Toutes les oeuvres de Francesca
911 - 11 septembre 2001 et ses consequences • 12 oeuvres
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NINE ELEVEN, une date qui marquera les esprits pour toujours, qui a entraîné bien des souffrances, détruit[...]
NINE ELEVEN, une date qui marquera les esprits pour toujours, qui a entraîné bien des souffrances, détruit des corps, révélé les arcanes de l'âme humaire.
POUVOIR ET TRANSPARENCE • 54 oeuvres
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Des émissions de radio, de télévision, et puis aussi : controverse, expertise, fiabilité, interprétation,[...]
Des émissions de radio, de télévision, et puis aussi : controverse, expertise, fiabilité, interprétation, polyvalence de journalistes, esprit critique, informer, faire bouger, hypothèse, spécialisation des journalistes, mise en scène de l'info, caricature de l'info, de l'image, malentendus, vérification à la source, anticipation, conviction, indignation, couverture médiatique, indépendance...
Autant de mots, autant de support, pour évoquer l'information, où l'on voit se côtoyer humour, dérision, gravité, légèreté. La question qui se pose est de savoir ce que nous attendons de l'information et ce que nous en faisons. Comment se manifeste la déontologie du métier dans la communication de l'info ? Existe-t-elle vraiment ?
Ecrite, en image, ou par la voix des ondes, l'information traverse des "filtres" avant de nous parvenir. Où est donc la transparence ? La transparence est-elle nécessaire à tout prix ? Pouvoir dire ne signifie pas pouvoir entendre. Emission et Réception ne fonctionnent pas avec les mêmes clés, les mêmes codes.
L'ambition de ce travail est de mettre le curseur sur l'idée selon laquelle, il ne s'agit plus "du poids des mots, du choc des photos" (un classique dans nos esprits) mais de la qualité de transmettre et celle de recevoir, et donc de la responsabilité des propos des différents protagonistes.
C'est la raison pour laquelle certaines toiles sont "travaillées" pour une lecture plurielle, mettant ainsi en évidence l'importance de l'interprétation et donc celle du présenté, dans la communication de l'info.
Par couches, strates, parfois brouillon, parfois bien "fouillées" claires ou confuses, positives ou d'une brutale réalité, les informations nous arrivent pour s'empiler ou se désintégrer au gré de nos préoccupations, pour répondre quelquefois à des interrogations.
Provoquer une réflexion sur le pouvoir de l'information dans nos vies, sur le pouvoir des médias taxés parfois de pouvoir faire la pluie ou le beau temps, le succès ou l'insuccès... et sur la transparence voulue ou revendiquée par certains.
L'information se déroule de façon temporelle, en 54 toiles de format identique 50x50, en monochromie, représentant les jours de la semaine, les jours du mois, les mois, l'année, le 31 décembre qui précède et le 1er janvier de l'année suivante...
Des sculptures/installations soutiennent l'esprit pictural.
Autant de mots, autant de support, pour évoquer l'information, où l'on voit se côtoyer humour, dérision, gravité, légèreté. La question qui se pose est de savoir ce que nous attendons de l'information et ce que nous en faisons. Comment se manifeste la déontologie du métier dans la communication de l'info ? Existe-t-elle vraiment ?
Ecrite, en image, ou par la voix des ondes, l'information traverse des "filtres" avant de nous parvenir. Où est donc la transparence ? La transparence est-elle nécessaire à tout prix ? Pouvoir dire ne signifie pas pouvoir entendre. Emission et Réception ne fonctionnent pas avec les mêmes clés, les mêmes codes.
L'ambition de ce travail est de mettre le curseur sur l'idée selon laquelle, il ne s'agit plus "du poids des mots, du choc des photos" (un classique dans nos esprits) mais de la qualité de transmettre et celle de recevoir, et donc de la responsabilité des propos des différents protagonistes.
C'est la raison pour laquelle certaines toiles sont "travaillées" pour une lecture plurielle, mettant ainsi en évidence l'importance de l'interprétation et donc celle du présenté, dans la communication de l'info.
Par couches, strates, parfois brouillon, parfois bien "fouillées" claires ou confuses, positives ou d'une brutale réalité, les informations nous arrivent pour s'empiler ou se désintégrer au gré de nos préoccupations, pour répondre quelquefois à des interrogations.
