La Place des Boulistes à St-Paul-de-Vence (2017) Painting by Cécile Labossière

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Seller Cécile Labossière

Fine art paper, 8x11 in
  • Original Artwork (One Of A Kind) Painting, Oil on Linen Canvas
  • Dimensions Height 19.7in, Width 25.6in
  • Framing This artwork is not framed
  • Categories Paintings under $1,000 Figurative
La place du jeu de boules Située à l’entrée du village de St Paul, la place Charles de Gaulle, baptisée ainsi après la visite du Général en 1948, est surtout connue sous le nom de place du jeu de boules. La pétanque se pratique sur cette place du lever au coucher du soleil, Bien que l'existence de ce jeu de boules si cher à la région[...]
La place du jeu de boules

Située à l’entrée du village de St Paul, la place Charles de Gaulle, baptisée ainsi après la visite du Général en 1948, est surtout connue sous le nom de place du jeu de boules. La pétanque se pratique sur cette place du lever au coucher du soleil, Bien que l'existence de ce jeu de boules si cher à la région remonte à l'Antiquité, les Provençaux aiment à raconter qu'ils en sont à l'origine. En 1910, alors qu'un de ses amis, perclus de rhumatismes se déplaçait avec difficulté, un certain Ernest Pitiot imagina de lancer la boule les pieds joints, "pe Tanque" en provençal, dans un cercle dessiné sur le sol. Ainsi naquit la Pétanque qui acquit de véritables lettres de noblesse en faisant d'artistes aussi célèbres que les peintres Chagall et Matisse, le sculpteur Mancini, ou encore les comédiens Fernandel, Yves Montand et Lino Ventura de vrais adeptes. Ces derniers, avouaient retarder quelquefois les séances de tournage d'un film pour pouvoir profiter de leurs interminables parties. "Lorsqu'une partie de boules commence, c'est tout un village qui naît" disait Marcel Pagnol.


Vingt ans après, Saint-Paul-de-Vence n'a rien oublié de Montand

Son nom est à jamais lié à celui de Saint-Paul-de-Vence et à la Colombe d’Or, lieu mythique qui vit défiler des générations d’artistes. Ses amis et proches se souviennent d’Yves Montand...

Les clichés de Montand jouant aux boules sur la place, il y en a à foison ! Chapeau vissé sur la tête, cigarette au bout des lèvres, l'air absorbé par le geste qui va déterminer l'issue de la partie, entouré de nombreux amis et de curieux venus à Saint-Paul, autant pour admirer les remparts que ce mythe vivant du cinéma…

Témoin privilégié de ces parties de boules endiablées disputées avec Lino Ventura, Georges Géret, le maire Marius Issert, qui donnaient lieu à des répliques « pagnolesques », Jean-Louis Raffaelli, ancien chef de la Police municipale : « il était acteur, avant tout et il aimait bien satisfaire son public » qui ne perdait pas une miette de ses faits et gestes.

Et sa personne était à ce point liée à la vie du village que son arrivée à Saint-Paul donnait lieu, beaucoup plus qu'à un entrefilet dans Nice-Matin : « le lendemain de la parution, le village était envahi de touristes qui attendaient l'arrivée de l'acteur au Jeu de boules ».

Rémi Pesce : en 1949 « Les feuilles mortes »

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'artiste est connu comme chanteur. En 1949, son ami, le guitariste Henri Crolla l'entraîne à la Colombe d'or, l'artiste Rémi Pesce raconte : « A ce moment-là, j'y travaillais et le premier souvenir que j'ai, c'est Montand en train d'interpréter "Les feuilles mortes". »

Mais ce qu'il ne sait encore pas c'est que désormais son destin et celui du village seront étroitement liés. Ce destin va se manifester, par un coup de foudre, qui fit grand bruit, et qui s'achèvera par un mariage, le 22 décembre 1951. Un mariage qui n'a rien d'anodin et qui aura pour effet de projeter le couple Signoret-Montand sous les feux de la rampe, mais aussi le village, désormais aussi célèbre dans le monde que « la montée des marches » puisqu'on y vient pour voir et être vu, mais aussi pour rencontrer ce couple devenu mythique.

