UNE VISION SINGULIERE

Morgan MERRHEIM et Loïc TARIN sont membres de l'accociation "Speed Art Factory"

Lieu d'exposition : Carré ROSENGART 16 quai Armez Port du Légué 22000 Saint brieuc
                                 Ouverture Vendredi et Samedi de 15h00 à 19h00 
                                 Du 7 février au 20 mars 2015


SPEED ART FACTORY

SPEED ART FACTORY est une association crée pour le développement des arts numériques et de l’art des « médias mixtes » au travers de manifestations culturelles, d’animations, de formations, de concours et d’expositions.

La création de notre association est un moyen de donner vie à un nouveau concept artistique.

 UN CONCEPT

« Speed Art Factory », représente un  mouvement, qui bouscule les barrières académiques entre photo/peinture/vidéo/impression/sérigraphie/Impression/reprographie. Considérant que le résultat émotionnel est plus important que le cloisonnement théorique et subjectif des genres, nous souhaitons développer et rendre visible cet incroyable foisonnement de créativité.
La technique au service de l’inspiration et de l’émotion.

L’usage de tablettes tactiles, de pinceaux numériques, l’intégration de reproductions originales ou non, permet  de dématérialiser une œuvre, puis de la retravailler, de la reproduire à volonté à la recherche d’ une sublimation artistique intégrant numérique, collage, graffitis, dessin et peinture….

Les travaux de Loïc TARIN ont servi de base à cette réflexion et depuis 2011 ses séries de  tableaux (exposés à la résidence des arts, à l’Explograf La galerie) mêlent photos de publicité, peintures réalistes, raturages et dématérialisations/impressions successives des œuvres.

Plus largement l’association s’intéresse à ce que nous appelons l’art des médias mixtes
Œuvres peintes originales qui croisent différentes techniques visuelles : photographies argentines ou numériques, photocopies, supports imprimés détournés.
Morgan MERRHEIM utilise ainsi des photographies brutes, peintes, puis raturées, rayées déchirées, réinventées. Des œuvres expressives, nerveuses, pleine d’émotions sauvages..

CHARTE ARTISTIQUE

Adhérer à « Speed Art Factory » pour revendiquer et porter ce mouvement artistique.
L’appartenance à l’association « Speed Art Factory » permettra  de rendre visible et identifié son travail artistique. Plusieurs supports d’information  sont mis en place à cet effet.

Une cocarde :       C’est un logo circulaire qui peut être utilisé par les adhérents de « Speed Art Factory »,
                               Elément visuel de revendication.
Un site internet : « Speed Art Factory » expliquer, montrer, certifier le travail commun.
Des expositions :  Expositions thématiques organisées par « L’Explograf, La Galerie »
Des événements : Une association est un cadre légal pour élaborer des expositions thématiques :
                               montages dossiers de subventions / promotions et communications.

 

MODALITES D’ADHESION

Adhésion des artistes

Peuvent adhérer les artistes qui utilisent des 2 ou plusieurs techniques d’expressions picturales de façon successives et croisées sur le même support. Photographie, peintures, dessins, reprographies, impressions, détournements d ‘objets, détournement d’imprimés, détournement de supports, peintures numériques.
Les artistes devront avoir une existence officielle au travers d’un numéro SIRET ou d’une adhésion à la maison des artistes.
Les artistes devront constituer un dossier présentant au minimum 3 œuvres avec le détail des techniques utilisées.
L’adhésion est soumise à l’accord préalable du comité artistique de l’association.
L’adhésion se fait par le don des œuvres présentées pour l’adhésion puis par le don d’une œuvre /an à      « Speed Art Factory », permettant de constituer un fond d’œuvres spécifique au mouvement « Speed Art Factory »


Adhésions des acteurs privés ou publics

Peuvent adhérer à « Speed Art Factory » tout particulier, entreprise ou institution public.
Cette adhésion est de 100 euros/an

