All artworks by Virgile Bernardi
les FORMES VIDES • 14 artworks
View allLES FONDS PLEINS à l'étude • 66 artworks
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Les études servent de support aux tableaux grands formats (100x100 ou 100x70 cm). Elles sont réalsées[...]
Les études servent de support aux tableaux grands formats (100x100 ou 100x70 cm). Elles sont réalsées sur papier fort ou léger, à l'encre, à l'acrylique ou à l'huile et sont accompagnées d'un texte. Il en existe parfois plusieurs versions. Celles ci sont alors numérotée en fonction du nombre réalisé.
LES FONDS PLEINS à l'épreuve • 84 artworks
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-----------TAILLES FINES < 50 cm 50 cm= 80cm Les épreuves servent également de support aux grands formats[...]
-----------TAILLES FINES < 50 cm 50 cm= 80cm Les épreuves servent également de support aux grands formats (100x100 ou 100x70 cm). Elles ont été réalisées sur contreplaqué ou sur toile enchassée. Elles sont datées, signées et certifiées.
Les BIO OEUFS des Fonds Pleins • 84 artworks
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Et…, Au tout début, le TOUT commence par ... une éjaculation féminine. Le TOUT explose et se répend[...]
Et…, Au tout début, le TOUT commence par ... une éjaculation féminine. Le TOUT explose et se répend dans les galaxies one, two et free. La plaie se referme ensuite sur elle-même, comme une implosion,...petite à petite... Et la première journée, la femme crée la coquille d'ovaire…et on la nomme Oeuf... mais elle sent que çà fait mal, principalement parce qu'elle sépare l’intérieur de l’extérieur, comprendra t -elle ensuite... alors la deuxième journée, à l'intérieur, elle crée la ligne marginale…et on la nomme ligne d'horizon…mais elle sent que çà fait mal... principalement, parce qu'elle sépare la terre et le ciel, comprendra t -elle ensuite. Alors la troisième journée, elle crée la ligne noire…et on la nomme mascara…mais elle sent que çà fait mal, principalement parce qu’elle masque la vue comprendra t -elle ensuite…alors la quatrième journée, elle crée les points… et on les nomme points de cote ou de cotés (suivant les traductions)…mais elle sent que çà fait mal, principalement parce que çà fuie comprendra t –elle ensuite,… bref ceci dans l’infini sans fin d’une suite géométrique dorée, le cycle se poursuit pour former d’autres galaxies...
Les Fonds Pleins au TABLEAU • 3 artworks
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Les « Fonds pleins » sont des amalgames de choses, un flot d’images, captées à l’instant précis où leur[...]
Les « Fonds pleins » sont des amalgames de choses, un flot d’images, captées à l’instant précis où leur fusion semble si harmonieuse qu’elle en paraît vraie.
D’ailleurs, leur titre sous forme de texte, illusoirement fini, est lui aussi plein d’amalgames. Des idées reçues, des stéréotypes, des faits plutôt farfelus, des vrais ragots, des fausses révélations, une objectivité scientifique douteuse, des accumulations de non sens qui nous questionnent sur la valeur des choses. La valeur de ce qui est raconté ? La valeur de ce que l’on dit ? La valeur de ce que l’on voit ? La valeur de ce que l’on croit ? La valeur de ce que l’on sait ? La valeur de ce que l’on connaît ? Faut-il tenter de comprendre ce que l’on nous montre quand ce texte aurait pu être totalement différent, écrit par quelqu’un d’autre.
Qu’est ce qui est vrai ? Qu’est ce qui est faux ? Où se situe la vérité ? Les « fonds pleins » ne cessent de nous questionner sur le fond. Ce fond, qui est à la fois le sens du texte, mais qui est aussi la toile support de l’image inscrite là comme une enluminure : La première lettre d’un texte. Cette toile est aussi support d’un texte présenté comme une image sur la face habituellement cachée du tableau. L’aspect mystérieux de la découverte renforce l’importance qu’on lui accorde. C’est forcément un texte révélateur. Mais la vérité se glisse partout, dans les moindres interstices, les espaces les plus infiniment petits de la toile. Elle est insaisissable, elle est impalpable, elle est invisible…et l’histoire que l’on se raconte passe à travers pour se retrouver derrière. Il y a quelque chose de visible entre les lignes. Il y a quelque chose de lisible à voir. Mais même en retournant le tableau, on lit entre les lignes, on imagine au delà de ce que l’on voit. Et chaque effort pour connaître la vérité ne fait, au mieux, que repousser plus loin les questions…ou, au pire, fige définitivement nos interprétations dans ce qui peut devenir une institution, un dogme. Des dogmes, religieux, mais aussi, des dogmes politiques, des dogmes scientifiques. Des dogmes qui nous permettent parfois de vivre plus facilement, et qui dans le même temps réduisent nos libertés. Liberté de penser, de créer, de circuler…La liberté est un exercice avant tout douloureux.
