Baalajc
REVUE DE PRESSE
La lutte éternelle de l'art qui fait l'amour avec la vie
Le peintre et sculpteur Samba Baala, est un artiste à suivre pour son talent à s' "adapter" à "toute" matière. Au début ( à l'époque de notre connaissance : la période de l'aventure des ateliers et de la nouvelle galerie communale de Créteil, le GAC de la place Mitterrand) sa recherche allait plutôt vers la peinture post impressionniste , typiquement française.
Il creusait dans l'histoire des peintres qui ont traversés ce coté périphérique / historique de Paris, la Val de Marne, le pont de Cezanne, les promenades des impressionnistes qui travaillaient sur l'herbe du fleuve, la fameuse campagne des peintres impressionistes... Et je pense aussi à l'Abbaye, lieu magique, qu'a donné inspiration à beaucoup d'artistes de l'époque.
C'est dans cet esprit que notre groupe d'artistes italiens a rencontré ce peintre Samba Baala ; dans la mémoire d'un lieu, où des peintres, des poètes français et italiens se rencontraient pour discuter d'art , de poésie, de l'occident, et du nouvel exotisme oriental que ramenaient de leurs voyages beaucoup d'artistes et écrivains de cette époque artistique romantique...
Après cette période post impressionniste, l'artiste Samba Baala tourne son regard vers l'art contemporain de l'après moderne. Il visite les années 60/70, les avant-gardes historiques, en arrivant à l'Arte Povera, importée par les italiens en Europe et dans le monde... Un jeu d'échanges et d'influences inter culturels, entre son histoire originaire des îles françaises (Guadeloupe) et l'histoire de la peinture plutôt franco-éuropéenne occidentale...
Mais cet artiste multiculturel ne s'arrête pas là ; il commence à s'intéresser à la matière ; non plus arte povera, donc, mais bois, pierre et tous les outils, medium, classiques, pour se donner à la vraie et dure sculpture... Dans ces derniers temps et pendant nos visites à ses expositions, dans son atelier de Créteil, on a assisté à l'évolution de l'oeuvre de cet artiste multiculturel, qui est allé au-delà des dimensions picturales, pour se mesurer à la force puissante de la pierre.
Sa dernière recherche est un combat poétique avec la matière qu'il essaye de "manipuler" à son usage comme dans l'esprit et volonté de puissance du désir, toujours à de-venir, du sculpteur. Samba est maintenant donc un sculpteur, un poète guerrier qui lutte avec la matière et comme tous les vrais artistes laisse entrevoir dans cette lutte , une autre lutte : celle pour une vie et un monde meilleur... La lutte éternelle de l'art qui fait l'amour avec la vie, la vraie vie des libres esprits, comme racontait le bon philosophe F. Nietsche...
Rachel et Ermano
[ extreme jonction ]
MÉTISSAGE ENTRE LA CHINE ET L'OUTRE-MER
Jean-Claude Baala, peintre plasticien, originaire de Guadeloupe s'est rendu en Chine à l'occasion de la "China Art Exposition". C'était la première fois qu'un artiste originaire d'Outre-Mer était invité. Les associa...
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REVUE DE PRESSE
La lutte éternelle de l'art qui fait l'amour avec la vie
Le peintre et sculpteur Samba Baala, est un artiste à suivre pour son talent à s' "adapter" à "toute" matière. Au début ( à l'époque de notre connaissance : la période de l'aventure des ateliers et de la nouvelle galerie communale de Créteil, le GAC de la place Mitterrand) sa recherche allait plutôt vers la peinture post impressionniste , typiquement française.
Il creusait dans l'histoire des peintres qui ont traversés ce coté périphérique / historique de Paris, la Val de Marne, le pont de Cezanne, les promenades des impressionnistes qui travaillaient sur l'herbe du fleuve, la fameuse campagne des peintres impressionistes... Et je pense aussi à l'Abbaye, lieu magique, qu'a donné inspiration à beaucoup d'artistes de l'époque.
C'est dans cet esprit que notre groupe d'artistes italiens a rencontré ce peintre Samba Baala ; dans la mémoire d'un lieu, où des peintres, des poètes français et italiens se rencontraient pour discuter d'art , de poésie, de l'occident, et du nouvel exotisme oriental que ramenaient de leurs voyages beaucoup d'artistes et écrivains de cette époque artistique romantique...
