En el museo Pittura da Milagros Ferrer

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Venduto da Galerie Nadine GRANIER

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Quest'opera d'arte appare in 3 collezioni
  • Opera d'arte originale Pittura, Olio
  • Dimensioni Le dimensioni sono disponibili su richiesta
  • Categorie Figurativo
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Artista rappresentato da Galerie Nadine GRANIER
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Avant tout autre propos, il faut « nommer » la première vision que l’on a de la peinture de Milagros Ferrer, des ambiances cotonneuses et douces, vision due pour partie à la dilution pas si courante des contours[...]

Avant tout autre propos, il faut « nommer » la première vision que l’on a de la peinture de Milagros Ferrer, des ambiances cotonneuses et douces, vision due pour partie à la dilution pas si courante des contours du sujet dans le « décor ».

Milagros Ferrer est Espagnole, mais elle ne s’abandonne pas et c’est tant mieux à l’abus du soleil écrasant toute subtilité… Sous le « soleil exactement »…
La lumière intense du soleil brûle même les négatifs photographiques.
Dans ses peintures, si les personnages qui mendient semblent écrasés, c’est plus par le poids des soucis, des difficultés, que par la chaleur.
D’ailleurs, dans les scènes où jouent des enfants, il y a une légèreté à nulle autre pareille, Milagros Ferrer saisit parfaitement ce moment où l’enfance est proche de la pureté et de la souplesse qui contraste justement avec les couleurs et les formes dures écrasées de lumière et la poussière de la terre ocre, (par exemple d’Antoni Tàpies, même si je reconnais là et bien entendu un grand peintre).

Même si Milagros Ferrer nous donne ainsi à voir des intérieurs, des bars tellement « typiques » ou des courses après des pigeons, comme l'on peut les voir sur les Ramblas de Barcelone (même ailleurs, j’en conviens), des musiciens de rues et des rues très justement Espagnoles, elle a une manière d’approcher le sujet très européenne, elle ne cède pas à la facilité de « faire typique ». D’aucuns le font…

Elle peint avec sa spécificité géographique certes (Les rues, cafés, places…), mais surtout sa spécificité d’artiste qui voit au-delà de l’appartenance à une communauté d’artistes d’un pays ou d’un autre.
J’insiste sur ce fait, car jusqu’aux années soixante l’adhésion à une communauté géographique était souvent évidente.

De nos jours, l’Art s’est internationalisé et c’est très bien, car rien n’est plus navrant que le « nationalisme » esthétique.
Même si les préoccupations esthétiques, politiques, sociologiques ne sont pas les mêmes d’un pays à l’autre : Julian Schnabel, l’Américain, a démarré là où Joseph Beuys, l’Allemand s’est arrêté.
Donc, nous avons là une internationalisation de la culture (je n’écris pas Normalisation…) et c’est la culture qui elle seule peut rassembler les hommes.
Autre exemple, si les « Young British Artists », est une appellation affirmant l’appartenance à une culture qui est une réalité ce me semble quand même « promotionnel », car qui a-t-il de commun entre David Hockney et Damien Hirst par exemple ?
Sinon, justement d’appréhender le monde tel qu’il est « actuellement » et d’où que ces artistes soient.
C’est le signe des vrais artistes d’internationaliser leur travail, Picasso ne faisait pas une peinture Espagnole, ni Matisse une peinture Française.

Il est juste que Vermeer faisait une peinture Flamande, mais d’abord, j’ai parlé des années soixante.
Et, autrefois, les artistes étaient pour beaucoup les employés des Rois, des puissants et du Clergé, il leur fallait donc répondre à une demande comme de no...

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