Pourtant, cette part d’invisible, cette part d’infini semble une des conditions de l’évolution humaine. En positionnant le tableau dans l’espace, le texte apparaît, visible. L’image à 2 dimensions, le fond, prend une dimension supplémentaire, et le tableau s’apparente à un objet, en 3 dimensions, réelles, palpables : Une forme. Une forme simple parallélipipédique. D’abord l’image, prise à un instant précis, ensuite le texte, puis enfin, le châssis du tableau constitué, entre autre, de ses champs dorés. A chaque dimension que l’on ajoute, ce sont d’autres degrés de compréhension possible. Une des version de la théorie des cordes, par exemple, permet aux mathématiques actuelles d’appréhender un monde cohérent jusqu’à 26 dimensions. Les lectures transdisciplinaires permettent également de garder l’esprit ouvert à de nouvelles interprétations. L’important reste la cohérence, la cohésion, par rapport à un référent, un repère, un environnement, des conditions dans lesquelles la théorie peut se vérifier.
Les « Fonds pleins » malgré toute leur bonne volonté trouvent eux aussi leur limite dans notre réalité, dans les limites de nos connaissances…c’est en cela que les « Formes vides » prennent en quelque sorte, le relais du questionnement.
D’ailleurs, leur titre sous forme de texte, illusoirement fini, est lui aussi plein d’amalgames. Des idées reçues, des stéréotypes, des faits plutôt farfelus, des vrais ragots, des fausses révélations, une objectivité scientifique douteuse, des accumulations de non sens qui nous questionnent sur la valeur des choses. La valeur de ce qui est raconté ? La valeur de ce que l’on dit ? La valeur de ce que l’on voit ? La valeur de ce que l’on croit ? La valeur de ce que l’on sait ? La valeur de ce que l’on connaît ? Faut-il tenter de comprendre ce que l’on nous montre quand ce texte aurait pu être totalement différent, écrit par quelqu’un d’autre.
Qu’est ce qui est vrai ? Qu’est ce qui est faux ? Où se situe la vérité ? Les « fonds pleins » ne cessent de nous questionner sur le fond. Ce fond, qui est à la fois le sens du texte, mais qui est aussi la toile support de l’image inscrite là comme une enluminure : La première lettre d’un texte. Cette toile est aussi support d’un texte présenté comme une image sur la face habituellement cachée du tableau. L’aspect mystérieux de la découverte renforce l’importance qu’on lui accorde. C’est forcément un texte révélateur. Mais la vérité se glisse partout, dans les moindres interstices, les espaces les plus infiniment petits de la toile. Elle est insaisissable, elle est impalpable, elle est invisible…et l’histoire que l’on se raconte passe à travers pour se retrouver derrière. Il y a quelque chose de visible entre les lignes. Il y a quelque chose de lisible à voir. Mais même en retournant le tableau, on lit entre les lignes, on imagine au delà de ce que l’on voit. Et chaque effort pour connaître la vérité ne fait, au mieux, que repousser plus loin les questions…ou, au pire, fige définitivement nos interprétations dans ce qui peut devenir une institution, un dogme. Des dogmes, religieux, mais aussi, des dogmes politiques, des dogmes scientifiques. Des dogmes qui nous permettent parfois de vivre plus facilement, et qui dans le même temps réduisent nos libertés. Liberté de penser, de créer, de circuler…La liberté est un exercice avant tout douloureux.
Pourtant, cette part d’invisible, cette part d’infini semble une des conditions de l’évolution humaine. En positionnant le tableau dans l’espace, le texte apparaît, visible. L’image à 2 dimensions, le fond, prend une dimension supplémentaire, et le tableau s’apparente à un objet, en 3 dimensions, réelles, palpables : Une forme. Une forme simple parallélipipédique. D’abord l’image, prise à un instant précis, ensuite le texte, puis enfin, le châssis du tableau constitué, entre autre, de ses champs dorés. A chaque dimension que l’on ajoute, ce sont d’autres degrés de compréhension possible. Une des version de la théorie des cordes, par exemple, permet aux mathématiques actuelles d’appréhender un monde cohérent jusqu’à 26 dimensions. Les lectures transdisciplinaires permettent également de garder l’esprit ouvert à de nouvelles interprétations. L’important reste la cohérence, la cohésion, par rapport à un référent, un repère, un environnement, des conditions dans lesquelles la théorie peut se vérifier.
Les « Fonds pleins » malgré toute leur bonne volonté trouvent eux aussi leur limite dans notre réalité, dans les limites de nos connaissances…c’est en cela que les « Formes vides » prennent en quelque sorte, le relais du questionnement.