Provoquer une réflexion sur le pouvoir de l'information dans nos vies, sur le pouvoir des médias taxés parfois de pouvoir faire la pluie ou le beau temps, le succès ou l'insuccès... et sur la transparence voulue ou revendiquée par certains.
L'information se déroule de façon temporelle, en 54 toiles de format identique 50x50, en monochromie, représentant les jours de la semaine, les jours du mois, les mois, l'année, le 31 décembre qui précède et le 1er janvier de l'année suivante...
Des sculptures/installations soutiennent l'esprit pictural.
OU SONT MES RACINES ? • 30 oeuvres
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Cette exposition comporte 40 toiles et 14 sculptures.
C’EST UNE INTERROGATION A LAQUELLE CERTAINS CHERCHENT[...]
Cette exposition comporte 40 toiles et 14 sculptures.
C’EST UNE INTERROGATION A LAQUELLE CERTAINS CHERCHENT UNE REPONSE ; UNE INTERROGATION TELLEMENT LOURDE DE SENS QUE D’AUTRES PREFERENT L’OCCULTER. POURTANT A N’EN PAS DOUTER NOUS AVONS TOUS NOS PROPRES RACINES, QUELLES QUE SOIENT NOS ORIGINES CULTURELLES, QUELLE QUE SOIT NOTRE FOI OU NOS CONVICTIONS SPIRITUELLES.
ELLES SONT LE SOCLE DE NOTRE PASSE, DE NOTRE PRESENT ET DE NOTRE FUTUR.
ELLES SONT « INDERACINABLES », PROFONDES, ET PORTENT NOTRE ARBRE GENEALOGIQUE.
ELLES REVELENT NOTRE LUMIERE.
LES RACINES NE MEURENT PAS.
C’EST POUR ILLUSTRER CETTE PHILOSOPHIE DE PENSEE QUE JE LEUR DONNE UNE DEUXIEME VIE, UN SECOND SOUFFLE, EN LES METTANT ENFIN A LA LUMIERE, ELLES QUI N’ONT CONNU QUE LES PROFONDEURS D’UN SOL NOURRICIER.
ELLES ENFERMENT L’AIR QUE NOUS RESPIRONS, LES VIBRATIONS QUE NOUS EMETTONS, LE MAGNETISME QUE NOUS DEGAGEONS, DANS LA CARESSE A UN ARBRE OU DANS L’INTERET QUE NOUS LEUR MANIFESTONS.
SI MES RENCONTRES AVEC ELLES RELEVENT PARFOIS DU HASARD, LE REGARD QUE JE LEUR PORTE C’EST UNE TOUTE AUTRE CHOSE. C’EST UNE REACTION TRANSCENDANTE QUI M’EPROUVE A CHAQUE FOIS ET QUI ME FAIT PLONGER IMMEDIATEMENT DANS UN FUTUR QUE JE VAIS VIVRE AVEC ELLES, ETAPE APRES ETAPE, JUSQU’A LEUR TROUVER LA DIMENSION METAPHORIQUE PAR ET GRACE A L’EMOTION QU’ELLES ME RENVOIENT.
LE LANGAGE QUE VOUS ENTRETIENDREZ ENSUITE AVEC ELLES, LEUR DONNERA PEUT-ETRE UN AUTRE SENS. C’EST AINSI QUE TOUTE ŒUVRE ARTISTIQUE SE METAMORPHOSE DANS LA RENCONTRE ET S’ENRICHIT DU REGARD DE CHACUN ; N’EN EST-IL PAS DE MEME POUR LES HUMAINS ?
POURQUOI LE 11 SEPTEMBRE ? J’AI VECU CET EVENEMENT D’UNE MANIERE DOULOUREUSE, PRESQUE CHARNELLE, « EN DIRECT » : PEINDRE, PEINDRE, PEINDRE, DEVENAIT IMPERIEUX ; IL ME FALLAIT SUIVRE CE TRAGIQUE EPISODE LE PINCEAU A LA MAIN. C’EST PLUS TARD QUE J’AI COMPRIS POURQUOI… : UNE PARTIE DE MES RACINES ETAIT LA-BAS.
NOUS LAISSONS TOUS UNE HISTOIRE « LA-BAS », « QUELQUE PART » ; LES RACINES PASSENT LES FRONTIERES DU TEMPS ET DE L’ESPACE.