Après cette période post impressionniste, l'artiste Samba Baala tourne son regard vers l'art contemporain de l'après moderne. Il visite les années 60/70, les avant-gardes historiques, en arrivant à l'Arte Povera, importée par les italiens en Europe et dans le monde... Un jeu d'échanges et d'influences inter culturels, entre son histoire originaire des îles françaises (Guadeloupe) et l'histoire de la peinture plutôt franco-éuropéenne occidentale...
Mais cet artiste multiculturel ne s'arrête pas là ; il commence à s'intéresser à la matière ; non plus arte povera, donc, mais bois, pierre et tous les outils, medium, classiques, pour se donner à la vraie et dure sculpture... Dans ces derniers temps et pendant nos visites à ses expositions, dans son atelier de Créteil, on a assisté à l'évolution de l'oeuvre de cet artiste multiculturel, qui est allé au-delà des dimensions picturales, pour se mesurer à la force puissante de la pierre.
Sa dernière recherche est un combat poétique avec la matière qu'il essaye de "manipuler" à son usage comme dans l'esprit et volonté de puissance du désir, toujours à de-venir, du sculpteur. Samba est maintenant donc un sculpteur, un poète guerrier qui lutte avec la matière et comme tous les vrais artistes laisse entrevoir dans cette lutte , une autre lutte : celle pour une vie et un monde meilleur... La lutte éternelle de l'art qui fait l'amour avec la vie, la vraie vie des libres esprits, comme racontait le bon philosophe F. Nietsche...
Rachel et Ermano
[ extreme jonction ]
MÉTISSAGE ENTRE LA CHINE ET L'OUTRE-MER
Jean-Claude Baala, peintre plasticien, originaire de Guadeloupe s'est rendu en Chine à l'occasion de la "China Art Exposition". C'était la première fois qu'un artiste originaire d'Outre-Mer était invité. Les associa...
- Nationality: GUADELOUPE
- Date of birth : unknown date
- Artistic domains:
- Groups: Contemporary Artists From Gouadeloupe
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PORTRAITBAALA JEAN-CLAUDE ( DIT SAMBA )
PORTRAIT
de la Guadeloupe aux musées de Florence
Baala Samba a vu le jour à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe. L’identité de cet artiste attachant s’est forgée entre la générosité des forêts tropicales, la douceur des plages de sable blanc et la force des rythmes de Gro Ka.
Rebelle à l’enseignement académique, cet autodidacte va s’improviser tour à tour, barman, acteur et goûter au plaisir du voyage lors de son premier départ pour la Métropole en 1976. Au cours de ses déambulations dans le sud de l’Europe, il découvre l’Italie et ses splendides musées florentins regorgeant de trésors de la Renaissance, l’Espagne et ses Maitres sacrés tels Goya et Vélasquez.
Devant cette profusion de créations, il s’interroge. Aurait-il découvert une voie ? C’est à Paris, sur les rives de la Seine, que son destin artistique va se jouer. Lors d’une exposition itinérante, il découvre la période cubiste du Maitre de Mougins. Le sort en est jeté, il sera peintre ; lui ; l’autodidacte, décide de s’inscrire dans une école d’Arts , Place des Vosges à Paris.
Après quatre années d’apprentissage où il consacre la majeure partie de son temps libre à l’étude des objets mis en situation, champs pictural ouvert par le nouveau réalisme, il s’oriente vers la décoration d’intérieur (trompe-l’œil, faux marbre, etc… ), qui chez Samba devient une décoration intérieure. Baala samba accumule les rencontres avec des artistes de tous les horizons n’hésitant pas à les inviter dans sa galerie, afin d’exposer avec lui.
DÉMARCHE ARTISTIQUE
Qu’est-ce qui peut être vu et qui mérite que l’on y plonge son regard en quête de la vérité de l’instant ? C’est cela que mes yeux et mon cœur recherchent.
Dans un premier temps, je décidai de sortir certains objets du cimetière où l’habitude et la faiblesse humaine jettent tout ce qui a cessé de lui être utile et dont elle ne trouve pas usage. Donner à ces objets une nouvelle vie et à ceux qui voudraient les regarder une nouvelle chance. Je créai en explorant mon imaginaire et en dévoilant les matériaux les plus simples, tels que : la terre, le sable, le bois, des scènes dont les reliefs offraient la possibilité d’un voyage intérieur. Je décidai, par une série de vitraux en papier de remplacer la lumière du soleil par la lumière du regard intérieur.