AVANTAGES DE L’ADHESION

5 avantages d’adhérer à « Speed Art Factory » pour les artistes

- Bénéficier d’une mise en lumière récurrente dans l’Explograf « La Galerie » et sur le site de « Speed Art
  Factory »
- Exposer son travail et être visible des collectionneurs et publics.
  Expositions dans les locaux de « l’explograf La galerie » et/ou dans les locaux des adhérents privés ou
  publics  (validation préalable du comité artistique)
- Se rapprocher d’un mouvement artistique ambitieux et utiliser la cocarde du mouvement
- Rencontrer lors de vernissages et de réunions d’autres artistes et adhérents privés
- Découvrir de nouvelles technique et usages

5 avantages d’adhérer à « Speed Art Factory » pour les partenaires

- Soutenir l’art et bénéficier des retombés des actions « Speed Art Factory »
- Avoir la possibilité d’exposer dans ses locaux le fond d’œuvres de « Speed Art Factory »
- Bénéficier de tarifs avantageux sur l’achat d’œuvres d’art représentées par l’association
- Bénéficier de conseils de spécialistes de l’art pour l’achat d’œuvres d’art de l’art singulier et médias mixtes
- Se rapprocher d’un mouvement qui a pour ambition d’être reconnu dans le monde entier

5 engagements de l’association

Un regard objectif sur l’adhésion des artistes et des partenaires (comité de sélection)
Un respect des artistes dans leur démarche
Un réel engagement dans des démarches ambitieuses
Apporter du conseil aux adhérents
 

Vivre pour peindre, peindre pour vivre…
 

Comment cerner l’œuvre de Renaud PHILIPPOT ?
Renaud PHILIPPOT nous dit lui-même se reconnaitre avant tout dans les œuvres d’artistes comme Karel APPEL  et plus largement dans le mouvement CoBrA.

« Les membres du mouvement Cobra  vont chercher leur modèles auprès de formes artistiques non encore contaminées par les normes et les conventions de l'occident : les totems et les signes magiques des cultures primitives, la calligraphie orientale, l'art préhistorique et médiéval. Cependant ils découvrent des pans encore intacts de leur propre culture, dont telles formes, encore vigoureuses, de l'art populaire nordique, de l'art primitif, de l'art naïf, et des créations dues aux enfants ou à des handicapés mentaux. Pour eux, l'écriture est par ailleurs l'expression la plus directe du psychisme de l'individu. »
«Cobra voudra être à la confluence de trois mouvements qui sont l'expressionnisme, l'abstractionnisme et le surréalisme. » (source wikipédia)

Sa peinture est à la fois enfantine et naïve, expressive et colorée.
Elle met en situation des symboles, des masques et visages ce qui permet effectivement de le rapprocher de ses illustres prédécesseurs.

Mais plus de 60 ans ont passés depuis ce bouleversement artistique et Renaud PHILIPPOT s’inscrit dans un monde nouveau et moderne, figuration libre et graffitis, ou ses œuvres participent à la conception d’environnements de vie, au design contemporain, ou règnent la couleur et la gaité.

 Ses œuvres déconnectées de tout concept politique (à la différence du mouvement Cobra)
pourraient tout aussi bien se rapprocher du concept de l’art brut car l’acte créateur émerge spontanément de son subconscient, de son monde intérieur.  R PHILIPPOT s’abandonne totalement à sa peinture et depuis l’âge de 5ans, jour après jour, nuit après nuit, plonge dans ses grandes toiles pour mieux y transcrire ses émotions. Il vit pour peindre, il peint pour vivre !

Enfin, à bien observer le travail de R PHILIPPOT l’abstraction est à fleur de toile !
R PHILIPPOT nous dit tout le soin qu’il apporte à la réalisation de ses fonds de toiles.
Il pourrait presque s’y arrêter  et  nous livrer une œuvre tout en couleur. Bien que cela ne soit pas son choix de prédilection, sa production d’œuvres abstraites peu fréquente est tout à fait étonnante.  

Didier Simon est un passionné de l’art brut, de l’art singulier et de l’outsider art.

