A l’abris des barreaux de ma solitude je pleurs des larmes de sang. Mon âme emplie de douleurs réminiscentes hurle sa haine au lointain. Nul ne l’entends, nul n’y répond...ses cris se perdent dans les limbes de l’oubli...tel une ombre qui passe et trépasse à la première lueur du jour elle ère inlassablement à la recherche d’une étreinte qui lui sera fatale. Sacrifice ultime inutile...la corde encore chaude se balance lancinement dans un va et vient sinistre, une danse macabre...
L’Enfer me ment... »
A l’abris des barreaux de ma solitude je pleurs des larmes de sang. Mon âme emplie de douleurs réminiscentes hurle sa haine au lointain. Nul ne l’entends, nul n’y répond...ses cris se perdent dans les limbes de l’oubli...tel une ombre qui passe et trépasse à la première lueur du jour elle ère inlassablement à la recherche d’une étreinte qui lui sera fatale. Sacrifice ultime inutile...la corde encore chaude se balance lancinement dans un va et vient sinistre, une danse macabre sans cavalier. Et pourtant il est là pas très loin se demandant encore : pourquoi ?
Il voit par delà les limites de son enfermement le regard de celle qu’il ne cessera jamais d’aimer. Ses yeux d’émeraudes tentent dans un ultime sursaut de le ramener de l’autre côté du rideau, mais il est déjà trop tard, il a sombré dans l’obscurité la plus profonde bientôt lumière et nuit ne feront plus qu’un...et de lui nul souvenir ne persistera. Petite vie inutile perdue à jamais...pourquoi as-tu voulu de moi ?
Polyptyque en 9 carrés de 25 x 25 cm formant une œuvre unique.