Claude Langevin (Cloud Rabbit)
52 oeuvres par Claude Langevin (Cloud Rabbit) (Sélection)
Télécharger en PDF2004-2005 • 52 oeuvres
Dans un palace de marbre froid de la cité Poison, des bulles tordent le linge sale sur le plancher comme[...]
Dans un palace de marbre froid de la cité Poison, des bulles tordent le linge sale sur le plancher comme des traces d’œuvres d’art fossilisées.
« Vous gagnez quelque chose Mister Cloud! Comme une méduse qui crache son encre noire»
Ses yeux calmes et tristes comme des petits chats gobaient le silence et je lui ai répondu :
« Je vous donne mon congé, pendu dans vos films d’horreur pour la dernière fois, 57 ans sur le plateau et je ne suis jamais resté tranquille pour une telle routine »
Tonalités du noir, sourire cruel, une chair d’aube translucide, l’odeur de moufette coupant les aiguilles du plaisir, insectes de l’épine dorsale, chair alternative finale quand l’œuf craque.
« Mauvais endroit Mister Cloud ! Ici endroit du dernier naufrage! »
Sourires, spasmes et mort idiote, pourriture alantie, légume filmant sa chair blanche toujours là quand l’œuf craque et que le jus blanc jaillit des épines dorsales fracturées.
De sa bouche flottaient du gaz carbonique et des violettes, il laissa tomber son béret noir rouillé, raidi et huileux sur le carrelage blanc des vespasiennes. Nus et sournois les gens de la cité Poison virevoletaient dans l’atmosphère, visages transparents avec une lueur étrange dans les yeux, le point de vue devint différent et un cerceuil répandit son odeur fétide sous le ventilateur du plafond comme le désir spectral des chambres closes.
« Mister Cloud est-il aussi gentil qu’avant ? »
L’aiguille s’enfonce encore une fois, l’œuf craque l’émetteur de pensées, épines dorsales de cafards ramassant la chair champignonnée. Il tomba pour des brides, le torchon sur le corps d’un légume.
« Qui êtes-vous ? Mon radeau ? »
« Égoût sacré de la mort Mister Cloud »
L’artiste tomba sous un cyprès-pleureur flipflapant dans le linge sale. Parti à pieds en titubant de ses hanches arthritiques à travers les champs déserts le peintre vous regarde aussi gentiment qu’avant alors que des images idiotes prennent contact.
« Vous gagnez quelque chose comme une triste petite fosse septique Mister Cloud ! »
Rat sur l’épaule agaçant ce cœur paralysé qui se tord pour la dernière fois sortant de moi de la tête aux doigts, je ne reste jamais tranquille pour un tel point de vue sur les tonalités du noir. Ça c’est bien passé comme ça, dans cet endroit-avantage avec les mains blanches tavaillant de concert pour un changement vers des terres plus fertiles.
Puis un cyclotron chia ses personnages nivelés sur la moyenne de n’importe quelle image avec une odeur maléfique flottant autour de l’autre.
« Cloud n’est peut-être plus aussi gentil qu’avant ? »
L’artiste a reçu son congé pendant que l’œuf craque nos épines dorsales qui entretetiennent des clients particuliers… des fossiles de bonheur.
Je deviens physique avec une telle routine, je vous montrerai quelque chose d’intéressant: chair malade entretenant la dernière création frénétique, yeux exorbités, bonbons nus autour de la chambre, brides d’images décadentes.
« Qui êtes-vous dans mes yeux exorbités ? »
L’artiste tombe et se réveille paralysé, il n’était pas si loin d’être aussi gentil qu’avant, les gens qui le jugent sont ceux qui ne le connaissent pas vraiment,
c’est un alcooloparasitonarcomaniaque-hypocondriaque crachant le congé forcé pensèrent-ils en bons chrétiens, et la médisance se propagea comme la misère…
« Triste petit ravaudage, n’est-ce pas ? »
Jusqu’à la mort servir une passion qui ne m’a jamais laissé tranquille, poussière de ville et visage de vent arrivant à la fin du monde, appel dans l’aube lointaine trempée dans les nuages et grelottant dans la muqueuse du monde. Poussière de lune dans le foulard traînant le vent d’après-midi. Sous son béret noir l’artiste plia son linge rassis, vêtements raides se frottant les uns aux autres dans une valise et un revolver éclaboussant la nuit éternelle, c’est la seule façon de vivre sous le cyprès-pleureur avec le vent tiède de l’automne, comme un oiseau mort dans l’eau noire du marécage…
« Vous gagnez quand-même quelque chose Mister Cloud !
