Nico Cofu Arach
"Enessa... The Yuma's wife"
Digital Arts
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13 artworks by Nico Cofu Arach (Selection)
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Une galerie qui pourrait tout aussi bien s'intituler "shame on me" ou "wanted". Un aveu, preuve sur[...]
Une galerie qui pourrait tout aussi bien s'intituler "shame on me" ou "wanted". Un aveu, preuve sur votre écran, du coté obscur auquel il m'arrive de céder, sans honneur mais pas sans remords... Voilà docteur (vous permettez que je vous appelle docteur?)... Dans ces moments là, parfois à peine quelques secondes, je deviens un Mr Hyde à focale... Un chasseur devant sa proie, prêt à tout pour la capturer à cet instant fugace où elle devient trophée. Un gros salopard pour qui "ni femme, ni enfant" n'a plus le moindre sens quand dans sa folie il s'imagine leur rendre hommage.
Un sniper qui ne colle plus forcément un oeil à la lentille quand il va au contact avec son seul objectif...
Mais aussi un enfoiré repentant, qui se dit que l'expérience du "petit monde" de Milgram pourrait se commencer ici et faire revenir les clichés à ceux qui en sont les stars... Qui sait?
Un sniper qui ne colle plus forcément un oeil à la lentille quand il va au contact avec son seul objectif...
Mais aussi un enfoiré repentant, qui se dit que l'expérience du "petit monde" de Milgram pourrait se commencer ici et faire revenir les clichés à ceux qui en sont les stars... Qui sait?
Nico Cofu Arach
"Coeur migrant."
Photography
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Nico Cofu Arach
"Les Amoureux d'Angkor."
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Nico Cofu Arach
"Le T-shirt rouge (sniped)"
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Nico Cofu Arach
"Pénitranse..."
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Nico Cofu Arach
"Prendre la mer"
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Nico Cofu Arach
"Le bras droit du Che."
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Nico Cofu Arach
"Le secret du pope."
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Nico Cofu Arach
"Seuls à deux."
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Nico Cofu Arach
"Les copains."
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Nico Cofu Arach
"L'embuscade."
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Nico Cofu Arach
"La vida loca."
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Nico Cofu Arach
"La vieille femme et la mer..."
Photography
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Recognition
Editor's Pick
The artist's works have been noticed by the editorial staff
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Biography
Nico Arach... A human entity born in winter in an American enclave of Paris...
Philosophy and history will lead him to take a first curious and doubtful look at the world,
the focal length of a camera will quickly replace the eye and the idea which ignites it and sheds light on its questions.
The man's quest then becomes that of the photographer.
the journey does not take into account the boundaries of men and genders, the journey is plural and,
in the end, the answer is only poetry...
Art in Capital events at the Parisian Grand Palais, at the poly-artistic salon des Féérotiques de Rennes, in the rooms of the Barock' Café, in the cellars of La Cantada, Pages of Mad magazine on the quays of Cancale, of an old Breton chapel on the walls of Démonia, the works of Nico Arach catch the eye, often even the heart, and
then go for other smiles and
other travelers...
Camille De F.
-
Nationality:
FRANCE
- Date of birth : unknown date
- Artistic domains:
- Groups: Contemporary French Artists
Influences
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Education
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Artist value certified
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Achievements
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Last modification date : Oct 3, 2023
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Reviews and comments
Des oeuvres fortes et belles
Touchée au coeur par vos oeuvres si atypiques, si poétiques : je suis sous le charme !!!
Challenge réussi, c'est un hymne à la beauté de la vie que vous nous offrez. Merci Nico.
Isabelle
Gratulation zu dieser Wundervollen Galerie diese Fantastischen Kunstwerke anzuschauen ist ein Erlebnis,jedes dieser Grandiosen Fotografien erlaubt mir zu sagen,das hier ein Großartiger Künstler mit dem Blick für das Aussergewöhnliche und das Schöne sein können hier unter Beweis gestellt hat,ich erlaube mir weiterhin diese Galerie zu besuchen und zu empfehlen.
Mit großer Wertschätzung Norbert A Dietzen
Vos mots portent la genèse du premier mantra.
Et naissent les étoiles d’un nouveau jour.
Merci Kriss N'koumenzoghe d'en tisser l'aube et le crépuscule...
Merci de nous en faire voir de toutes les couleurs avec autant de poésie, de rage, de tendresse et d'humour !
La Lumière,
Tout est Lumière et vient de La Lumière
Dont nous n'avons ici qu'une pâle lueur
Peinant à se mirer dans le miroir inversé
de notre triste demeure.
Merci pour votre message troublant de vérité.
Cette oeuvre manifeste l'adombrement
d'une remarquable luminescence.
Votre photo rend visible, presque palpable, cette ivresse de l'attente magnifique et terrible.
"Nous sommes tous des animaux travestis". Qu'en termes élégants !.. Merci Nico pour le soin que vous avez pris à me répondre et avec quel talent ! A creuser : offrande/sacrifice...