Il a récemment ouvert une petite galerie « Une vision singulière » à Hénon où il présente plus de deux mille œuvres originales d’artistes en majorité français et américains. Artistes reconnus et côtés ou artistes émergents ; Art brut, œuvres graphiques, néo-expressionnisme, imaginaire figuratif, tous sont des coups de cœur de Didier Simon.

L’exposition « Les visages dans l’art singulier » proposée et commentée par Didier Simon est un excellent moyen de se familiariser avec cette forme d’expression et ses différentes tendances.

Pour en savoir plus sur les artistes présentés, Didier Simon se fera un plaisir de partager sa passion et de vous faire découvrir les différents courant présenté ici. Didier Simon est présent à la Résidence des Arts, tous les mercredis de 15h00 à 17h00, les samedis de 15h00 à 18h00 et sur rendez-vous au 06 07 27 88 07.

L’art singulier est un mouvement artistique contemporain français qui regroupe un certain nombre de créateurs autodidactes ayant volontairement ou non établi une distance avec l’art officiel.

Retrouvez la Galerie « Une vision singulière » sur Internet : Une vision singulière

PHILOSOPHIE ET INSPIRATION

L’INSPIRATION
Je me pose les questions essentielles sur l’esthétique et le sens des choix visuels. Je suis régulièrement étonné par des images vues au hasard dans la rue, sur des imprimés, sur des affiches décolorées par le temps… J’aime bien bousculer l’image du portrait, humaniser ce qui ne peut l’être ou rendre anonyme un visage….
Ou encore, exploiter les singularités de signes humains dans des lieux abandonnés ou en pleine nature : comme un panneau seul, isolé en pleine forêt. une image de magazine abandonné dans une cave ou à l’intérieur d’un livre, ou bien une publicité trop parfaite pour être honnête.
Je transforme ces images de toutes les façons possibles : je les passe à la moulinette, je les transforme, les broie, les digère.

LES MINIATURES
Le plus souvent à partir d’une petite toile polymère de petit format (A4 ou A3), je réalise une construction à l’acrylique, au crayon. Je colle, je transfère, je gratte, je recopie des morceaux de l’image que j’ai collectée, (photo sur iPhone, page de revue, morceaux d’affiche…). Je fais parfois craquer le vernis de ces miniatures pour accentuer le côté décalé, hors du temps. Ces créations brutes, je décide ou non de les traiter plus avant en les numérisant et en les sérigraphiant. Elles deviennent des « miniatures » ou des « matrices ».

ET APRÈS ?
Dématérialisée, car numérisée, l’œuvre n’existe plus vraiment, elle est stockée dans un ordinateur ou un iPad. Elle n’existe que potentiellement (parfois la matrice est volontairement détruite). Après la numérisation, j’opère les modifications avec un pinceau numérique (e-brush) sur écran iPad.

MAIS ENCORE ?
Je réalise une copie en sérigraphie numérique ou en transfert de la miniature, au même format ou en agrandissement.
Ces copies, je les transforme à nouveau (elles ne ressemblent parfois plus du tout à l’original « miniature »). Ces dernières modifications sont terminées à la peinture acrylique ou en glacis à la peinture à l’huile. La. résultante est une nouvelle création, avec ses originalités, ses singularités, l’œuvre ayant été re-matérialisée

article de presse

Dorénavant l'ensemble des oeuvres présente sur ce site  (et beaucoup d'autres !) sont visibles à la galerie.

