπτη
29
Φεβρουάριος
2024
Essai et poème sur le travail du Photographe Jean Paul Fermet et de sa scénariste et modèle Nathalie Faton.
Προστέθηκε 7 Ιαν 2024
BHN Volcanique 3
Aurillac, France
Τρίτη
3
Οκτώβριος
2023
Τρίτη
7
Νοέμβριος
2023
Προστέθηκε 7 Ιαν 2024
Genèse du Vivant
Seyssel (Haute-Savoie), Seyssel, France
Παρασκευή
22
Σεπτέμβριος
2023
Κυριακή
5
Νοέμβριος
2023
Προστέθηκε 10 Νοε 2023
Biennale 109
Bastille Design Center, Boulevard Richard-Lenoir, Paris, France
Τρίτη
14
Νοέμβριος
2023
Κυριακή
19
Νοέμβριος
2023
La 20ème Biennale 109 se tiendra du 14 au 19 novembre 2023 à l'espace Bastille Design Center 74 Boulevard Richard Lenoir 75 011 Paris.
Une nouvelle belle édition avec 68 artistes peintres et sculpteurs
Vernissage le Mardi 14 novembre de 15h00 à 22h00, j'aurai du plaisir à vous rencontrer.
Nous vous attendons à l'Exposition du 15 au 19 novembre de 12h00 à 19h30
Bonne visite
Προστέθηκε 15 Ιουλ 2023
TRAKT N°20
Disponible sur le WEB - La Fabuloserie - La Halle Saint Pierre - La Collection d'Art Brut de Lausanne - L'Abbaye de Auberive.
Πέμπτη
15
Ιούνιος
2023
Κυριακή
15
Οκτώβριος
2023
Essai et poème sur le travail du sculpteur assembleur Jean Branciard
Trakt N°20
Προστέθηκε 4 Ιουλ 2023
Invitation au voyage
Exposition dans l’ancienne Eglise de Théizé (69246) du 05 au 20 Août 2023
Σάββατο
5
Αύγουστος
2023
Κυριακή
20
Αύγουστος
2023
Une invitation au voyage pour le simple plaisir de vous (re)voir dans la vieille église de Theizé (69 246) lors de l'exposition avec
Alice Calm
Jean Branciard
Jean-François Bottollier
Vernissage Samedi 5 Août à 18h00
Ouvert de 10h30 à 19h00
Samedi 5 août et dimanche 6
Samedi 12 août, dimanche 13, lundi 14 et mardi 15
Samedi19 août et dimanche 20
Προστέθηκε 12 Μαΐ 2023
VII Biennale Val de Saône
Espace Henri Saint-Pierre avenue Gabriel Péri face à la mairie d'Albigny sur Saône
Σάββατο
29
Απρίλιος
2023
Κυριακή
21
Μάιος
2023
Προστέθηκε 29 Μαρ 2023
Passage à l'Art Cherbourg en Cotentin 26ème salon d'art contemporain
Salle des Fêtes de Cherbourg-en-Cotentin, Rue Grande Rue, Cherbourg-en-Cotentin, France
Πέμπτη
20
Απρίλιος
2023
Κυριακή
23
Απρίλιος
2023
Προστέθηκε 29 Μαρ 2023
Biennale des Lions Charbonnières les bains et vente aux enchères
Charbonnières-les-Bains, France
Πέμπτη
16
Μάρτιος
2023
Πέμπτη
1
Ιούνιος
2023
Les 45 Sculptures proposées aux enchères sont exposées du 16 Mars jusqu'au 1er Juin dans des lieux et sites de Charbonnières.
VENTE AUX ENCHÈRES DES ŒUVRES
Espace Culturel Alpha, Charbonnières-les-Bains
Jeudi 1er juin 2023, 18h
Vente aux enchères dirigée par
Maître Étienne de Baecque, Commissaire-Priseur
Προστέθηκε 21 Μαρ 2023
TRAKT N°19
Disponible sur le WEB - La Fabuloserie - La Halle Saint Pierre - La Collection d'Art Brut de Lausanne - L'Abbaye de Auberive.
