Freddy Tsimba
"Ma vraie école, même si j'ai fait les Beaux-Arts de Kinshasa, c'est la rue où je me fournis en abondance. Mes maîtres ont été les forgerons auprès desquels j'ai appris, durant 5 ans, la technique du feu et de la soudure."
Freddy Tsimba est un artiste-sculpteur originaire de la République Démocratique du Congo, né en 1967 à Kinshasa.
Assemblant et soudant des matériaux de récupération chargés de sens ; douilles de cartouches, machettes, cuillers, fourchettes, ciseaux ou encore clefs ; ses œuvres sont le symbole du triomphe de la vie.
En redonnant "corps à des corps" malmenés, les sculptures de Freddy Tsimba s'inscrivent dans l'Histoire comme des témoins du temps.
"Être artiste signifie, pour moi, ne pas passer à côté des choses : tout m'intéresse en tant que plasticien et j'ai également mon mot à dire par rapport à ce qui se passe autour de moi, comme la politique ou la vie en société. J'établis des pistes de questionnements auxquelles je n'ai pas de réponse. Mon travail est une investigation réflexive."
"Even though I attended Kinshasa School of Fine Arts (les Beaux-Arts de Kinshasa), the streets were my real school. That’s where I got my game and inspiration. My real teachers were the forgers, the blacksmiths, from whom, for 5 long years, I learnt to tame the fire and mastered the technique of welding."
Freddy Tsimba is an artist-sculptor from the Democratic Republic of Congo, born in 1967 in Kinshasa
He is a master of assembling and welding of scraps, recycled materials like cartridges cases, machetes, spoons, forks, scissors, keys and other recovered materials with personal profound meaning to him.
His works are etched in the epoch we live in, as witnesses of Time.
“Being an artist, in my view, means not having things pass me by : as a visual artist, everything matters and holds interest for me and I have a say in things that happen around me, like politics or social issues. I draw lines of reflection on matters on which I haven’t found answers to. I provide food for thought. My work is a reflexive investigation."
Découvrez les œuvres d'art contemporain de Freddy Tsimba, parcourez les œuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains français. Domaines artistiques: Sculpture, Installation. Type de compte: Artiste , membre depuis 2016 (Pays d'origine Congo-Kinshasa). Achetez les dernières œuvres de Freddy Tsimba sur ArtMajeur: Découvrez de superbes œuvres par l'artiste contemporain Freddy Tsimba. Parcourez ses œuvres d'art, achetez des œuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Œuvres • 64 œuvres
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L'Artiste a été mis en avant dans un article de ArtMajeur Magazine
Les travaux de l'artiste ont été remarqués par la rédaction
Biographie
"Ma vraie école, même si j'ai fait les Beaux-Arts de Kinshasa, c'est la rue où je me fournis en abondance. Mes maîtres ont été les forgerons auprès desquels j'ai appris, durant 5 ans, la technique du feu et de la soudure."
Freddy Tsimba est un artiste-sculpteur originaire de la République Démocratique du Congo, né en 1967 à Kinshasa.
Assemblant et soudant des matériaux de récupération chargés de sens ; douilles de cartouches, machettes, cuillers, fourchettes, ciseaux ou encore clefs ; ses œuvres sont le symbole du triomphe de la vie.
En redonnant "corps à des corps" malmenés, les sculptures de Freddy Tsimba s'inscrivent dans l'Histoire comme des témoins du temps.
"Être artiste signifie, pour moi, ne pas passer à côté des choses : tout m'intéresse en tant que plasticien et j'ai également mon mot à dire par rapport à ce qui se passe autour de moi, comme la politique ou la vie en société. J'établis des pistes de questionnements auxquelles je n'ai pas de réponse. Mon travail est une investigation réflexive."
"Even though I attended Kinshasa School of Fine Arts (les Beaux-Arts de Kinshasa), the streets were my real school. That’s where I got my game and inspiration. My real teachers were the forgers, the blacksmiths, from whom, for 5 long years, I learnt to tame the fire and mastered the technique of welding."
Freddy Tsimba is an artist-sculptor from the Democratic Republic of Congo, born in 1967 in Kinshasa
He is a master of assembling and welding of scraps, recycled materials like cartridges cases, machetes, spoons, forks, scissors, keys and other recovered materials with personal profound meaning to him.
His works are etched in the epoch we live in, as witnesses of Time.
“Being an artist, in my view, means not having things pass me by : as a visual artist, everything matters and holds interest for me and I have a say in things that happen around me, like politics or social issues. I draw lines of reflection on matters on which I haven’t found answers to. I provide food for thought. My work is a reflexive investigation."