Adresse :

Le champ Clineuf  (à côté du restaurant le bon accueil ) (c'est vrai !)
22150 HENON
Tél : 06 07 27 88 07

Texte figurant dans le descriptif du musée

Marie-Jeanne Faravel est née le 2 juillet 1949 en Saône-et-Loire. Petite, elle s’amuse à créer des habits pour ses poupées. A l’école, son cours préféré est le dessin qu’elle va pratiquer en autodidacte.
Elle utilise l’encre de Chine blanche et les crayons de couleur qu’elle applique sur du papier noir, ce qui donne aux dessins une teinte adoucie. Se révèlent alors, sous un trait souple et enveloppant, des univers d’arabesques et de labyrinthes où évolue une mythologie toute personnelle : des êtres aux yeux écarquillés et aux mains tendues.
Marie-Jeanne Faravel réside à Rives, près de Grenoble

quelques résultats et estimations

résultats des ventes

résultats des ventes

Morgan MERRHEIM « l’impression transfigurée »
Il ne faudrait pas oublier les grandes acryliques sur toiles produite par Morgan et dont quelques exemples figurent sur le site mais nous avons vraiment découvert la magie de ses « impressions transfigurées ».

Chaque œuvre est bien sûr une œuvre originale et il est difficile de dire quel est la part de l’exceptionnel, si c’est la photo que Morgan à conçue pour servir de support , l’impact du dessin obtenu par grattage ou les touches de couleur et la manière dont elles sont apposées.
C’est magique et c’est un coup de cœur assuré pour ce jeune talent.

N'hésitez pas à visiter le site de la galerie www.unevisionsinguliere.fr
Toutes les œuvres sont visibles en Bretagne à proximité de Saint Brieuc - :

BIO,

2013: Exposition Personnelle: "MorganMerrheim à Bloc", JDC Galerie, Saint-Prix
Expositions Collectives et portes ouvertes de mon atelier au Bloc (Paris 19em)
2012: Exposition Collective « Coups de Cœur », Galerie les Etoilantes , Sucy-en-Brie
Exposition Collective à « La Trappe aux Etoiles », Paris
Exposition Collective « Ice Cream Kunstler Hause », Berlin
Exposition Permanente à la « JDC Galerie », Saint Leu la forêt
2011 : Exposition Collective au « Zoo », Paris
Exposition Individuelle au « LézardB e Assurément Humain » Paris
Expositions Collectives au « Château d'Albatard » Paris
2010 : Exposition Permanente Galerie «Artevistas », Barcelone
Exposition Individuelle, Espace Numérique, Villereal (47)
2009 : Exposition Individuelle à La Miroiterie, Paris
Parution dans Made in Banlieue, ed. La Martinière
2008 : Exposition Individuelle au «Noël de La Ferme du Bonheur », Nanterre
Projet pour Le Pavillon de L'Eau, Paris
Inauguration du « Cercle Rouge », Paris
2007-2008 : Street Galerie : Parvis Centre Pompidou, Paris
2006 : Expositions Individuelles et Collectives au Carrosse, Paris
Exposition Individuelle au Centre Culturel Valeyre, Paris
2004 : Exposition Collective à l'Hôtel de Ville de Paris
Exposition Collective Mairie du 15eme arrondissement, Paris

Laurent Michel VAYSSIERE est né en 1962 et travaille en région parisienne à Sucy en Brie.

Travaille dans le monde des images dès 1976, à 15 ans, il réalise un petit dessin animé présenté au festival d’Annecy. Depuis il n’arrête plus de peindre et de dessiner. Il rentre dans le monde du clip en 1986 en créant une maison de productions audiovisuelles "Avanti Rapido"avec Fabrice Brovelli, son ami d'enfance… et réalise et produit des vidéoclips et des concerts-live...
En 1991, il pleut des bombes sur Bagdad, il se consacre, alors, à sa peinture et obtient sa première exposition personnelle quatre ans plus tard. D’autres suivront.
Il expose en Europe régulièrement depuis cinq ans…

Expositions :
Galerie Artémise, Dinard. En permanence, depuis 2001 avec trois expositions personnelles.
Rêverie des temps absents, 2008;
Le bal des sentiments, 2005; Échec et mat à la morosité, 2001.
Galerie Akwaaba, Sucy en Brie (94) Fondateur et président de l’association de 2002 à 2007.
Art Metz, Foire d’art contemporain. Participation annuelle depuis 2001
Galerie Art - Confrontation, Rouen (Calvados) Mirw’art, Paris. Membre de l’association depuis 2006.
Depuis juin 2009 Anto est le partenaire de l’association l’Étoile de Martin, et de l’association Les Étoilantes.

