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Bruno Mesrine

Back to list Added Jun 11, 2020

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Mon oeil en bataille.

Le sens, chimère en feu.

Mon mégot, tout seul, vous jette un regard noir.

Mais sans compréhension.

Je cri, pleure, branlent mes cheveux d’extases.

Leo, mon copain du temps à jamais perdu.

Papier en plastique, jeté avec mes orties de solitude.

Des années ou encore, je bandais pour la frimousse de ton dos, 

piège inconscient qui fabrique des chauves pas souris,

qui ne transcendent que sur sommation d'imbéciles endimanché,

souriant dans la braguette vide de la télévision.

Dictionnaire américain qui impose sa stupidité, en Français.

Tu en veux encore de la vérité, 

distillé par les bonobeauS qui se targuent de leur tristesse, 

s'échappant de leur orifice dont on ne parle pas.

Mourir n'est pas la fin, c'est le début de la jouissance.

Tabou, je t'embrasse avec mes pieds sans culotte.

Evidences qui rient de nos appétences sans S,

en terre, poubelle des extinctions de masse.

Mon génie de pacotille cri dans les lignes téléphoniques en viduité.

C'est extra, mariage débile en facteur,

fabricien des consentements,

attendrissant dedans les tranchée du bonheur,

avec des trous, qui pleure du sang.

J'ai jeté mon sperme dans les oreilles de l’oubli,

juste pour me rappeler ma non existence.


montpellier-j-janv-12.jpgMontpellier  14



Mesrine, bougie qui s'allume sang Jacques.


Un clin de petit poing d'oeil à mon copain d'un jour,

chacun dans sa tête, un Oiseau d'écriture, Nice,

ou la mer sans oeil, sa lune caché, 

dans le ventre de Mal d'horror, à la Mesrine, 

un petit coup d’orgueil,

cette trace indélébile pour avoir court, 

une Êtoile de berger parmi des milliards.

A mon flirt d'esprit Alex Grandloup

Mesrine, sans Jacques, le sang, oublié.

Premier jour de Juin, le soleil me fait signe, Adieu.

Artmajeur

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