Après la matière, les formes et les couleurs, je décidai d’ouvrir l’instant vers le passé et l’avenir, par le vieillissement des surfaces.
Il en résulte des œuvres instinctives, violentes, mettant en exergue des matériaux utilisés. Sur le sable, réparti généreusement sur la toile, vient adoucir comme une lumière du regard intérieur, l’âpreté des reliefs.
Aujourd’hui, par la réunion de ces différentes approches, je continue de proposer à mes semblables une expérience de vie qui mènerait à la sérénité...
SAMBA
l'enfant de Capesterre-belle-eau ,
"Nos ancêtres les Gaulois" : cette petite phrase apparemment anodine fit naître chez SAMBA, natif de la Guadeloupe, une solide aversion pour toute forme d'enseignement académique. Dès lors, son identité se forme entre la générosité des forêts tropicales, la douceur des plages de sable blanc et la force des rythmes du Gro ka.
Samba vit son enfance et son adolescence à Capesterre-belle-eau , en Guadeloupe, jusqu'en 1970. Pour gagner sa vie, il s'improvise plongeur, serveur, acteur d'un jour et barman. La chance lui sourit quand il remplace au pied levé l'animateur d'une boite "branchée" de la Caraïbe. Là, il entame une fulgurante carrière de disc-jockey qui l'amène à côtoyer les stars du show biz de passage dans les iles. Mais, lassé de cette vie faite de stress, de strass et de paillettes, SAMBA disparaît sur la pointe des pieds et s'envole pour la France, avec pour tout bagage ses papiers d'identité.
Nous sommes en 1976. La vague flower power passée depuis longtemps, mais "faire la route" est encore le meilleur moyen pour lui de connaitre du vagabondage cher à Jack KEROUAC.
Au cours de ses déambulations dans le sud de l'Europe, il découvre l'Italie et ses splendides musées florentins regorgeant de trésors de la Renaissance, l'Espagne et ses monstres sacrés, tels GOYA, VELASQUEZ. Devant cette profusion de créations, il s'interroge : aurait-il découvert sa voie ? C'est à Paris, sur les rives de la Seine, que son destin artistique va se jouer. Lors d'une exposition itinérante, il découvre la période cubiste du MAÎTRE DE MOUGINS. Le sort en est jeté : il sera peintre ; lui, l'autodidacte, décide de s'inscrire dans une école d'art, place des Vosges, à Paris.
Commencent alors, quatre longues années d'apprentissage et de sacrifices, car il lui faut travailler dans la journée et peindre la nuit. Il consacre la majorité de son temps libre à l'étude des objets mis en situation, champ pictural ouvert par le NOUVEAU RÉALISME. Mais, là où ce mouvement tendait à reléguer les objets dans une forme d'anonymat, lui, tente de leur restituer un sens en donnant une nouvelle vie, une nouvelle chance à ceux que notre faiblesse humaine nous entraîne à jeter quand ils ont cessé d'être utiles.
Ainsi bois, cuir, drapés, sable posés à même la toile ne sont pas agencés en fonction des règles esthétiques établies mais mis en scène... Sorte d'invitation au voyage intérieur, symboles qui nous renvoient à l'histoire de BAALA SAMBA.
Il en résulte des œuvres instinctives, violentes, mettant en exergue les matériaux utilisés. Seul le sable réparti généreusement sur la toile vient adoucir comme une lumière du regard intérieur l'âpreté des reliefs.
Ma vision de l'art
Mon sentiment est que les hommes ne savent pas voir, toucher, sentir les êtres et les objets qui les entourent. Nous n'échappons pas à la méprise ou à l'indifférence de l'autre. Qu'est - ce qui peut pourtant être vu - et qui mérite que l'on y plonge son regard, en quête de la vérité de l'instant ? C'est cela que mes yeux et mon coeur recherchent.
Dans un premier temps je décidais de sortir certains objets du cimetière où l'habitude et la faiblesse humaine jettent tout ce qui a cessé de lui être utile et ce dont elle ne trouve pas l'usage. Donner à ces objets une nouvelle vie et à ceux qui voudraient les regarder, une nouvelle chance.
Puis j'explorais mon imaginaire de manière plus personnelle, et je créais de scènes dont les reliefs offraient la possibilité d'un voyage intérieur et la découverte des illusions qui nous poussent à occuper l'espace. J'utilisais beaucoup à l'époque le drappé, qui dévoilait les matériaux les plus simples, la terre, le sable, le bois.
