Kendjy

Je peins mon temps, sa laideur, sa précarité et sa folie en tentant de lui donner le rayonnement esthétique et la beauté des œuvres qui m’inspirent. Une partie de mon travail consiste à revisiter des tableaux célèbres en les transposant à notre époque avec les stigmates de la culture urbaine. Je m’aventure sur le territoire du sacré comme du profane et questionne les limites de la “culture pop”, dans La Descente de croix par exemple. J’explore les mécanismes de construction et de destructions esthétiques, notamment dans la série Vandalisme. Mon goût pour les univers de Goya, Le Caravage ou encore De Vinci allié à celui de la culture Hip-hop se ressent dans l’ensemble de mon travail d’inspiration à la fois classique et romantique empreint des codes du Street Art.