Minami Yuka 2017 Painting by Edwige Col

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Sold by Edwige Col

  • Original Artwork Painting, Acrylic / Other / Spray paint on Canvas
  • Dimensions Height 39.4in, Width 28.7in
Portrait féminin en hommage aux arts de vivre à travers la geisha du Japon. L'ouverture des maisons de thé (お茶屋, ochaya?) dans les quartiers de plaisirs en 1712 marque le début du métier de geisha. Les geishas sont le résultat de l'évolution des taikomochi (太鼓持?) ou hōkan (幇間?), équivalents au Japon des bouffons du Moyen Âge en Europe.[...]
Portrait féminin en hommage aux arts de vivre à travers la geisha du Japon.
L'ouverture des maisons de thé (お茶屋, ochaya?) dans les quartiers de plaisirs en 1712 marque le début du métier de geisha. Les geishas sont le résultat de l'évolution des taikomochi (太鼓持?) ou hōkan (幇間?), équivalents au Japon des bouffons du Moyen Âge en Europe. Ainsi, les premiers geishas étaient des hommes, dont le travail était principalement de divertir, par des chants et de la musique, les clients des maisons de thé.
Au début de leur intégration aux geishas, dans les années 1750, les femmes étaient appelées onna geisha (女芸者?, littéralement : femme geisha), ou geiko (芸妓?) à Kyōto. Elles devinrent rapidement plus nombreuses que les hommes, qui prirent le nom d'otoko geisha (男芸者?, homme geisha) pour se différencier des femmes. À partir de 1800, toutes les geishas étaient des femmes.
En 1779, le gouvernement japonais officialisa le métier de geisha et créa un bureau d'enregistrement (検番, kenban), destiné à recenser les geishas et à faire respecter la loi. Celle-ci indiquait que seules les prostituées patentées pouvaient avoir des relations sexuelles avec leurs clients, et pas les geishas.
En 1842, la réforme Tenpō proscrivit la prostitution et fit fermer les quartiers de plaisirs, mais ceux-ci rouvrirent en 1851. En 1886, afin de garder le contrôle sur les activités des geishas, le gouvernement fixa un tarif officiel pour leurs activités.
Jusqu'au début du xxe siècle, les geishas étaient considérées comme à la pointe de la mode, à tel point qu'avec l'occidentalisation du Japon dans les années 1920-1930, on vit apparaître des geishas s'habillant et dansant à l'occidentale, surnommées dansu geisha. Mais beaucoup d'entre elles s'opposèrent à cette modernisation et se posèrent en gardiennes de la tradition japonaise, ce qui est toujours le cas actuellement.
En 1944, pendant la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement fit fermer les quartiers de plaisir et envoya les geishas travailler en usine pour soutenir l'effort de guerre. Le 25 octobre 1945, les quartiers de plaisir rouvrirent. L'interdiction totale de la prostitution en 1957 démarqua définitivement les geishas des prostituées. À la même époque, de nouvelles lois sur le travail des enfants et la scolarité obligatoire interdirent aux filles de devenir maiko avant quinze ans.
En 1965, la Kyōto dentō gigei shinkō zaidan (京都伝統伎芸振興財団?, littéralement « Fondation pour le développement des arts et musiques traditionnels de Kyōto ») dénombrait à Kyōto 65 maiko, chiffre qui chuta ensuite jusqu'à 28 en 1975, avant de remonter et se stabiliser à une moyenne de 60 maiko dans les années 1990. Ces dernières années, on observe un engouement nouveau pour la profession de geisha au Japon, avec pour la première fois en avril 2008 plus de 100 maiko (101 exactement) dans les cinq hanamachi de Kyōto. Il semblerait que cet engouement soit notamment dû au nombre grandissant d'informations disponibles sur ce métier : livres, reportages et documentaires télévisés, mais aussi blogs et sites web personnels de maiko ou de geishas.

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Edwige Col is a French "Singul'artist" born in the center-west of Hexagon. She lives in France and is well known for her very singular art, which is not part of any known trend. His passion for colors and the[...]

Edwige Col is a French "Singul'artist" born in the center-west of Hexagon. She lives in France and is well known for her very singular art, which is not part of any known trend. His passion for colors and the underground aura and skateboarding pop culture goes back to his teenage days. His inspiration comes from the lifestyle that accompanies. She has always expressed the freedom to live, the spontaneous expression and even a kind of rebellion. It is in her life, returning from a trip to the American continent that she is more and more involved in the game of pop art and street art. She is inspired by Andy Wahrol and Jean Michel Basquiat and always of the Californian youth who spend his days in the sun surfing, skateboarding in bikini and dancing on punk music in the evening. It is in the cultural mixing and countercultures that it draws its inspiration. Always in search of the most fundamental freedom, she explores in each of its limits the limits between the visible and the invisible. It slides from one to the other as the urban slider does on the concrete. She shares her values of daring, but also of playfulness in each of her works. His genesis is his own art, which always surprises us even where not to assist him.
The work of Edwige Col is visible on his site and in Europe, he was the subject of solo exhibition at the gallery LEOG which is sedentary and itinerant. It is published in many journals and is present in many collectors.

The Artist was highlighted in an article in Artmajeur Magazine:

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