LES GUERRES DETRUISENT LES CORPS, LES CONFLITS BLESSENT LES AMES, PARFOIS ELOIGNENT LES ETRES, MAIS LES RACINES RAPPROCHENT LES TROIS TEMPS, PASSE-PRESENT-FUTUR, POUR N’EN FAIRE QU’UN : CELUI DE L’EXISTENCE. ET QUOI QUE NOUS FASSIONS NOUS LES RETROUVONS SUR NOTRE CHEMIN, POUR NOUS EXPLIQUER CE QUE NOUS SOMMES ET NOUS AIDER A COMPRENDRE. TOUS NOS CHOIX, NOS BLESSURES, NOS ACTES, NOS DERIVES, NOS BONHEURS AUSSI, SONT AUTANT D’EMPREINTES QUI MODELENT NOS RACINES.
ELLES PORTENT POUR NOUS TOUS LES MAUX DE LA TERRE,
ELLES MERITAIENT BIEN DE CONNAITRE LA LUMIERE.
C’EST UNE INTERROGATION A LAQUELLE CERTAINS CHERCHENT UNE REPONSE ; UNE INTERROGATION TELLEMENT LOURDE DE SENS QUE D’AUTRES PREFERENT L’OCCULTER. POURTANT A N’EN PAS DOUTER NOUS AVONS TOUS NOS PROPRES RACINES, QUELLES QUE SOIENT NOS ORIGINES CULTURELLES, QUELLE QUE SOIT NOTRE FOI OU NOS CONVICTIONS SPIRITUELLES.
ELLES SONT LE SOCLE DE NOTRE PASSE, DE NOTRE PRESENT ET DE NOTRE FUTUR.
ELLES SONT « INDERACINABLES », PROFONDES, ET PORTENT NOTRE ARBRE GENEALOGIQUE.
ELLES REVELENT NOTRE LUMIERE.
LES RACINES NE MEURENT PAS.
C’EST POUR ILLUSTRER CETTE PHILOSOPHIE DE PENSEE QUE JE LEUR DONNE UNE DEUXIEME VIE, UN SECOND SOUFFLE, EN LES METTANT ENFIN A LA LUMIERE, ELLES QUI N’ONT CONNU QUE LES PROFONDEURS D’UN SOL NOURRICIER.
ELLES ENFERMENT L’AIR QUE NOUS RESPIRONS, LES VIBRATIONS QUE NOUS EMETTONS, LE MAGNETISME QUE NOUS DEGAGEONS, DANS LA CARESSE A UN ARBRE OU DANS L’INTERET QUE NOUS LEUR MANIFESTONS.
SI MES RENCONTRES AVEC ELLES RELEVENT PARFOIS DU HASARD, LE REGARD QUE JE LEUR PORTE C’EST UNE TOUTE AUTRE CHOSE. C’EST UNE REACTION TRANSCENDANTE QUI M’EPROUVE A CHAQUE FOIS ET QUI ME FAIT PLONGER IMMEDIATEMENT DANS UN FUTUR QUE JE VAIS VIVRE AVEC ELLES, ETAPE APRES ETAPE, JUSQU’A LEUR TROUVER LA DIMENSION METAPHORIQUE PAR ET GRACE A L’EMOTION QU’ELLES ME RENVOIENT.
LE LANGAGE QUE VOUS ENTRETIENDREZ ENSUITE AVEC ELLES, LEUR DONNERA PEUT-ETRE UN AUTRE SENS. C’EST AINSI QUE TOUTE ŒUVRE ARTISTIQUE SE METAMORPHOSE DANS LA RENCONTRE ET S’ENRICHIT DU REGARD DE CHACUN ; N’EN EST-IL PAS DE MEME POUR LES HUMAINS ?
POURQUOI LE 11 SEPTEMBRE ? J’AI VECU CET EVENEMENT D’UNE MANIERE DOULOUREUSE, PRESQUE CHARNELLE, « EN DIRECT » : PEINDRE, PEINDRE, PEINDRE, DEVENAIT IMPERIEUX ; IL ME FALLAIT SUIVRE CE TRAGIQUE EPISODE LE PINCEAU A LA MAIN. C’EST PLUS TARD QUE J’AI COMPRIS POURQUOI… : UNE PARTIE DE MES RACINES ETAIT LA-BAS.
NOUS LAISSONS TOUS UNE HISTOIRE « LA-BAS », « QUELQUE PART » ; LES RACINES PASSENT LES FRONTIERES DU TEMPS ET DE L’ESPACE.
