p170-quand-honorius-733-ko.jpg (2012) Malerei von Philhelm

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Dieses Kunstwerk erscheint in 2 Sammlungen
  • Original-Kunstwerk Malerei, Acryl auf Leinwand
  • Masse Höhe 19,7in, Breite 31,5in
  • Kategorien Gemälde unter 5.000 $ Symbolismus
P170 – QUAND HONORIUS RENCONTRE ELOÏSE, IL LUI ENSEIGNE LES CURIEUX US DE SON PELERINAGE… - Acrylique sur toile 50 x 80 cm PINACOTHEQUE : Je préfère immédiatement signaler au lecteur du texte qui suit, les difficultés qu’il aura à en saisir sa totale quintessence qui ne pourra que rivaliser avec l’excentricité du sujet traité : Ce tableau[...]
P170 – QUAND HONORIUS RENCONTRE ELOÏSE, IL LUI ENSEIGNE LES CURIEUX US DE SON PELERINAGE… - Acrylique sur toile 50 x 80 cm
PINACOTHEQUE : Je préfère immédiatement signaler au lecteur du texte qui suit, les difficultés qu’il aura à en saisir sa totale quintessence qui ne pourra que rivaliser avec l’excentricité du sujet traité : Ce tableau pourrait être un rébus dans lequel serait mis en scène un saint homme, il s’agit de Saint Eloi, lequel sera métamorphosé en une reine assise, oui je sais, c’est surprenant mais ainsi l’ai-je voulu! Un zooanthropique « homme-cheval » copieusement harnaché, qui pourrait bien être Honorius, lui rend visite à un retour de pèlerinage. Son chapeau est surmonté de lettres magiques ! Un corbeau blanc qui offre une bague ? Sorcellerie oblige ! Un marteau pour nous rappeler l’absence d’une enclume de maréchal-ferrant. Au milieu du tableau, le monogramme de l’artiste, qui était initialement une mèche de cire en spirale utilisée comme bougie, que l’on appelait « rat de cave » au Moyen-âge! N’oublions pas en crescendo que le thème principal a son origine dans les pèlerinages et ses enseignes religieuses. Tout cela pour relater les us et coutumes des pèlerins aux retours de ces voyages initiatiques ! Il y a bien eu quelques papes qui ont réussi à dissimuler leurs pensées dans des écritures jugées très ésotériques. Mais n’est-ce pas là, le propre d’une extravagance ? Pour rendre à César ce qui appartient à César, sachons qu’à l’origine de ce tableau, il ne s’agit pas d’argent en monnaies trébuchantes, mais bien de plomb ou d’étain moulés sous la forme de minuscules enseignes que les pèlerins portaient suspendus à leur pèlerine ou sur leur couvre-chef. Pour le serpent et le chien, je vous laisse libre de leur interprétation, mais leur comportement vous aidera beaucoup. Et le cœur rouge et le cœur noir inversé ? Là, je crois que ce sera plus facile à trouver ? Seul votre culture et votre imagination sauront parfaire cet abscons rébus onirique, sans être certain de réussir pour autant puisqu’il a autant de solutions qu’il y a d’individus laïcs ou croyants, qu’ils soient de Namur ou de Noyon, fantaisie d’artiste oblige ! In fine je tiens derechef à m’amender auprès du Saint-Empire Romain, si j’ai pu, à mon insu les choquer à quelques envers ou endroits et de mon discours et de leur temporalité. Je les en remercie chaleureusement par avance où qu’ils soient et quelle que soit leur apparence actuelle. Eux-seuls saurons me comprendre, ce qui ne saurait être un renversement en son contraire, quel qu’ait été le destin de mes pulsions artistiques, si dans cet imbroglio, l’on peut encore parler d’art, quand bien même il n’y aurait qu’un misérable et résiduel minuscule « a ».
Saint-Eloi : 588 - vers 660, évêque de Noyon, orfèvre et monnayeur, il eut une fonction de ministre des finances auprès de Dagobert 1er roi des Francs de la dynastie mérovingienne. Il est le saint patron des ouvriers qui se servent d'un marteau, et plus précisément des orfèvres, graveurs, forgerons, mécaniciens, chaudronniers, horlogers, mineurs, batteurs d'or, doreurs, tisseurs d'or, monnayeurs, serruriers, cloutiers, armuriers, balanciers, épingliers, aiguilliers, tireurs de fils de fer, ferblantiers, loueurs de voiture, voituriers, cochers, vétérinaires, selliers, bourreliers, maréchaux-ferrants, charrons, carrossiers, charretiers, maquignons, fermiers, laboureurs, valets de ferme, vanniers, bouteillers, mais également des militaires logisticiens. Ne m’en voulez pas si par inadvertance, j’en ai oublié quelques uns…
Honorius : Nous changeons d’époque mais restons dans la magie : Il s’agit d’Honorius II qui fut pape de 1216 à 1227 à Thèbes et que les aficionados des écritures mystiques adorent ? Il aurait inventé l’alphabet dit thébain ou théban, également appelé alphabet de sorciers et utilisé pour coder certains mystérieux écrits. La forme des lettres est à l'origine de l'alphabet alchimique et semble avoir des influences grecques et latines. A l'époque, les magiciens européens étaient très tournés vers les études cabalistiques. Cette écriture ne vient d'aucune langue en particulier, on peut donc l'utiliser avec toutes les langues. Sans ponctuation cet alphabet est également doté d'une lettre spéciale incluant l’alpha et l’oméga, et ce, pour marquer parfois la fin d'une phrase. Les non initiés peuvent désormais lire : « PHILHELM » en lettres moulées sur le chapeau de notre curieux homme-cavalier.
Enseignes de pèlerinage : Alliage de plomb et d’étain, l’enseigne est apparenté aux broches que l’on fixait au vêtement. Apparue au XIIe siècle, c’est un objet typiquement médiéval qui a connu un succès sans cesse croissant durant 400 ans. Dès l’origine, l’enseigne, dite alors de pèlerinage est essentiellement un souvenir. Façonnée à l’image d’un sanctuaire déterminé, du saint ou des reliques qui y étaient vénérées, elle est la preuve d’un pèlerinage accompli.
Le renversement en son contraire : Il fait partie des mécanismes de défense névrotiques. C’est un des destins de la pulsion. L’inconscient étant constitué de couples opposés, non différenciés : exemple l’amour peut équivaloir à la haine ou le masochisme peut se voir inversé en sadisme dans un but défensif, et cætera.
(Quelque chose me dit que maintenant, vous avez réussi à décrypter les ultimes clés de cet alambiqué rébus ? Ah que j’eusse aimé me tromper sur votre compte!)