Je décidais ensuite de remplacer la lumière du soleil par la lumière du regard intérieur. Cela conduisit à une série de vitraux en papier kraft que les yeux devaient traverser pour que le sujet devienne transparent.
Nouvelle étape, après la matière, les formes et les couleurs, je partis à la découverte du temps, et décidais d'ouvrir l'instant à la fois vers le passé et l'avenir. Je travaillais alors le vieillissement des surfaces, l'illusion des dimansions et de la présence.
Aujourd'hui, je pars pour une réunion de ces différentes approches, et je continue à proposer à mes semblables une expérience de la vie qui nous mènerait à la sérénité.
© textes écrits en collaboration avec
Jean-Louis GALOPIN
l'expos 1999

Les expos 1999
Qu’est-ce qui vous a amené à proposer une exposition à la Galerie d’Art ?
La configuration de ce lieu me permet de mettre en forme une nouvelle recherche.
De quoi s’agit-il ?
Mon parcours autour de l’image m’a conduit à reconsidérer l’instant, c’est pourquoi je présente une projection de diapositives redimensionnées, ce qui marque une nouvelle séquence dans ma recherche plastique.
Vous présentez aussi des toiles, quels matériaux utilisez-vous ?
De la toile de jute, du tissu, des pigments, mais aussi des composants électroniques et même du sable...
Quel lien entre tous ces éléments ?
De la colle !
Mais plus sérieusement ?
Les accessoires, plutôt que les matériaux, me servent à jouer de l’ambiguïté entre l’aléa de la palette graphique et l’aléa cybernétique. La technologie transfigure l’homme moderne, je m’efforce d’utiliser les restes de cette technologie au profit d’une nouvelle palette.
Vous êtes originaire de la Guadeloupe, votre peinture retrace-t-elle cette identité ?
En effet, l’inspiration caraïbe est essentielle dans le travail que je présente mais, à travers cette exposition, je me suis attaché à explorer les rapports entre la technologie et la civilisation.

Article
Les arts plastiques avec
les artistes du Port et de la Source à Créteil
Depuis quand êtes-vous installé à Créteil ?
Je me suis installé dans cet atelier, en octobre 1976. Et l'aventure a commencé. Je diINTERVIEW
sposais désormais d'un espace à moi, mais j'avais aussi l'idée de l'ouvrir à d'autres artistes parce que j'avais moi-même rencontré de grandes difficultés avant de trouver un endroit où travailler.
Votre activité d'aujourd'hui est-elle conforme à l'idée que vous vous en faisiez en 1976 ?
Oui. Ça a pris du temps, mais aujourd'hui, beaucoup d'expos ont vu le jour dans ce lieu. Les accrochages se sont succédés au fur et à mesure des rencontres, ce qui m'a amené à consacrer une partie de mon atelier aux expositions.
Votre programmation est-elle orientée essentiellement vers les artistes cristoliens ?
Il ya des artistes cristoliens, mais pas seulement. Les propositions m'arrivent de toutes parts.
Quels sont les critères pour exposer dans votre galerie ?
Mes critères ne sont pas définis a priori. La rencontre, le dialogue, la visite des ateliers, le suivis de l'artiste sont bien plus importants pour moi qu'une quelconque grille de critères.
Peut-être vous prête-t-on un style ?
On a trop souvent dit de mon travail de plasticien qu'il était surréaliste, contemporain, original, symboliste et que sais-je encore. Je reste très amusé par ces mots. Je vous renvoie aux expos de mes amis, Naïli, par exemple, ou du peintre Gaëtan Vorchin à qui je rends hommage puisqu'il nous a quittés. En fait, la programmation est très ouverte.
Comment fait-on pour exposer chez vous ?
On peut me contacter à la galerie, je reçois les artistes et on envisage un projet d'expo si le contact se noue. Cela s'est passé ainsi avec Jean-Luc Ferrari dont je vous invite à venir découvrir les collages jusqu'au 7 décembre.
© Vivre Ensemble à Créteil
décembre 2003
Article
Sa mission consistait à exporter son art et l'image des DOM-TOM. Faire connaitre l'Outre-Mer aux Chinois, un sacré challenge. Mission réussie pour le peintre qui a lui aussi tiré profit de son expérience en Chine : "Je me suis absorbé de la culture chinoise. Il faut maintenant que j'approfondisse le travail à l'encre de Chine", confie Jean-Claude Baala. Plus qu'une découverte, ce séjour ressemble à une révélation pour l'artiste qui envisage de métisser l'art chinois à ses propres techniques et couleurs.