Encore une fois, Eve, vos mots sont les torches qui, éclairant avec sensibilité la démarche, en soulignent aussi de nouveaux questionnements. L’animalité sacrificielle n’était pas réfléchie de ma part mais je la reconnais à présent. Elle tient vraisemblablement dans la posture de la communiante, sa crinière et sa nudité… Nous sommes tous des animaux travestis. Nos habits sont les convenances qui masquent l’état basique de notre nature complexe. Débarrassé des oripeaux de la bienséance, l’animalité saute au yeux. Aussi, quand elle s’inscrit dans le champs narratif d’un quelconque rituel elle amène culturellement à l’idée de sacrifice, laquelle est alors évidement, naturellement et fondamentalement dérangeante; du moins à vos yeux autant qu’aux miens. Le propos de cette série n’était pourtant pas le sacrifice mais l’offrande; un abandon sacerdotal amoureux dont le consentement, le partage érotisé et donc le plaisir sont les valeurs intrinsèques. Mais leur frontière commune est perméable. Vous le rendez évident. Du coup, pour abréger et dans l’espoir de vous faire sourire en vous rendant moins dérangeant le jeu de ces complices, je me permettrai de préciser en mention bonus, légale et déconnante, qu’aucun des animaux présent sur le tournage n’a été blessé ou malmené (même à moitié) pendant le shooting… ;-) ...Respects invariables.
Merci Eve... J'ajouterai que de notre trio Ennio Morriconien la seule victime ne s'est aperçu de rien et s'en est très bien sortie, sans même un air d'harmonica...
Une embuscade très joliment fomentée et réalisée !
Je trouve votre photo saisissante, troublante, dérangeante. J'y vois, commis en toute complicité, par deux êtres moitié humains/moitié animaux, un acte rituel et sacrificiel. La caisse enchaînée au premier plan pourrait peut-être figurer la boîte de Pandore ? J'inscris "Les officiantes" dans ma collection "Accueillir ce qui dérange".
Merci beaucoup Eve... Du coup j'en reste coi; espérant seulement que vous peuplerez encore ces espaces partagés avec toujours autant de bienveillance et quelques nouveaux sourires. Respectueusement vôtre.
"Troupeau de nuages" ou "Dragon gallois"... parfois, je ne parviens pas à savoir si ce que je préfère ce sont vos photos ou les textes qui les accompagnent. C'est le cas ici. Félicitations pour les espaces de rêve que vous offrez !
Bravo pour la photo, saisissante et superbe ! et pour votre texte qui me fait démarrer la journée par un éclat de rire...
Absolument Annick... Chaque cimetière à sa personnalité. Certains en ont donc plus que d'autres. Le Père Lachaise est un univers complet. Vous adorerez y promener votre regard et le laisser guider par l'errance propice à la découverte. Si vous passez par Paris pour quelques jours vous apprécierez avec talent vous y perdre quelques heures.
Merci Eve... Il est vrai qu'elle fut belle et qu'elle le redevient avec émotion quand, instrumenté des calques photoshop on en soulève le suaire. J'en fus surpris. Je ne m'attendais pas à un résultat aussi émouvant. Rapidement ce ne fut plus un travail mais une invocation sentimentale, presque amoureuse, comme un esthète peut l'être d'une oeuvre oubliée de tous qu'il redécouvrirait sous un quelconque barbouillage.
Complètement posée dans sa propre présence au monde, dans sa solitude habitée, elle REGARDE. Il y a chez cette femme en chemin depuis bien longtemps une liberté et une souplesse magnifiques ! Je l'inscris avec bonheur dans ma collection "Le sablier".
Je trouve votre regard magnifique, qui illumine les belles perdues dans la nuit des temps.
Superbe hommage, touchant, à cette belle inconnue...J'aime également me balader dans les cimetières : on peut y faire d'émouvantes découvertes...Bravo ! Amicalement.
Je suis d'accord, Ôbel'Isa... La végétation donne une unité organique indéniable à de nombreux sites d'Angkor. Cette symbiose entre les vanités en ruines et le vivant luxuriant est alors terreau de l'imaginaire intuitif de notre humanité en questionnement.
Vous avez tout résumé (l'intention et la situation) en une seule phrase. Merci Annick...
Obel'Isa
•
C'est fort, irréel, une présence de nulle part qui est partout. Merci Bravo Nico.
Isabelle
Bravo ! Belle illustration de l'effroyable situation vécue en Palestine ces derniers jours, conséquence d'une situation intenable depuis...70 ans ! Très belle photo ! Amicalement.
Tout est mouvement, écrivait l'auguste électron libre. Tout est vibration, ajouterais-je humblement, et toute vibration est musique... Les mots mis ici en partition, nos petits atomes sur la portée de nos existences jusqu'aux sentiments qui les parcourent dans un concerto dont nous possédons rarement toutes les clefs. Heureux encore une fois, chère Eve, d'en avoir partagé quelques accords, quelques silences, de nouveaux sourires.
"Juste parce qu'ils étaient magnifiques..." : ça peut en effet justifier beaucoup de choses ! La poésie et la beauté recueillies dans votre photo par votre regard et vos mots me bouleversent.
a paintiing with so many words ! good job Nico.
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