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Nationalité:
CONGO-KINSHASA
- Date de naissance : date inconnue
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Congolais
Evénements artistiques en cours et à venir
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur ArtMajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain Freddy Tsimba
27 mars 2017 | Steve Bandoma et Freddy Tsimba au Salon ZÜRCHER AFRICA
Galerie Zürcher 56 rue chapon 75003 Paris
Quatre mois après sa participation à AKAA 2016, Angalia expose à nouveau à Paris en rejoignant le Salon Zürcher Africa, à l’invitation de Gwenolée Zürcher. Deux artistes de la galerie y seront présentés : Freddy Tsimba et Steve Bandoma. Leur point commun : une création intense, qui interroge l'identité et la représentation, où la violence, de la guerre pour l’un et du choc des civilisations pour l’autre, est non seulement assumée mais esthétisée. Angalia présentera de nouvelles œuvres de Freddy Tsimba, encore inédites en Europe.
27 mars 2017 | Steve Bandoma et Freddy Tsimba au Salon ZÜRCHER AFRICA
Galerie Zürcher 56 rue chapon 75003 Paris
Quatre mois après sa participation à AKAA 2016, Angalia expose à nouveau à Paris en rejoignant le Salon Zürcher Africa, à l’invitation de Gwenolée Zürcher. Deux artistes de la galerie y seront présentés : Freddy Tsimba et Steve Bandoma. Leur point commun : une création intense, qui interroge l'identité et la représentation, où la violence, de la guerre pour l’un et du choc des civilisations pour l’autre, est non seulement assumée mais esthétisée. Angalia présentera de nouvelles œuvres de Freddy Tsimba, encore inédites en Europe.
26 JANVIER 2017 | Freddy Tsimba rejoint la galerie Angalia
ANGALIA 25 rue Ernest Renan 92190 Meudon - France Sur rendez-vous
Nous sommes particulièrement heureux et fiers d’accueillir Freddy Tsimba, l’artiste porte-parole - ou plutôt porte-mémoire - des victimes anonymes et des souffrances silencieuses. Artiste de premier plan, Freddy Tsimba est à la fois très reconnu et insuffisamment connu. Nous contribuerons à montrer davantage son travail, déjà très apprécié à Paris en novembre dernier sur notre stand à AKAA. Première programmation très bientôt dans le cadre du salon Zürcher Africa. Il prépare par ailleurs une exposition à Bruxelles pour le second semestre 2017.
A Genève : Palais des Nations du 13 mars au 31 mars 2017
A Genève : Palais des Nations
L’exposition Lumières d’Afriques, présentée en 2015 à Paris au Théâtre National de Chaillot, en 2016 à Abidjan, en Côte d’Ivoire, puis début 2017 à Dakar au Sénégal, est aujourd’hui présentée au Palais des Nations, à Genève.
Imaginée par le fonds de dotation African Artists for Development, l’exposition est présentée du 13 au 31 Mars 2017 à la Mezzanine E du Palais des Nations (ONU) à Genève, Suisse.
Cette quatrième présentation de « Lumières d’Afriques » ainsi que les partenariats exceptionnels entre l’Organisation internationale de la francophonie, l’Union africaine et African Artists for Development soulignent une nouvelle fois l’engagement d’AAD-fund pour le développement du continent.
Cette exposition sera inaugurée sous le haut patronage du Directeur général de l’Office des Nations Unies à Genève, Michael Møller, avec la présence d’Antoine Barbry, représentant permanent de l’Organisation internationale de la francophonie auprès des Nations Unies à Genève et de Jean-Marie Ehouzou, représentant permanent de l’Union africaine auprès des Nations Unies à Genève.
La présentation de Lumières d’Afriques au cœur des Nations Unies est un symbole puissant du rôle crucial que jouent le continent et les sociétés ciiviles africaines dans la promotion des objectifs du Développement Durable.
Direction artistique et Scénographie : Jean-Michel Champault
AKAA 2017 - Du 10 au 12 novembre à Paris
AKAA Carreau du temple 4 rue Eugène Spuller 75003 – Paris
Avec 15 000 visiteurs pendant 3 jours et demi, AKAA a su trouver son public dès sa première edition et s’inscrit dorénavant comme le rendez-vous où les acteurs de la scène artistique d’Afrique ne cesseront de se retrouver avec spontanéité pour échanger, dialoguer et partager.
AKAA s’est également imposé comme le grand événement parisien de la scène artistique et culturelle centrée sur l’Afrique. Marchands, artistes et partenaires sont unanimes pour dire que nous avons su créer une dynamique unique et éveiller la curiosité d’un public très large.