Né en 1928, Gérard Sendrey a occupé une fonction administrative à la ville de Bègles, dans le sud-ouest de la France.

Il commence à dessiner en 1967, sans avoir appris. Mais il élabore une technique très personnelle... (Neuve invention. Collection de l'art brut. Lausanne 1988) Gérard Sendrey ou la liberté conquise Dans l'oeuvre de Gérard Sendrey, domine d'emblée l'idée de transformation, de métamorphose, de changement. À moins qu'il ne s'agisse tout bonnement... de continuité. C'est certes ce qu'on peut dire de son travail : quel parcours cohérent, depuis les premiers tracés noirs à la mine de plomb, à l'encre, au crayon de couleurs ou au stylo à bille, et ses actuelles recherches, nées de la rencontre entre des matières, - acryliques, gouaches, papiers, cartons... -, des techniques sans cesse dépassées, - plumes sergent Major notamment... -, et une étonnante sensibilité picturale ! De foisonnantes dentelles, alvéoles de ruches pleines de surprises séduisent, surtout quand, en surimpression, vient s'ajouter à l'écheveau central un réseau encore plus serré, comme imbriqué dans le tissu. Le fond peut rappeler des étoffes moirées, chamarrées, - canevas riche d'invention et de beauté -, mais qui se révèlent plus dangereuses que des toiles d'araignées : on peut s'y perdre ! Dédale, labyrinthe complexe, frises obsessionnelles, le spectateur ne sait comment échapper à l'étrange fascination de ces fils entrecroisés, entrelacés. Et ce qui se vit à l'échelle d'un tableau se retrouve dans son oeuvre elle-même, dans sa multiplicité. En effet, dans la démarche artistique de Gérard Sendrey, tout se fait, se défait, d'un dessin à l'autre, cellules toujours redécoupables à l'infini d'un trait jamais arrêté, qui poursuit sa quête, son fractionnement, - et paradoxalement aussi son unité.

Les travaux plus récents, en aplats colorés ou à l'encre noire, sont classés dans de nombreux écrins, boîtes étiquetées, organisées, avec le soin que l'on trouvait auparavant dans les divisions en enchâssement des feuilles de papier, ordonnées en rubriques, sous-rubriques, arcs donnant naissance à d'autres courbes, cellules déployées en autres canaux. Mais si le rangement a gardé la rigueur et l'organisation des précédents dessins, les oeuvres, elles, sont merveilleusemnet affranchies de la forme, émancipées des canons et carcans traditionnels : la figuration s'est libérée, fruit de cette exploration menée constamment par Gérard Sendrey. Ce sont des visages, des masques, des corps hybrides, - humains et/ou animaux -, enchevêtrés dans leur propre ossature, aux lignes expressionnistes, intenses. Réalisées d'un geste sûr, en une tension graphique particulièrement expressive, ces formes jouent adroitement des pleins et des déliés...

Une liberté extraordinaire, acquise au fil des ans, se dégage de ces derniers calames. Enfin, on ne saurait oublier que Gérard Sendrey est poète. Dans ses encres fabuleuses, notamment. Mais également avec les mots. Et lorsqu'il écrit Mona Lisa, par delà la pointe d'humour, n'est-ce pas encore et toujours de son oeuvre qu'il parle ? "Toi ma géante mal foutue, ma chèvre blanche aux pieds de bouc Ficelle que tend le dessin entre ta hanche et tes seins Ton oeil blanc sur papier d'hermine (...)" Ses dessins "mal foutu(s)", mêlant "ficelle" du tracé et tension "entre hanche et seins"... ne sont-ils pas justement ses plus belles réussites ? Modeste, Gérard Sendrey voudrait laisser croire qu'il s'agit de petits riens, bricolés pendant une réunion, un coup de téléphone, griffonnés machinalement en exercice lancinant, obsédant, impossible à arrêter... Mais indéniablement, c'est une recherche volontaire, active, qui préside à ces travaux minutieux, remarquablement aboutis.