Τετάρτη
1
Μάρτιος
2023
Παρασκευή
30
Ιούνιος
2023
Essai et poème sur le travail de l'artiste textile Rebecca Campeau
Προστέθηκε 12 Νοε 2022
TRAKT N°18
Disponible sur le WEB - La Fabuloserie - La Halle Saint Pierre - La Collection d'Art Brut de Lausanne - L'Abbaye de Auberive.
Τρίτη
1
Νοέμβριος
2022
Τρίτη
28
Φεβρουάριος
2023
Essai et poème sur le travail de l'artiste Alain Kieffer
TRAKT N°18
Προστέθηκε 17 Σεπ 2022
Lyon Art Paper
Palais de Bondy Lyon 5ème
Τετάρτη
12
Οκτώβριος
2022
Κυριακή
16
Οκτώβριος
2022
Au plaisir de vous rencontrer à l'occasion du salon de dessin Lyon Art Paper au Palais de Bondy.
L'invité d'honneur est ROBERT COMBAS accompagné d'une soixantaine d'artistes nationaux et internationaux sélectionnés pour cette édition en écho à la Biennale de Lyon.
Rendez vous au Palais de Bondy, 18/20 quai de Bondy Lyon 69 005
Vernissage : mercredi 12 octobre de 18h00 à 21h00
Ouvertures
jeudi 13 -vendredi 14 de12h00 à 18h00
samedi 15 de 11h00 à 18h00
dimanche 16 de 10h00 à 16h00
Je serai présent avec deux nouvelles séries de dessins
- Camille et Sasha tirés de la nouvelle Clic
- Le corps de Lewy tirés de la nouvelle Reclic
Κριτικές και σχόλια
Hello, you have excellent work!
Your artworks will look great at the International exhibitions "Festival of Abstraction Arts" (abstractfestival.*com) and "Vanguard Today" (artfestival.*eu)
Salut JF,
on seulement tu as trouvé ton style, original & singulier mais en plus il s’illumine un peu plus à chaque exposition.
Je reste un fan !
Friendly yours
Univers, particulier, étrange ! Effet garanti entre frisson et angoisse ! Bravo pour ce style très personnel! Cordialement
Bonjour , c'est un choc , mais un plaisir pour les yeux , vous avez du talent et un univers bien à vous , félicitations pour votre art , cordialement .
coucou tonton la classe ta ton propre site !!!!!
On le fé ché toi noel
Marc
•
Ouf...et ce que je n'ai pas encore vu m'interesse aussi. retour de foot etc. tout ça est comme un coup de poing dans l'estomac mais parfois ça fait du bien. Bravo
J'aime beaucoup, surtout la série des écritures...Bonne continuation...françoise
Si vous venez exposer en Belgique, je serais très heureux de pouvoir admirer vos oeuvres et, en même temps, de vous rencontrer pour parler peinture, expositions, etc. Je pense que vous avez un réel talent doublé de beaucoup de sensibilité, ce qui est très rare aujourd'hui dans le domaine de la peinture.
Fan
•
Monsieur Bottollier, je suis ravie d'avoir visité vos oeuvres, principalement les dernières "écritures"Vos créations méritent d'êtres connues et reconnues!! vous êtes un véritable artiste!! merci!! FAN
Le Naour
•
Félicitations!J'ai eu un choc en voyant les oeuvres de 1995 "autopsie d'un viol" car la qualité du travail plastique (graphisme, couleurs, matières) m'ont tapé dans l'oeil mais surtout le coté expressif si puissant que je ne pouvais pas imaginer qu'un homme soit capable de traduire ce type d'émotions: je m'y suis retrouvée...Quant aux autres ouevres visibles sur ce site je dois dire que ce travail me parle énormément et qu'il démontre beaucoup de réflexion et de recherches personnelles pleine de qualités artistiques.Je souhaite que cet artiste ait du succès pour la vente de ses oeuvres car c'est mérité!Bravo et surtout il faut continuer le plus longtemps possible dans cette voie.
Superbe travail
Merci Jean Noël et à Bientôt.
Génial, en visitant votre galerie je comprends votre sélection au Salon comparaison, c'est amplement mérité !!
On dirait un vrai lion et surtout avec son déguisement.Il réclame: c'est moi le Roi de la jungle!!!!!! Bonne continuation .....
Επικοινωνήστε με τον/την Jean Francois Bottollier
Αποστολή προσωπικού μηνύματος στον Jean Francois Bottollier