Toute l’équipe AKAA remercie chaleureusement tous ceux et celles qui ont cru en notre projet et qui ont permis à cet événement de prendre forme : les 40 artistes présents pendant toute la durée de la foire, les 35 exposants, nos partenaires : Orange, Eiffage, Renault, Axa Art, Kwerk dont le soutien a été déterminant, les 300 journalistes enregistrés à l’entrée de la foire, les 15 000 visiteurs, les intervenants des Rencontres AKAA, et tous ceux qui ont travaillé à nos côtés pour faire de cette édition un lieu où ont rayonné les artistes d’Afrique.
AKAA poursuit son chemin et vous dit à l’année prochaine du 10 au 12 novembre 2017 pour sa deuxième édition, avec la promesse d’une programmation toujours plus belle, exigeante et emblématique de la scène artistique d’Afrique, et d’une ambiance aussi chaleureuse que celle qui nous a réunis cette année.
Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo. La ville a été le lieu de la toute récente exposition du sculpteur congolais Freddy Tsimba.
L’arsiste, qui se dit « sculpteur de la vie » et non de la mort, est spécialisé dans la récupération de métaux rejetés tels les balles d’arme à feu, les clés, les cuillères et même les machettes.
“Cette exposition, je la place sous le signe de l’amour et accepte l’autre par ce que je me dis toujours que moi, j’aime le paradis mais surtout la terre par ce que je vis sur terre et cette œuvre que je montre, que j’essaie de faire voir symbolise une sorte de réconciliation avec l’humanité, donc je mets en exergue des femme par ce que je me dit que c’est par la femme que la vie passe”, dit-il.
Les œuvres de Freddy Tsimba, qui représentent pour certaines, des femmes nues et enceintes, peuvent choquer. Mais l’artiste est formel ; c’est sa manière à lui de magnifier la vie.
Freddy Tsimba : “je fais une sorte de boomerang dans le sens que j’essaie de trouver des éléments qui ont un sens, comme par exemple les douilles que je soude, les bouchons broyés récupérés dans les rues de Kinshasa, manuellement, j’essaie de faire des corps, les corps des femmes enceintes, les enfants, ici, je clame haut et fort la vie et je dis que la vie est tellement magnifique qu’avec ces éléments, a ma façon, j’essaie de recréer l’homme lui-même dans toute sa splendeur.”
Le travail du sculpteur congolais, qui s’inspire beaucoup de la guerre qui déchire l’Est de son pays, a également été exposé en Europe, aux États-Unis et au Canada.
Pour certains de ses fans, il s’inscrit dans le cadre d’une nouvelle génération de sélection d’artistes congolais qui contribuent à changer la perception du Congo comme pays pauvre, corrompu et déchiré par la guerre.
On peut donc conclure que ce qui sert à l’origine à donner la mort, se tourne vers la vie. Du moins, si l’on se fie à la philosophie de cet artiste.
(Rodrigue Loué avec Reuters 29/10)
"Lors de TAZ, un volet s’ajoute aux Tranchées en Afrique. L’artiste congolais Freddy Tsimba – bien connu pour ses imposantes sculptures en matériau recyclé, va y créer la Maison de la paix (Huis van de vrede), une œuvre construite intégralement in situ à l’aide de machettes. Les installations sculpturales de Tsimba, faites de cartouches vides, de machettes et de matériau recyclé, sont une dénonciation directe de la guerre. ‘Il faut travailler à l’avenir sans perdre le passé de vue’, affirme-t-il.
(kvs.be - 2014)
Congo Art Works
BOZAR/Palais des Beaux-Arts Rue Ravenstein 23 1000 BRUXELLES
Le plasticien congolais Freddy Tsimba, 49 ans, expose du 14 octobre au 26 novembre à La Halle de la Gombe, à Kinshasa, et du 7 octobre au 22 janvier 2017 dans le cadre de la grande exposition « Congo Art Works » au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles.
Sculpture : Freddy Tsimba ," Au-delà de l’extrême"
’Institut français de Kinshasa (IF)
Les œuvres de Freddy Tsimba vont constituer le nouveau décor de la salle d’exposition de l’Institut français de Kinshasa (IF) pendant plus d’un mois, soit du 14 octobre au 26 novembre. Ce sera la seconde exposition qu’il y tiendra en l’espace de deux ans. En effet, la première, en solo, dans ce réputé centre culturel de la ville remonte à juin 2014. Le sculpteur, qui s’est forgé une solide notoriété son chalumeau à la main s’employant coutumièrement à la soudure de matériaux divers, y revient avec un lot de ses dernières réalisations.
