B103 - Sceau de Tariba Ishtar, quiconque portera ce sceau (-cylindre) restera en bonne santé (2009) Painting by Philhelm

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BABYLONIEN / La scène est d’inspiration néo-assyrienne, une adorante se présente devant ses dieux avec un présent qu’elle tient dans sa main droite, présent qui est un sceau-cylindre représentant à l’identique le monogramme de Philhelm sur ses six faces. Dans l’autre main, il peut s’agir d’une fleur artificielle en métal précieux. A ses pieds, le[...]
BABYLONIEN / La scène est d’inspiration néo-assyrienne, une adorante se présente devant ses dieux avec un présent qu’elle tient dans sa main droite, présent qui est un sceau-cylindre représentant à l’identique le monogramme de Philhelm sur ses six faces. Dans l’autre main, il peut s’agir d’une fleur artificielle en métal précieux. A ses pieds, le symbole totémique du dieu Marduk. Lequel lui fait face, en tenant bien haut les insignes de sa puissance, le cercle rouge et le bâton bleu. Dans sa main gauche un autre symbole le concernant dont la signification m’échappe. De son dos émergent des astres majeurs. Le troisième personnage est la déesse Ishtar qui irradie par un melammû de tout son être. Elle tient un bouquet dans sa main droite.
Dans les sept superpositions du monde mésopotamien (3 cieux superposés + la terre + 3 plans infernaux) figurent de gauche à droite :
- une étoile filante – le croissant couché de la lune avec le soleil au-dessus – trois astres en mouvement – un poisson volant – un météore – le triangle sacré (un œil ?) – et un chien assis avec une irradiation de planètes. L’inscription finale en caractères cunéiformes signifie :
« Sceau de Tariba Ishtar, quiconque portera ce sceau (-cylindre) restera en bonne santé. »
Tariba Ishtar : à partir de l’époque néo-babylonienne, quelques personnages, surtout les rois et certains grands prêtres, rajoutaient le nom d’un dieu ou d’une déesse au leur pour affirmer leur ascendance divine, remontant parfois jusqu’aux sages antédiluviens, les Apkallu, des créatures mi-hommes, mi-poissons. En ce qui concerne Tariba Ishtar, il est fort possible qu’il ait été un grand eunuque (Issar = eunuque).
Marduk : (cité dans la bible sous le nom de Mérodach et de Bêl dans l’ancien testament) Dieu tutélaire de la ville de Babylone, mais d’abord le Dieu agraire.
Ishtar : déesse souveraine chez les Babyloniens, ou Inanna chez lez Sumériens, parfois considérée comme la fille du Dieu de la pluie, surtout connue comme déesse de l’amour libre, elle avilissait puis tuait ses amants après usage (Epopée de Gilgamesh). Chaque nouvel an, le souverain était tenu d’ « épouser » l’une des prêtresses de la déesse, afin d’assurer la fertilité des terres et la fécondité des femelles. Ce rite appelé «Hiérogamie ou mariage sacré » s’est surtout généralisé à la fin du IIIème millénaire.
Melammû : un éclat non terrestre actif et unique émanent d’une divinité et qui irradie à la façon d’un joyau ; il est directement proportionnel à la puissance de la divinité dont il émane et à sa vitalité qu’il traduit en intensité lumineuse. Et ce, jusqu’à la parole divine qui brille de ce rayonnement. Comme tout ce qui est sacré et saint cette splendeur est tout à fait fascinante, mais aussi insupportable jusqu’à être terrifiante. Au niveau métaphysique, la divinité est sentie comme un phénomène inspirant à la fois le respect et la peur. Cette luminosité s’oppose au chaos, au désordre que caractérisent les ténèbres et le silence, car l’éclat a pour antonyme les mots et la notion de sommeil, d’immobilité et de silence : il est à la fois le signe et le moyen du pouvoir et de la souveraineté.

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En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant[...]

En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant éponyme. Ce banal et néanmoins gravissime incident dans le lointain passé, déclenchera la vocation artistique d’un de ses descendants, 10 générations plus tard !

Ce peintre d’aujourd'hui, né à Strasbourg en 1943, a vu son œuvre exposée et primée deux fois dans sa vie (1999 et 2001), et ce, uniquement à la « Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence » qui lui a attribué en 1999 le Prix de la Ville de Florence.

Pour que le vulgum pecus soit totalement dépaysé de son vécu, qu'il laisse sans hâte entrer en lui l'histoire, chaque jour enrichie de notre passé ancestral commun : qu’il soit étrusque, minoen ou babylonien, sinon il ne pénétrera jamais à l'intérieur des tableaux,pour tenter d'y découvrir les causes secrètes des choses.

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