B101 - L’ARBRE DE VIE DANS SON JARDIN BABYLONIEN – 2008. (2008) Pintura por Philhelm

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  • Obra de arte original Pintura, Oleo
  • Dimensiones Altura 49,2in, Anchura 74,8in
  • Categorías Pinturas menos de 20.000 US$
BABYLONIEN / La Mésopotamie a de tous temps été considérée comme le paradis originel avec son arbre de vie central et ses animaux merveilleux, et ce, dans un pays où l’homme n’avait pas encore fait son apparition : ce qui nous fait renoncer à retrouver la représentation du premier couple et du serpent au pied de l’arbre tentateur ? En effet, avant[...]
BABYLONIEN / La Mésopotamie a de tous temps été considérée comme le paradis originel avec son arbre de vie central et ses animaux merveilleux, et ce, dans un pays où l’homme n’avait pas encore fait son apparition : ce qui nous fait renoncer à retrouver la représentation du premier couple et du serpent au pied de l’arbre tentateur ? En effet, avant d’être le centre du Jardin d’Eden dans la Bible, il était déjà présent à toutes les époques depuis 4 millénaires en Mésopotamie.
Pourtant l’arbre de vie avec ses fruits abondants, bénédiction des Dieux, a aussi été présent sous une forme factice d’or et de bronze, et ce, au milieu des nombreuses cours des Palais des rois assyriens. Il était symbole d’immortalité et est souvent représenté entre deux orants ou prêtres qui poussent la contemplation jusqu’à l’adoration ! Nous le retrouverons sur d’autres tableaux de Philhelm. La mer présente avec ses poissons est là pour nous rappeler que pour les mésopotamiens l’origine de l’humanité sortait des eaux ! Le lion, roi des animaux et le seul à nous regarder, était l’incarnation des forces cosmiques ! Seuls les rois avaient le droit de les chasser, voire de les exterminer si nous nous référons aux bas-reliefs encore existants ! Quand aux autruches, elles ont disparu définitivement dans cette région en 1941 !
Jardin d’Eden : " Yahvé planta un jardin en Eden du côté de l'Orient et il y plaça l'homme qu'il avait formé. Yahvé fit germer du sol toutes sortes d'arbres agréables à la vue et dont les fruits étaient bons à manger. Et un fleuve sortait d’Eden pour arroser le jardin, et de là il se divisait et devenait quatre rivières : Le nom de la première est Pishon : c’est elle qui entoure tout le pays de Havila, où il y a de l’or. Et l’or de ce pays-là est bon ; là est le bdellium et la pierre d’onyx. Et le nom de la seconde rivière est Gihon : c’est elle qui entoure tout le pays de Cush. Et le nom de la troisième rivière est Hiddékel (Tigre) : c’est elle qui coule en avant vers Assur (Assyrie). Et la quatrième rivière, c’est le Phrath (Euphrate)." GENESE, II, 8-14.
Rappelons qu’ « Eden » est un vieux mot sumérien qui veut dire : « terre cultivée » ou « jardin ».

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En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant[...]

En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant éponyme. Ce banal et néanmoins gravissime incident dans le lointain passé, déclenchera la vocation artistique d’un de ses descendants, 10 générations plus tard !

Ce peintre d’aujourd'hui, né à Strasbourg en 1943, a vu son œuvre exposée et primée deux fois dans sa vie (1999 et 2001), et ce, uniquement à la « Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence » qui lui a attribué en 1999 le Prix de la Ville de Florence.

Pour que le vulgum pecus soit totalement dépaysé de son vécu, qu'il laisse sans hâte entrer en lui l'histoire, chaque jour enrichie de notre passé ancestral commun : qu’il soit étrusque, minoen ou babylonien, sinon il ne pénétrera jamais à l'intérieur des tableaux,pour tenter d'y découvrir les causes secrètes des choses.

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