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Saint but trash • 28 œuvres
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C'est le journal d'une immigrant illégale. Une sans papiers. Kmar Douagi est une photographe autodidacte [...]
C'est le journal d'une immigrant illégale. Une sans papiers.
Kmar Douagi est une photographe autodidacte dont le travail se présente au public comme transcendant les deux dimensions du tirage.
Bien sûr, le style - qu'il s'agisse d'un ensemble de codes esthétiques qui se déploient en séquences alternées au fil de la pellicule - ou le choix de la thématique que le photographe traite dans ce qu'il choisit de capturer fait partie intégrante de l'identité du photographe, c'est-à-dire de la personne que nous imaginons derrière l'image que nous voyons.
"Parce que la vérité est impensable. Elle est sensible, on peut la sentir mais on ne peut pas la penser. [...] Le rôle de l'artiste, à mon avis, est de montrer la beauté comme un reflet de la vérité.
Alejandro Jodorowsky
La tricherie sacrée
Le projet "Saint but trash- Diary of an illegal immigrant" raconte sa vie de sans-papiers, une vie presque identique à n'importe quelle autre vie, la seule différence étant qu'elle n'a pas le droit d'être sur ce territoire car elle traite un passeport vert.
Cette série questionne l'humain au-delà des frontières ; "A travers ces photos, vous vivrez dans ma peau, dans la peau d'une personne sans-papiers, et vous pourrez vous poser cette question : en quoi suis-je si différente de vous ?
"Je danse sur cette terre comme le faisaient mes ancêtres, mais il me semble que je n'ai pas le droit de le faire. Ce projet porte sur la contrainte sociale, une danse illégale."
“Quand j’ai eu l'âge de me toucher, je pensais que pour jouir il fallait insulter Dieu”
Le projet « Saint but trash » est une déclaration d’amour. Pour les individus qui aiment, trouver sa place n’est pas une chose aisée.
Aimer est une chance qu’il faut provoquer. C’est un processus aussi sensible que violent. Pour rendre le cœur plus tendre parfois, il fait un attendrisseur, un ustensile qui permet d'attendrir un cœur un peu ferme avant de le cuire. Dans une énième tentative, Kmar propose une transparence théâtrale, une honnêteté dramatique. Cette proposition photographique est l’attendrisseur de sa pratique. Des images d'oiseaux écrasés ou de son amant, la dualité et le paradoxe sont omniprésents. Kmar parle de douleur avec des couleurs, de choses crues avec tendresse. Un hymne à l’amour et la violence que la vie englobe.
Kmar Douagi est une photographe autodidacte dont le travail se présente au public comme transcendant les deux dimensions du tirage.
Bien sûr, le style - qu'il s'agisse d'un ensemble de codes esthétiques qui se déploient en séquences alternées au fil de la pellicule - ou le choix de la thématique que le photographe traite dans ce qu'il choisit de capturer fait partie intégrante de l'identité du photographe, c'est-à-dire de la personne que nous imaginons derrière l'image que nous voyons.
"Parce que la vérité est impensable. Elle est sensible, on peut la sentir mais on ne peut pas la penser. [...] Le rôle de l'artiste, à mon avis, est de montrer la beauté comme un reflet de la vérité.
Alejandro Jodorowsky
La tricherie sacrée
Le projet "Saint but trash- Diary of an illegal immigrant" raconte sa vie de sans-papiers, une vie presque identique à n'importe quelle autre vie, la seule différence étant qu'elle n'a pas le droit d'être sur ce territoire car elle traite un passeport vert.
Cette série questionne l'humain au-delà des frontières ; "A travers ces photos, vous vivrez dans ma peau, dans la peau d'une personne sans-papiers, et vous pourrez vous poser cette question : en quoi suis-je si différente de vous ?
"Je danse sur cette terre comme le faisaient mes ancêtres, mais il me semble que je n'ai pas le droit de le faire. Ce projet porte sur la contrainte sociale, une danse illégale."
“Quand j’ai eu l'âge de me toucher, je pensais que pour jouir il fallait insulter Dieu”
Le projet « Saint but trash » est une déclaration d’amour. Pour les individus qui aiment, trouver sa place n’est pas une chose aisée.
Aimer est une chance qu’il faut provoquer. C’est un processus aussi sensible que violent. Pour rendre le cœur plus tendre parfois, il fait un attendrisseur, un ustensile qui permet d'attendrir un cœur un peu ferme avant de le cuire. Dans une énième tentative, Kmar propose une transparence théâtrale, une honnêteté dramatique. Cette proposition photographique est l’attendrisseur de sa pratique. Des images d'oiseaux écrasés ou de son amant, la dualité et le paradoxe sont omniprésents. Kmar parle de douleur avec des couleurs, de choses crues avec tendresse. Un hymne à l’amour et la violence que la vie englobe.
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