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In Wahrheit, ich schreibe es Ihnen ohne zu lügen, die ganze Geschichte von Philhelm beginnt im Elsass auf Schloss Lichtenberg, am 23. April 1616, als Balthasar Helmlinger im Alter von 7 Jahren das Monogramm[...]

In Wahrheit, ich schreibe es Ihnen ohne zu lügen, die ganze Geschichte von Philhelm beginnt im Elsass auf Schloss Lichtenberg, am 23. April 1616, als Balthasar Helmlinger im Alter von 7 Jahren das Monogramm seines gleichnamigen Nachkommen verliert. Dieser banale und dennoch sehr ernste Vorfall in ferner Vergangenheit wird 10 Generationen später die künstlerische Berufung eines seiner Nachkommen auslösen!

Der heutige Maler, 1943 in Straßburg geboren, sah sein Werk zweimal in seinem Leben ausgestellt und ausgezeichnet (1999 und 2001), und dies nur auf der „Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence“, die ihm 1999 den Preis überreichte der Stadt Florenz.

So dass der Vulgum Pecus von seiner Erfahrung völlig desorientiert ist, dass er die Geschichte ohne Eile in sich hineinlässt, jeden Tag bereichert durch unsere gemeinsame Ahnenvergangenheit: ob etruskisch, minoisch oder babylonisch, sonst wird sie niemals in das Innere der Bilder eindringen, um versuchen, die geheimen Ursachen der Dinge zu entdecken.

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