L'entrée du Christ à Bruxelles en 1889 (1888) Malerei von James Ensor

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  • Original-Kunstwerk Malerei, Öl auf Leinwand
  • Masse Höhe 99,6in, Breite 169,7in
  • Rahmen Dieses Kunstwerk ist nicht gerahmt
  • Kategorien Expressionismus Karikatur
"L'entrée du Christ à Bruxelles en 1889" est une œuvre emblématique de James Ensor, peinte en 1888. Cette peinture est célèbre pour sa représentation vibrante et chaotique d'une foule dans les rues de Bruxelles, anticipant l'entrée triomphale du Christ. Ce qui distingue cette œuvre, c'est la façon dont Ensor combine une[...]
"L'entrée du Christ à Bruxelles en 1889" est une œuvre emblématique de James Ensor, peinte en 1888. Cette peinture est célèbre pour sa représentation vibrante et chaotique d'une foule dans les rues de Bruxelles, anticipant l'entrée triomphale du Christ. Ce qui distingue cette œuvre, c'est la façon dont Ensor combine une scène religieuse traditionnelle avec une critique sociale mordante et une satire.

La peinture est remplie d'une multitude de personnages, allant des citoyens ordinaires aux figures grotesques portant des masques, un élément récurrent dans le travail d'Ensor. Ces masques, qui ajoutent un aspect surréaliste à la scène, symbolisent la fausseté et l'hypocrisie de la société. Au centre, à peine perceptible au milieu du tumulte, se trouve la figure du Christ, éclipsée par l'immense foule qui l'entoure, ce qui peut être interprété comme une critique de la manière dont les valeurs spirituelles sont négligées dans le monde moderne.

La composition est dynamique, avec des bannières flottantes portant des inscriptions comme "Vive la Sociale", suggérant des thèmes de révolte sociale et politique. L'utilisation des couleurs est audacieuse et expressive, avec des contrastes forts qui mettent en relief le chaos et l'énergie de la scène. La perspective est manipulée de manière à plonger le spectateur directement dans la foule, créant une sensation d'immersion et de désordre.

Cette peinture est souvent interprétée comme une préfiguration des mouvements expressionnistes et surréalistes, grâce à son exploration audacieuse de la psyché humaine, son utilisation innovante de la couleur et son commentaire social pénétrant. "L'entrée du Christ à Bruxelles en 1889" reste une des œuvres les plus provocatrices et influentes de James Ensor, révélant son regard critique sur la société de son temps tout en explorant des thèmes universels de spiritualité, de pouvoir et de corruption.

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James Sidney Edouard, Baron Ensor (13 avril 1860 - 19 novembre 1949) était un peintre et graveur belge qui a passé la majeure partie de sa vie à Ostende. Il a exercé une influence majeure sur l'expressionnisme[...]

James Sidney Edouard, Baron Ensor (13 avril 1860 - 19 novembre 1949) était un peintre et graveur belge qui a passé la majeure partie de sa vie à Ostende. Il a exercé une influence majeure sur l'expressionnisme et le surréalisme. Il était lié au collectif artistique Les XX.James Frederic Ensor, le père d'Ensor, était un homme cultivé qui a étudié l'ingénierie en Angleterre et en Allemagne après être né à Bruxelles de parents anglais. Sa mère, Maria Catherina Haegheman, était belge. Ensor lui-même n'était pas motivé par l'école et a abandonné ses études à l'âge de 15 ans pour étudier l'art avec deux artistes locaux. Il étudie l'art à l'Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles avec Fernand Khnopff de 1877 à 1880. En 1881, Ensor organise sa première exposition. De 1880 à 1917, il travaille dans le grenier de la maison de son enfance. Dans les années 1880, il se rendit trois fois en France et aux Pays-Bas et ne passa que quatre jours à Londres.
Une grande partie de l'œuvre d'Ensor, y compris son tableau de 1889, Christ's Entry Into Brussels, a été rejetée comme scandaleuse à la fin du 19e siècle (1888-89). Octave Maus, un critique d'art belge, a résumé de manière célèbre la réaction des critiques d'art contemporains à l'œuvre expérimentale (et souvent politiquement cinglante) d'Ensor : "Le chef de clan Ensor. Les projecteurs sont braqués sur Ensor. Lorsqu'il s'agit de principes anarchistes, Ensor les condense et les synthétise. En un mot, Ensor est une personne dangereuse en pleine évolution. De ce fait, il est la cible d'assauts. Les arquebuses sont braquées sur lui. Les déchets âcres des soi-disant critiques sérieux sont déversés sur sa tête". La réponse provocante d'Ensor à cette critique est visible dans certaines de ses œuvres de l'époque. Dans la gravure "Le Pisseur" de 1887, par exemple, l'artiste est représenté en train d'uriner contre un mur sur lequel sont inscrits les mots "Ensor est un fou" dans le style d'un critique.
Bien qu'Ensor soit un improvisateur talentueux à l'harmonium, sans avoir jamais reçu de formation musicale formelle, il passe le plus clair de son temps à recevoir des invités, et sa production de nouvelles œuvres commence à décliner dès la première décennie du vingtième siècle. Contrairement aux conseils de ses amis, il est resté à Ostende pendant la Seconde Guerre mondiale, malgré la menace des bombardements. Il était un ancien respecté en Belgique et on le voyait régulièrement dans les rues d'Ostende grâce à son habitude de s'y rendre à pied tous les jours. Le 19 novembre 1949, à l'âge de 89 ans, il s'y éteint après une brève maladie.

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