Jean-Claude Baala a effectué le voyage avec 22 de ses toiles fondées sur le thème de la technologie et l'informatique. "Bientôt, nous n'aurons plus besoin de souris avec nos ordinateurs, car on nous implantera des puces et nous serons nous-mêmes les souris", affirme le peintre.
C'est la première fois, sous les auspices du ministère de la Culture Chinoise, qu'un artiste de la Caraïbe a eu le privilège de représenter la France dans une telle manifestation. Compte tenu de l'importance de l'évènement, il fallait fêter cela.
Après le week-end caraïbéen, l'Association "Bleu-Caraïbe", avec le concours des municipalités du Mée-sur-Seine, de Melun, de Dammarie et des associations "Les Flamboyants" de Dammarie-les-Lys et "Ame Antilles" de Melun, ont organisé, dimanche dernier, un grand punch en musique dans la salle du Mas au Mée-sur-Seine.
Boudin créole, accars, punch planteur... Le tout sur fond de rythmes antillais grâce au groupe musical de "Lys Antilles". Pour un peu, on entendait les vagues et le vent souffler dans les palmes des cocotiers.
M.L. GUERRIER
[ Le Mée-sur-Seine - octobre 1999 ]
BAALA SAMBA EN CHINE
L'artiste plasticien natif de Pointe-à-Pitre et installé à Créteil (94) a participé, du 15 au 19 septembre 1999, à China Art Exposition 99, au Centre international des expositions de Pékin, dans le cadre des festivités marquant le 50e anniversaire de la République de Chine.
[ France Outre-Mer - octobre 1999 ]
vu dans "NIGHT" # 40 :
ANTON PERICH : BAALA SAMBA, MOLECOLE D'AMORE, L'AUTRE GALERIE NEW GNAC, PARIS/CRETEIL JUNE 1998
Expositions sur les Antilleset la Guyane
Expositions sur les Antilles et la Guyane - Entrée libre
Exposition réalisée par les élèves des écoles et les collèges de Lognes
Exposition de photographies par Jérôme Mesnager (artiste lien du prochain Trot'Art)
Exposition de sculptures et de peintures de J.-C. Baala, H. N'Goalo et de S. Hidalgo
Exposition sur " l'esclavage " réalisée par l'université Paris VII Jussieu.
Visite des expositions du lundi 14 au vendredi 25 novembre 2005 aux heures d'ouverture du Centre Simone Signoret. Renseignements au 01 64 62 93 40 ou au 01 60 05 26 49.
Animations
Différentes animations seront proposées du 14 au 25 novembre 2005 aux enfants des centres de loisirs et aux jeunes Lognots.
Mercredi 16 novembre 2005 à partir de 14h - pour les enfants
Atelier madras avec Création Segrais
Contes des Antilles par Joël Flam
Goûter des Antilles et de la Guyane
Temps fort le samedi 19 novembre à partir de 14h - Entrée libre
Démonstration de Gwoka (percussions créoles)
Démonstration d'artisanat des Antilles
Visite guidée de l'exposition et quiz
Projection d'un documentaire sur les Antilles françaises à 15h30
Conférence/débat sur les migrations des Antillais et des Guyanais en métropole, avec l'écrivain Frankito à 17h
Démonstration de percussions créoles et défilé de femmes en costumes traditionnels à 18h
Chants créoles avec des écoliers de Lognes
Dégustation de spécialités culinaires à partir de 19h
Concert de Claude Rozan à partir de 20h
Mercredi 23 novembre 2005 à partir de 14h - pour les enfants
Animations ludiques et pédagogiques
Vendredi 25 novembre 2005 en soirée.
Dîner traditionnel créole et soirée dansante.
Informations et réservations au 01 64 62 93 40 ou au 01 60 05 26 49.
ACCÈS
Par la route :
Autoroute A4 Direction Marne-la-Vallée
Sortie 10, Sortie 10a, Marne-la-Vallée-Val Maubuée-Sud, Lognes, Zone d'Activité Pariest, Croissy-Beaubourg
Suivre Lognes-Le Segrais
Par les transports en commun de Paris :
RER Ligne A direction Marne-la-Vallée - Chessy
Station Torcy
Puis Bus 211 direction Centre commercial Chelles 2 - arrêt Camille St-Saëns
dossier de Samba Baala
galerie sculptures