Les FRAGMENTS des Fonds Pleins • 36 artworks
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Quelle est la valeur des choses ? C’est la question que posent les fragments au sein des « Fonds pleins[...]
Quelle est la valeur des choses ? C’est la question que posent les fragments au sein des « Fonds pleins ».
Comment doit-on calculer le prix d’un fragment? Doivent-ils tous avoir le même prix, s’ils sont de taille équivalente ? Faut-il donner plus de valeur à un morceau qui aura plusieurs couleurs, un début de représentation, un début de texte ?
Le prix de chacun d’eux doit-il être calculé en divisant le prix du tableau non fragmenté par le nombre de fragments? Un fragment serait alors moins cher que l’étude de même taille ? Cela est-il juste ? Cela est-il vrai ? Cela est-il réalisable ? Ou faut il au contraire partir de l’étude, multiplier son prix par le facteur d’agrandissement puis le diviser en fonction du nombre de fragments. L’image fusionnelle peut elle reprendre son harmonie initiale quand on recrée le rapprochement entre les morceaux ? Le coup de scie et le vide laissé par lui, est il néfaste à cette nouvelle cohésion. Faut-il ajouter le coût de la coupe à chaque fragment ou au contraire le soustraire ? Faut-il couper sur les lignes de fusion ? Faut il imaginer le système permettant de raccrocher l’ensemble et si oui, ce coût de revient supplémentaire doit il être répercuté sur le prix de vente ?
Imaginerions nous vendre de la même manière des objets de consommation courante ? La vente d’objets en kit est elle à rapprocher de la vente des fragments ? Un tableau en kit…permettant d’espérer à l’acquéreur de pouvoir en posséder la totalité sans faire de crédit ? La côte d’un fragment peut-elle augmenter considérablement s’il manque ce seul morceau à un acquéreur régulier ? Qu’est ce qui permettrait à celui-ci de savoir si ce morceau manquant a bien été vendu ou s’il est conservé dans un stock pour faire monter sa côte ? Qu’est ce qui permettrait à un acquéreur potentiel d’être sûr que tous les morceaux existent encore ?
Quelle valeur ces fragments auront-ils quand leur totalité sera dispersé aux 4 coins du monde ? Quelle valeur ces fragments auront ils s’ils sont un jour de nouveau réunis ? Faut il diminuer le prix du fragment en fonction de la quantité commandée ?
Merci de faire une offre argumentée.
Voir également « Sans titre n°0001 » et « Sans titre n°0002 » dans la galerie « le RIEN »
Comment doit-on calculer le prix d’un fragment? Doivent-ils tous avoir le même prix, s’ils sont de taille équivalente ? Faut-il donner plus de valeur à un morceau qui aura plusieurs couleurs, un début de représentation, un début de texte ?
Le prix de chacun d’eux doit-il être calculé en divisant le prix du tableau non fragmenté par le nombre de fragments? Un fragment serait alors moins cher que l’étude de même taille ? Cela est-il juste ? Cela est-il vrai ? Cela est-il réalisable ? Ou faut il au contraire partir de l’étude, multiplier son prix par le facteur d’agrandissement puis le diviser en fonction du nombre de fragments. L’image fusionnelle peut elle reprendre son harmonie initiale quand on recrée le rapprochement entre les morceaux ? Le coup de scie et le vide laissé par lui, est il néfaste à cette nouvelle cohésion. Faut-il ajouter le coût de la coupe à chaque fragment ou au contraire le soustraire ? Faut-il couper sur les lignes de fusion ? Faut il imaginer le système permettant de raccrocher l’ensemble et si oui, ce coût de revient supplémentaire doit il être répercuté sur le prix de vente ?
Imaginerions nous vendre de la même manière des objets de consommation courante ? La vente d’objets en kit est elle à rapprocher de la vente des fragments ? Un tableau en kit…permettant d’espérer à l’acquéreur de pouvoir en posséder la totalité sans faire de crédit ? La côte d’un fragment peut-elle augmenter considérablement s’il manque ce seul morceau à un acquéreur régulier ? Qu’est ce qui permettrait à celui-ci de savoir si ce morceau manquant a bien été vendu ou s’il est conservé dans un stock pour faire monter sa côte ? Qu’est ce qui permettrait à un acquéreur potentiel d’être sûr que tous les morceaux existent encore ?
Quelle valeur ces fragments auront-ils quand leur totalité sera dispersé aux 4 coins du monde ? Quelle valeur ces fragments auront ils s’ils sont un jour de nouveau réunis ? Faut il diminuer le prix du fragment en fonction de la quantité commandée ?
Merci de faire une offre argumentée.
Voir également « Sans titre n°0001 » et « Sans titre n°0002 » dans la galerie « le RIEN »
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