Comme une particule de lumière au fond d’un immense trou noir… »
« Vous gagnez quelque chose Mister Cloud! Comme une méduse qui crache son encre noire»
Ses yeux calmes et tristes comme des petits chats gobaient le silence et je lui ai répondu :
« Je vous donne mon congé, pendu dans vos films d’horreur pour la dernière fois, 57 ans sur le plateau et je ne suis jamais resté tranquille pour une telle routine »
Tonalités du noir, sourire cruel, une chair d’aube translucide, l’odeur de moufette coupant les aiguilles du plaisir, insectes de l’épine dorsale, chair alternative finale quand l’œuf craque.
« Mauvais endroit Mister Cloud ! Ici endroit du dernier naufrage! »
Sourires, spasmes et mort idiote, pourriture alantie, légume filmant sa chair blanche toujours là quand l’œuf craque et que le jus blanc jaillit des épines dorsales fracturées.
De sa bouche flottaient du gaz carbonique et des violettes, il laissa tomber son béret noir rouillé, raidi et huileux sur le carrelage blanc des vespasiennes. Nus et sournois les gens de la cité Poison virevoletaient dans l’atmosphère, visages transparents avec une lueur étrange dans les yeux, le point de vue devint différent et un cerceuil répandit son odeur fétide sous le ventilateur du plafond comme le désir spectral des chambres closes.
« Mister Cloud est-il aussi gentil qu’avant ? »
L’aiguille s’enfonce encore une fois, l’œuf craque l’émetteur de pensées, épines dorsales de cafards ramassant la chair champignonnée. Il tomba pour des brides, le torchon sur le corps d’un légume.
« Qui êtes-vous ? Mon radeau ? »
« Égoût sacré de la mort Mister Cloud »
L’artiste tomba sous un cyprès-pleureur flipflapant dans le linge sale. Parti à pieds en titubant de ses hanches arthritiques à travers les champs déserts le peintre vous regarde aussi gentiment qu’avant alors que des images idiotes prennent contact.
« Vous gagnez quelque chose comme une triste petite fosse septique Mister Cloud ! »
Rat sur l’épaule agaçant ce cœur paralysé qui se tord pour la dernière fois sortant de moi de la tête aux doigts, je ne reste jamais tranquille pour un tel point de vue sur les tonalités du noir. Ça c’est bien passé comme ça, dans cet endroit-avantage avec les mains blanches tavaillant de concert pour un changement vers des terres plus fertiles.
Puis un cyclotron chia ses personnages nivelés sur la moyenne de n’importe quelle image avec une odeur maléfique flottant autour de l’autre.
« Cloud n’est peut-être plus aussi gentil qu’avant ? »
L’artiste a reçu son congé pendant que l’œuf craque nos épines dorsales qui entretetiennent des clients particuliers… des fossiles de bonheur.
Je deviens physique avec une telle routine, je vous montrerai quelque chose d’intéressant: chair malade entretenant la dernière création frénétique, yeux exorbités, bonbons nus autour de la chambre, brides d’images décadentes.
« Qui êtes-vous dans mes yeux exorbités ? »
L’artiste tombe et se réveille paralysé, il n’était pas si loin d’être aussi gentil qu’avant, les gens qui le jugent sont ceux qui ne le connaissent pas vraiment,
c’est un alcooloparasitonarcomaniaque-hypocondriaque crachant le congé forcé pensèrent-ils en bons chrétiens, et la médisance se propagea comme la misère…
« Triste petit ravaudage, n’est-ce pas ? »
Jusqu’à la mort servir une passion qui ne m’a jamais laissé tranquille, poussière de ville et visage de vent arrivant à la fin du monde, appel dans l’aube lointaine trempée dans les nuages et grelottant dans la muqueuse du monde. Poussière de lune dans le foulard traînant le vent d’après-midi. Sous son béret noir l’artiste plia son linge rassis, vêtements raides se frottant les uns aux autres dans une valise et un revolver éclaboussant la nuit éternelle, c’est la seule façon de vivre sous le cyprès-pleureur avec le vent tiède de l’automne, comme un oiseau mort dans l’eau noire du marécage…
« Vous gagnez quand-même quelque chose Mister Cloud !
Comme une particule de lumière au fond d’un immense trou noir… »
"Terroriste culturel"
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Peinture | 30x60 in
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"Arthrite-v002"
Peinture | 40x60 in
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"Arthrite-w003"
Peinture | 48x72 in
Vendu
"Arthrite-y001"
Peinture | 60x80 in
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"Combat-02"
Peinture | 48x60 in
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"Combat-04"
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"Myelome-A003"
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"Peinture 03"
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"Peinture 11"
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"Arthrite-v001"
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"Arthrite-x003"
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"Combat-01"
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