B107 - TALL MUNBÂQA 1 (2009) Painting by Philhelm

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Acrylique sur toile / BABYLONIEN : Tall Munbâqa ( Ekalte) est une ville ancienne du nord de la Syrie, sur la rive gauche de l’Euphrate, ayant déjà existé au 5ème millénaire avant J.C. et dont on a retrouvé en 1969 les vestiges d’une ville construite sur les ruines de l’ancienne et datant du 3ème au 2ème millénaire avant J.C. Parmi les tablettes d’argile[...]
Acrylique sur toile / BABYLONIEN : Tall Munbâqa ( Ekalte) est une ville ancienne du nord de la Syrie, sur la rive gauche de l’Euphrate, ayant déjà existé au 5ème millénaire avant J.C. et dont on a retrouvé en 1969 les vestiges d’une ville construite sur les ruines de l’ancienne et datant du 3ème au 2ème millénaire avant J.C. Parmi les tablettes d’argile et statuettes de terre cuite qui avaient été enterrées (certainement en hâte à la suite d’un incendie qui détruisit complètement la ville ?) et retrouvées par les archéologues, certaines avaient des motifs zoomorphes et anthropomorphes tout à fait étonnant. Tout au cours de son existence, la ville eu bon gré mal gré une forte influence étrangère, hittite, égyptienne, mitannienne, cassite puis assyrienne. Aucune autre ville de la période du bronze ancien et moyen n’offre une telle richesse d’information sur la vie de cette époque. Tout cet ensemble de choses ont décidé l’existence de ces deux tableaux Tall Munbâqa 1 & 2. Il faut préciser que la difficulté d’interpréter les documents concernés, de pièces souvent en piteux état et la liberté que je pouvais prendre pour les faire resurgir a été un facteur non moins important. Cela devait être écrit pour mieux comprendre ce qui suit.
Que voyons-nous ou que croyons-nous voir ? De gauche à droite : Une déesse assise en présence d’un adorant lui présentant sans intermédiaire une offrande. Entre-eux un symbole sacré non identifié qui est peut-être l’attribut de la déesse ? La déesse tient dans sa main gauche un symbole de pouvoir, sa main droite relève légèrement son sein gauche ce qui aurait un rapport avec la doléance de son quémandeur ? Le chien assis à ses côtés pourrait éclaircir notre interrogation, puisqu’une déesse guérisseuse de l’époque avait un chien comme animal attribut (déesse GULA)! A la suite dans le ciel un élément indéfini mais souvent interprété comme une comète filante. Suit un dieu assis regardant vers la gauche et tenant par la volonté de votre artiste le monogramme éponyme. Derrière lui sur un support l’étoile à huit branches d’Inanna. La déesse de l’amour Inanna, vue de face poitrine dénudée et bien reconnaissable avec ses firmaments étoilés qui irradient. A ses côtés un autre symbole non identifié sur un pilier. Le deuxième dieu assis, qui semble être le jumeau du précédent, regarde vers la droite tenant dans la main un harpé (qui est devenu par la suite l’emblème du pouvoir royal des rois assyriens), avec à ses pieds un nouveau symbole totémique peut-être plus ancien et non identifié. Au dessus le symbole sacré récurrent de la glyptique mésopotamienne et parfois interprété comme un œil ? A la suite une vieille femme consulte un astrologue devin qui lui montre de la main gauche les pléiades du ciel. S’il est assis, c’est obligatoirement un grand personnage, ce qui était le cas à l’époque.
Dans un autre espace, nous trouvons cinq personnages également très intéressant : d’abord une femme prêtresse puis un symbole sacré surmonté d’un œuf d’autruche ? (les autruches étaient présentes dans les déserts de Syrie et d’Arabie jusque dans les années 1960). Puis une déesse nue (ailée) vue de face qui soutient ses deux seins, encore une image récurrente de la Mésopotamie durant plusieurs millénaires. En final pour ce tableau, deux homme-taureaux à doubles queues martyrisant une captive nue. Nota bene important : initialement si les deux bourreaux avaient véritablement cette coiffure fantaisiste, par contre ils étaient dépourvus de cornes et sur plus de dix mille empreintes de sceaux-cylindres mésopotamiens, c’est le seul cas d’anthropomorphisme à double-queues, a contrario d’animaux mythiques capables d’en avoir jusqu’à sept !
Pour conclure, je tiens à préciser que les éléments recueillis pour peindre ce tableau proviennent d’une fouille faite au même endroit mais à partir de cinq pièces distinctes, chacune avec un groupe de personnages différents, soit de gauche à droite : 2 + 3 + 2 +2 +3.
Quand à la bordure supérieure elle était présente sur une des tablettes.
Astrologue-devin : Voici un exemple de ce que l’astrologue assyrien Bayâ a pu dire à son roi : « Ne crains rien ! Ô Asarharddon, comme un bon pilote, je vais mener le vaisseau à bon port. Le futur sera identique au passé. Je vais t’entourer et te protéger ! »

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In truth, I am writing this to you without lying, the whole story of Philhelm begins in Alsace at the castle of Lichtenberg, on April 23, 1616, when Balthasar Helmlinger, aged 7, lost the Monogram of his eponymous[...]

In truth, I am writing this to you without lying, the whole story of Philhelm begins in Alsace at the castle of Lichtenberg, on April 23, 1616, when Balthasar Helmlinger, aged 7, lost the Monogram of his eponymous descendant. This banal and nevertheless extremely serious incident in the distant past, will trigger the artistic vocation of one of his descendants, 10 generations later!

This painter of today, born in Strasbourg in 1943, has seen his work exhibited and awarded twice in his life (1999 and 2001), and this, only at the “International Biennale of Contemporary Art of Florence” which gave him awarded the City of Florence Prize in 1999.

So that the vulgum pecus is totally disoriented from its experience, that it lets history enter into it without haste, enriched every day by our common ancestral past: whether it is Etruscan, Minoan or Babylonian, otherwise it will never penetrate into inside the paintings, to try to discover the secret causes of things.

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