Anne Poiré

Philippe Martinery : Artiste Peintre- Sculpteur
Diplomé d‘arts plastiques : ( Bruxelles ‚Toumai ‚ Bordeaux)

Deug d‘histoire de l‘art
Vingt ans de bons et loyaux services dans les galeries:






Galerie Michel Ray: Paris
Kulturzentrum Butgenbach:( Belgique)
Stadtgalerie Isalohm: (Allemagne )
Töfereimuseum Raeren: ( Allemagne)
Galerie Art Vivant : La roche sur yon
Galerie Alcantera : (Lisbonne)
2010 - Galerie De Kunstberg:(Pays Bas)
2011 - Place de la Bastille: (Paris)
Galerie Art Mira: Paris
Galerie La Griffe : Liege ( Belgique)
Galerie Viva : Malmedy ( Belgique)
Galerie Beaubourg ph : Paris
Galerie Netvibz : Paris
Sculture dans le parc de HEC ( Jouy en Josasse)
Kunstberg: Pays Bas







Disciple de GUILLAUME CORNEILLE j ‘ai eu l‘occasion
d‘exposer avec lui dans des expos itinerantes ainsi que dans des salons . . .il m‘a part un atelier dans le marais et m‘a fait ‚ decouvrir qu‘il fallait apprendre la technique pour pouvoir l‘oublier!
Depuis je me suis emancipé et j ‘apprend peu à peu à être ce que je suis! Je l‘en remercie!

Mes oeuvres se trouvent dans toutes les collections l‘amateurs d‘art avertis à travers le monde !
Petites lucioles dans la nuit du march de l‘art!

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Artiste atypique, de renommée internationale, Jaber Al Mahjoub naît en 1938 en Tunisie. Orphelin à 3 ans, il devient berger puis boulanger. En 1958, il arrive en France et exerce son métier à Marseille puis à Paris. Parallèlement, il profite de ses pauses pour dessiner et vendre ses gouaches à St Michel. Attiré par la musique (Petit conservatoire de Mireille, deux 45 tours enregistrés), par la boxe (17combats), il est découvert par une riche américaine, qu’il épouse... et part à San Francisco.
Il connait alors un succès fulgurant et obtient le premier prix de peinture (parmi 800 candidats) au Plainfield Art Festival.
Artiste généreux, le commerce ne l’intéresse pas : il préfère offrir ses peintures, au grand dam des galeries qui le représente.
De retour à Paris après son divorce, il expose en 1977 à l’American Center of Artists, ce qui relance sa carrière à Paris. Ses amis et collectionneurs le font participer à de nombreuses expositions prestigieuses, ou en organisent pour lui. Il entre dans bon nombre de collections privées et publiques de par le monde et figure dans tous les Musées consacrés à l'Art Brut ou Outsider. Comme pour beaucoup d’artistes, sa période de gloire connaît son déclin avec la crise de la fin des années 1990, avec la disparition des galeries qui le défendaient.
Au lieu de se lamenter, il prend son sort en main en vendant ses gouaches, cette fois dans le quartier Beaubourg. Malheureusement, les temps ont changé et il est interpellé de nombreuses fois. Il trouve la parade en poussant simplement la porte des galeries, librairies, salons de coiffure, cafés ou restaurants. Une trentaine de lieux parisiens proposent en permanence ses œuvres, sans toutefois lui consacrer une exposition : il les fait systématiquement échouer !
Il souhaite vivre très modestement, dans l'anonymat et la quiétude. Il n'invite que de très rares personnes à son atelier.

Jaber a développé une méthode de travail très personnelle et de plus en plus actuelle : produire beaucoup pour rendre l’art accessible à tous. Mais depuis l’année dernière, il est moins présent sur le marché et sa production semble s’être tarie. C’est en tout cas un arrêt à sa production de masse, ses œuvres plus anciennes devenant d’autant plus recherchées.