LES GUERRES DETRUISENT LES CORPS, LES CONFLITS BLESSENT LES AMES, PARFOIS ELOIGNENT LES ETRES, MAIS LES RACINES RAPPROCHENT LES TROIS TEMPS, PASSE-PRESENT-FUTUR, POUR N’EN FAIRE QU’UN : CELUI DE L’EXISTENCE. ET QUOI QUE NOUS FASSIONS NOUS LES RETROUVONS SUR NOTRE CHEMIN, POUR NOUS EXPLIQUER CE QUE NOUS SOMMES ET NOUS AIDER A COMPRENDRE. TOUS NOS CHOIX, NOS BLESSURES, NOS ACTES, NOS DERIVES, NOS BONHEURS AUSSI, SONT AUTANT D’EMPREINTES QUI MODELENT NOS RACINES.
ELLES PORTENT POUR NOUS TOUS LES MAUX DE LA TERRE,
ELLES MERITAIENT BIEN DE CONNAITRE LA LUMIERE.
BOIS FLOTTE - WOOD SCULPTURES • 13 oeuvres
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Les sculptures en bois flotte, font partie de l'exposition thematique OU SONT MES RACINES ?
Acrylique sur bois • 26 oeuvres
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PARCE QUE L’ESPRIT EST EN PERPETUEL MOUVEMENT, L’EVOLUTION EST CONSTANTE. PAR AILLEURS, LES CONSIDERATIONS[...]
PARCE QUE L’ESPRIT EST EN PERPETUEL MOUVEMENT, L’EVOLUTION EST CONSTANTE. PAR AILLEURS, LES CONSIDERATIONS SOCIALES ENFERMENT L’ETRE HUMAIN DANS UN ESPACE, ET LE SITUENT PARFOIS DE FAÇON SUBJECTIVE DANS UN SCHEMA QUALITATIF.
ALORS VOUS DIRE ICI QUI EST L’ARTISTE SERAIT VAIN ET N’INTERESSERAIT PAS L’OEUVRE ; OR C’EST ELLE ET LE CHEMINEMENT JUSQU’A SA CONCEPTION QU’IL ME PLAIT DE VOUS PRESENTER, ELLE QUI EST UNE EMANATION DE BIEN D’AUTRES « SUBSTANCES », CEREBRALES CELLES-LA, QUI JALONNENT NOTRE CHEMIN DE VIE, QUI CREENT LES RENCONTRES ET FONT S’OUVRIR LE LIVRE. SI LA RENCONTRE A LIEU C’EST LA MAGIE. SINON, CHACUN POURSUIT SA ROUTE.
L’ART N’EST PAS UN PRODUIT FINI ! IL EST UNE RESPIRATION, UNE INSPIRATION ET UNE EXPIRATION !
LA RESPIRATION EST INTEMPORELLE ET, COMME ELLE, L’ART SE FICHE PAS MAL DES MODES, DU TEMPS ET DES SAISONS. IL A JUSTE BESOIN, POUR PUISER DANS SON PROFOND ET TROUVER SON ESSENCE, D’UN REGARD COMPLICE.
ALORS VOUS DIRE ICI QUI EST L’ARTISTE SERAIT VAIN ET N’INTERESSERAIT PAS L’OEUVRE ; OR C’EST ELLE ET LE CHEMINEMENT JUSQU’A SA CONCEPTION QU’IL ME PLAIT DE VOUS PRESENTER, ELLE QUI EST UNE EMANATION DE BIEN D’AUTRES « SUBSTANCES », CEREBRALES CELLES-LA, QUI JALONNENT NOTRE CHEMIN DE VIE, QUI CREENT LES RENCONTRES ET FONT S’OUVRIR LE LIVRE. SI LA RENCONTRE A LIEU C’EST LA MAGIE. SINON, CHACUN POURSUIT SA ROUTE.
L’ART N’EST PAS UN PRODUIT FINI ! IL EST UNE RESPIRATION, UNE INSPIRATION ET UNE EXPIRATION !
LA RESPIRATION EST INTEMPORELLE ET, COMME ELLE, L’ART SE FICHE PAS MAL DES MODES, DU TEMPS ET DES SAISONS. IL A JUSTE BESOIN, POUR PUISER DANS SON PROFOND ET TROUVER SON ESSENCE, D’UN REGARD COMPLICE.
BRONZES / PIERRE • 31 oeuvres
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