Si les douilles et autres cartouches ont servi à la réalisation des premières œuvres qui font sa singularité, le sculpteur, aujourd’hui de renommée internationale, fait dans la diversité. Le métal omniprésent dans ses œuvres provient d’articles variés. Plusieurs sont ainsi restés en admiration devant sa fameuse maison-machette, son automobile ou ses personnages (hommes, femmes et enfants indifféremment) réalisés à partir de cuillères et couteaux notamment. Mais ce n’est pas tout, car avec Freddy Tsimba, clés et chaînes ont déjà pu faire l’affaire. Jusqu’ici il a su bien s’y faire.
Et tant quand on y est, pourquoi pas des pièges à souris ? Cette fois le sculpteur a choisi de mettre le grappin dessus comme en témoigne l’affiche de l’exposition à venir, Freddy Tsimba : Au-delà de l’extrême. Ces dispositifs de fabrication chinoise assez pratique d’usage et courant dans la ville de Kinshasa sont prisés même si la qualité n’est pas toujours de mise. À-t-on vraiment le choix, ils inondent le marché et sont plutôt bon prix, un peu comme les couverts auxquels le sculpteur donne une seconde vie et prête un nouvel usage après y avoir posé son regard. La patte de l’artiste permet de l’identifier à coup sûr à travers ses œuvres, fruit d’un travail qui reste réfléchi. En ce qui concerne l’exposition qu’elle s’apprête à présenter au public, l’IF annonce dès lors que le nouvel ouvrage « repensé et traversé par de nouvelles idées, l’art du renouvellement dans la continuité », elle ne va pas manquer de surprendre.
Freddy Tsimba : Au-delà de l’extrême
Institut français de RDC Halle de la Gombe Croisement Avenues de la Gombe et des Forces Armées (Haut Commandement) B.P. 5236 Kinshasa
L’œuvre de Freddy Tsimba, sculpteur kinois, est connue et reconnue en RDC et à l’international. Immédiatement identifiable, son travail est réfléchi, repensé et traversé par de nouvelles idées, l’art du renouvellement dans la continuité, Il étonne.
Ses œuvres réalisées avec des douilles lui ont donné une visibilité internationale. Ce matériau, il est allé le chercher dans les zones de conflits, en Haïti, à Soweto, à l’Est du Congo, à Kisangani, au Congo Central, à Kinshasa aussi. Ce métal de récupération qui est aussi le témoin des pires violences est devenu sa marque de fabrique, matière première de son imaginaire en prise avec le réel.
Freddy Tsimba récupère des matériaux laissés au rebut tels que clés, pièges à souris, chaînes, cartouchières, capsules, mais également cuillères et couteaux – ces couverts de fabrication chinoise, de mauvaise qualité et qui inondent le marché africain. Si le matériau est toujours rude, parfois même violent, les formes données aux sculptures sont empreintes d’une grande humanité. Derrière ces formes, il y a la présence vibrante des enfants, des hommes et des femmes, surtout des femmes. Ce qui fascine dans cette œuvre si singulière, c’est le contraste entre la rudesse de la matière et la tendresse des formes. Il montre de façon immédiate ce qui doit être dit.
Le travail de Tsimba est résolument contemporain, actuel et universel, cela fait sa force. Sans les occulter, il va au-delà des seules préoccupations congolaises. Freddy Tsimba est un voyageur, un chercheur alerte et attentif, là où il se trouve.
The Congolese capital, Kinshasa, is hosting its first international Biennale of contemporary art under the theme 'Yango' which translates as "Forward", in the local Lingala language.
The Biennale, which kicked off on November 22 is aimed at showcasing and exploring the diversity of Congolese art as well as celebrating the country's culture.
► http://www.bbc.com/afrique/nos_emissions/2014/12/141217_tsimba_drc
Kinshasa fête sa première Biennale d'art contemporain, qui s'achève en fin de semaine. Des artistes de tout le continent ont exposé leurs oeuvres dans divers lieu de la capitale congolaise. C'est l'occasion pour nous de parler d'un des artistes congolais les plus renommés, Freddy Tsimba, surnommé le "sculpteur des larmes". Maud Jullien l'a rencontré dans son atelier de Kinshasa.
(12/2014)
Réunie autour du contre-ténor Serge Kakudji, KVS / les ballets C de la B, une folle équipée de musiciens et de chanteurs font de Coup Fatal un hymne à la vie.
