Britomart livre Amoretta depuis l'enchantement de Busira (1783) Painting by Henry Fuseli

Fine art paper, 10x8 in
  • Original Artwork Painting, Oil on Canvas
  • Dimensions Height 72in, Width 60.3in
  • Framing This artwork is not framed
  • Categories Classicism Fantasy
La peinture "Britomart Libère Amoretta de l'Enchantement de Busirane" d'Henri Fuseli (ou Johann Heinrich Füssli) est une œuvre dramatique et émotive, plongée dans le clair-obscur, qui illustre un épisode du poème épique "La Reine des Fées" (The Faerie Queene) d'Edmund Spenser. Cette œuvre représente Britomart, une guerrière armée d'une lance et vêtue [...]
La peinture "Britomart Libère Amoretta de l'Enchantement de Busirane" d'Henri Fuseli (ou Johann Heinrich Füssli) est une œuvre dramatique et émotive, plongée dans le clair-obscur, qui illustre un épisode du poème épique "La Reine des Fées" (The Faerie Queene) d'Edmund Spenser. Cette œuvre représente Britomart, une guerrière armée d'une lance et vêtue d'une armure, dans l'acte héroïque de libérer Amoretta, une figure de pureté et d'innocence, de l'emprise maléfique de Busirane.

La scène est dominée par un contraste frappant entre lumière et obscurité, avec Britomart éclairée d'une manière qui souligne son rôle de sauveur et met en évidence les détails de son armure, tandis que le reste de la scène baigne dans une pénombre mystérieuse. L'action est capturée au moment le plus dramatique, où Britomart brandit sa lance contre un adversaire invisible, symbolisant la lutte contre les forces du mal.

Amoretta, à droite de la composition, est représentée nue, dans une posture qui exprime à la fois sa vulnérabilité et sa grâce. Son corps est éclairé de manière à attirer l'attention sur sa pureté et son innocence, contrastant avec le chaos et la violence de la scène. La lumière qui illumine Amoretta met en évidence sa beauté et sa délicatesse, faisant d'elle un symbole de l'amour et de la vertu qui triomphent sur l'adversité.

La dynamique de la composition, avec Britomart en mouvement et Amoretta dans une posture passive, illustre le thème du courage face à l'oppression et de la lutte pour la liberté et la justice. Fuseli, à travers son utilisation maîtrisée de la lumière, de l'ombre et de la couleur, crée une atmosphère intense et émotionnelle qui reflète la nature épique et allégorique du poème de Spenser.

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Henry Fuseli est un peintre, dessinateur et écrivain d'art suisse né en Allemagne le 7 février 1741 et mort le 17 avril 1825. Il a vécu la majeure partie de sa vie en Grande-Bretagne. Nombre de ses livres, comme [...]

Henry Fuseli est un peintre, dessinateur et écrivain d'art suisse né en Allemagne le 7 février 1741 et mort le 17 avril 1825. Il a vécu la majeure partie de sa vie en Grande-Bretagne. Nombre de ses livres, comme "The Nightmare", traitent du surnaturel. Il a peint des œuvres pour la Shakespeare Gallery de John Boydell et a créé sa propre "Milton Gallery". Il a travaillé à la Royal Academy en tant que professeur de peinture et gardien. De nombreux jeunes artistes britanniques, comme William Blake, ont été très influencés par son style.Fuseli est le deuxième d'une famille de 18 enfants nés à Zurich, en Suisse. Son père était le peintre de portraits et de paysages Johann Caspar Füssli, qui a également écrit le livre Lives of the Helvetic Painters (Vies des peintres helvétiques). Il voulait qu'Henry devienne prêtre et l'a donc envoyé au collège Caroline de Zurich, où il a reçu une excellente éducation classique. Johann Kaspar Lavater était l'un de ses camarades de classe et devint un ami proche.
Après être entré dans les ordres en 1761, Fuseli est contraint de quitter le pays parce qu'il a aidé Lavater à dénoncer un juge injuste et que la puissante famille du juge veut se venger de Fuseli. Il passe par l'Allemagne, puis, en 1765, par l'Angleterre, où il vit quelque temps de divers travaux d'écriture. Il finit par faire la connaissance de Sir Joshua Reynolds et lui montre ses dessins. Il décide de consacrer tout son temps à l'art après que Reynolds lui a conseillé de le faire. En 1770, il se rend en Italie pour un pèlerinage artistique. Il y reste jusqu'en 1778 et change son nom de Füssli en Fuseli, qui sonne plus italien.Au début de l'année 1779, il se rend à Zurich pour rentrer en Grande-Bretagne. Lorsqu'il arrive à Londres, Alderman Boydell, qui est en train d'installer sa Shakespeare Gallery, a un travail à lui proposer. Fuseli peint un certain nombre d'œuvres pour Boydell et publie une version anglaise de l'ouvrage de Lavater sur la physiognomonie. Il a également apporté une aide importante à William Cowper pour sa traduction d'Homère. En 1788, Fuseli épouse Sophia Rawlins, qui avait été l'un de ses modèles. Peu après, il devient membre de la Royal Academy. Fuseli est engagé pour enseigner la peinture à l'Académie en 1799. Quatre ans plus tard, il est choisi comme gardien et quitte son poste de professeur. En 1810, il reprend son poste de professeur et occupe les deux fonctions jusqu'à sa mort. Henry Thomson lui succède à sa mort.

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