Babeth Pochan

«Le trouble, l’envie de peindre vient de la dualité des êtres et des choses, que je ressens en permanence : évidence et mystère, légèreté et mélancolie, simplicité et complexité.
Contemplative, j’ai besoin de voir la lumière, de faire l’éloge du monde sensible.
La peinture narrative me permet de dire ces émotions simples et intenses devant la beauté et la tristesse que le monde me donne, son incroyable énigme, sa bouleversante fragilité.
La peinture est un état de grâce qui traverse un instant cette précarité de l’être et parfois l’éclaire...»