" (...) L’artiste Freddy Tsimba a imaginé pour décor un simple rideau de perles qui sont en réalité des douilles de carabines. Le réel n’est jamais loin… Sous la houlette du chef d’orchestre Rodriguez Vangama , c’est la musique qui triomphe : Bach rencontre la rumba et Nina Simone, tandis que balafon, xylophone ou likembe (piano à pouces) mènent la danse.
La vie semble ici circuler sans jamais prendre le temps de la pause.Coup Fatal , triomphe de l’édition 2014 du Festival d’Avignon, est une réponse parfaite en ces temps de repli. Ce spectacle, c’est un immense cadeau , dit Alain Platel ."
Philippe Noisette - France Inter 19/11/2015.
Avec leur inspiration inépuisable et leur penchant pour l'unique, les photographes, peintres, musiciens et sculpteurs africains ont diverti, informé, inspire. Zoom sur ceux qui ont fait l'actualité de l'art africain en 2012.
La capitale de la République Démocratique du Congo est plus créative que jamais, malgré les nombreux problèmes sociaux de la population, et ses esprits créatifs s'expriment 24h sur 24... en public.
Dans les rues de Kinshasa, l'art naît du chaos. Aujourd’hui, une génération de performeurs et de plasticiens récupère, recycle et s’approprie l’espace public pour exposer des oeuvres directement à la population, malgré les risques encourus.
Figure de ce mouvement, Freddy Tsimba, 48 ans, métallurgiste de formation, s’est fait connaître à travers le monde par ses sculptures de femmes en douilles et armes usagées. En parallèle de son travail de sculpteur, Freddy, amoureux de sa ville natale, se débat pour organiser dans les rues de Kinshasa une exposition qui regroupe les talents de cette nouvelle scène contemporaine, à mille lieues d'une Biennale. Face à la dégradation constante du niveau de vie dans la capitale du Congo, des artistes utilisent leur corps comme médium pour faire passer leurs messages.
Yambi 2007 / Congo-Wallonie-Bruxelles 150 artistes accueillis dans 117 lieux en Wallonie et à Bruxelles, mais aussi en Flandre et dans les pays environnants. Toute la vitalité et la créativité du Congo en 322 événements !Bruxelles, Mons, Liège, Namur, Anvers, Valenciennes, Paris | Belgique | 15|09|2007 > 30|11|2007
"Lors de TAZ, un volet s’ajoute aux Tranchées en Afrique. L’artiste congolais Freddy Tsimba – bien connu pour ses imposantes sculptures en matériau recyclé, va y créer la Maison de la paix (Huis van de vrede), une œuvre construite intégralement in situ à l’aide de machettes. Les installations sculpturales de Tsimba, faites de cartouches vides, de machettes et de matériau recyclé, sont une dénonciation directe de la guerre. ‘Il faut travailler à l’avenir sans perdre le passé de vue’, affirme-t-il.
(kvs.be - 2014)
"Lors de TAZ, un volet s’ajoute aux Tranchées en Afrique. L’artiste congolais Freddy Tsimba – bien connu pour ses imposantes sculptures en matériau recyclé, va y créer la Maison de la paix (Huis van de vrede), une œuvre construite intégralement in situ à l’aide de machettes. Les installations sculpturales de Tsimba, faites de cartouches vides, de machettes et de matériau recyclé, sont une dénonciation directe de la guerre. ‘Il faut travailler à l’avenir sans perdre le passé de vue’, affirme-t-il.
(kvs.be - 2014)
Africalia 2016 - European Development Days 2016
Asbl Africalia VzwRue du Congrès 131000 Bruxelles T +32 2 412 58 80F +32 2 412 58 90E [email protected]
Expositions, performances, plate-forme rassemblant différents acteurs des Industries Culturelles et Créatives en Afrique, des festivals majeurs de la zone ACP, des présentations de projets et de success-stories…, la programmation culturelle élaborée par Africalia et ACP Culture+ met l’accent sur l’innovation et l’économie créative.
Celle-ci vise un double objectif : revitaliser le village des EDD et lui donner une image plus attractive en offrant aux visiteurs la possibilité de participer à des expériences culturelles issues des pays ACP ; montrer la place occupée par la culture dans ces sociétés et mettre en lumière sa richesse, sa diversité et son rôle comme vecteur de développement.
Suite à une visite de quatre jours à Hautepierre, Freddy Tsimba a pu ressentir l’ambiance du quartier. Il a été sensibilisé par l’idée de mobilité et de diversité culturelle qui marque ce quartier. Son projet de sculpture porte alors sur les histoires des exils à Hautepierre. Il sculpte des personnages monumentaux portant des valises, qui représentent le déplacement, et réaliser une porte.
(2011)
Avis et commentaires
