Le couple « locomotive du village »

C'est le cas du journaliste Yvan Levaï : « Je passais mes vacances tous les étés à Valbonne. Je suis passionné de vélo et plusieurs fois par semaine, mes balades s'achevaient par une visite à Simone et Yves, à la Colombe. »

Pour l'écrivain, Marek Halter, le scénario est identique :« La première fois que je suis descendu à la Colombe, c'est pour eux. C'était il y a trente ans, et c'est là qu'avec Simone nous avons eu l'idée de créer "Touche pas à mon pote" ».Le couple est perçu, par beaucoup comme « la locomotive » du village qui acquiert dès lors une stature nationale et internationale !

Et l'acteur s'intègre parfaitement à la vie locale. Certes à Saint-Paul, il n'oublie pas sa carrière : « Il travaillait chaque jour ses pas de danse, le chant »,et avant certaines émissions de télévision, il testait les effets de certains propos devant ses amis Francis Roux entre autres.

Il avait aussi les promenades qu'il qualifiait « d'entretien » et qu'avec Rémi Pesce, ils accomplissaient, aux Gardettes, dans les bois de la Sine : « il nous arrivait de monter à Vence à pieds ou d'emprunter les chemins autour du village », une pratique bien ancrée que Marius Issert relate dans son ouvrage : « Souvenirs d'un Maire : 1945-1995 ». « Au cours de ses balades, il notait des imperfections qu'il venait quelquefois me signaler et que je faisais réparer au plus vite. Ce qu'il appréciait. Il me donnait également son avis toujours judicieux. »

Un intérêt pour la vie du village et ses habitants que relate le sculpteur : « Il venait me voir à mon atelier, il me regardait travailler et me posait des tas de questions, car c'était un personnage curieux et ouvert aux autres ». Subjugué par le travail de l'artiste, il lui fera une promesse : « quand je remonterai sur les planches de Bercy, je parlerai de toi », mais la mort l'en empêchera et en souvenir Rémi Pesce créera une statue en bronze de Montand… en train de jouer aux boules, et qu'il offrira à Carole et à Valentin.
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Born in Bordeaux on January 6..., magical day of the Three Wise Men from the East and bearers of the 3 gifts, gold, myrrh and incense, guided by the light of a star... ...of a mother from Bordeaux, a[...]

Born in Bordeaux on January 6..., magical day of the Three Wise Men from the East and bearers of the 3 gifts, gold, myrrh and incense, guided by the light of a star...
...of a mother from Bordeaux, a father from Martinique,
...one day in 1994 Cécile LaBossière started painting, quite naturally and spontaneously guided by her innate and irresistible attraction to painting.
... this is how, at the end of her professional career as a management assistant at the Bergonié Institute, the Bordeaux and South-West Cancer Center, she will never stop painting.

Her works are born from...writing, poetry, also from her roots with which she feels inseparable and towards which she has always been going to encounter through genealogy, from this love that she has for Nature who inhabits it, that it inhabits to which it belongs and of which it feels an element, certainly tiny but for all that, inseparable even...indispensable. Nothing exists by chance.
All of this awakens enthusiasm and inspiration in her, guides her hand to the point of making her lose this very relative notion of time passing. This time which, of the person only degrades his visible aspect, his vehicle, allowing his soul to evolve, to flourish, to slip away, to aspire towards other horizons, other universes, other Suns...Never jostle anything or rush, everything only happens in its time...

Immersed in nature or in her small workshop, alone in front of her easel, she is always accompanied by background music and imbued with memories... of the last ray of sunlight filtered through the foliage, of the smell emanating from the warm earth beneath the downpour, the scarf of mist finishing to fray, the lizard sneaking under some old stones warmed for a long time in the sun...

She most often works with oil, of which she likes the content and natural richness of the gloss, more rarely with acrylic, with a brush, with a knife or even with her fingers,... on any support within her reach, cardboard recycled or canvas, wood, but she likes the look and feel of linen canvas with which she has a special relationship.





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Silver Award 2014 Awarded to Cécile LABOSSIÈRE

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