DIOS -15% Pintura por Alban

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Vendido por Alban

  • Obras de arte originais Pintura, Acrílico
  • Dimensões Altura 11,4in, Largura 23,6in
  • Categorias Pinturas menos de US$ 1.000 Surrealismo
Comme toute chose sur terre, rien n'est immuable, tout est changement; ainsi notre être physique retournera un jour à la terre pour nourrir d'autres cycles de vie. Tout ce qui nous caractérise est voué à l'oubli, tout ce que nous aimons finira par disparaître, nous ne faisons que passer. Conglomérats bigarrés, attaqués[...]
Comme toute chose sur terre, rien n'est immuable, tout est changement; ainsi notre être physique retournera un jour à la terre pour nourrir d'autres cycles de vie.
Tout ce qui nous caractérise est voué à l'oubli, tout ce que nous aimons finira
par disparaître, nous ne faisons que passer.
Conglomérats bigarrés, attaqués par une gangrène végétale et rongés par les vers.
Dans un échange avec le commanditaire, l’artiste dresse une liste d’objets signifiants qui, une fois imbriqués les uns dans les autres, offrent un miroir mémoriel matérialiste.
Si le tableau s’adresse alors directement à son commanditaire, il interroge surtout le spectateur sur son propre lien au matériel, son rapport au souvenir et à l’impermanence de deux. Sommes-nous la somme des objets que nous accumulons ? Notre être intérieur, notre être profond est pourtant bien plus vaste qu'un amoncellement d'objets et de souvenirs

Les toiles proposées sont comme des promesses de mort imminentes, un rappel du cycle naturel de la vie qui invite à la distanciation vis à vis de ce à quoi nous nous identifions. Une réflexion autour du lâcher prise, de la résilience de l'égo au profit d’une appartenance intemporelle à un grand tout.

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VégétationObjetsCouleursPeintureConglomérat

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Segue
C’est en 2015 qu'Alban entreprend un tour du monde d’une année pleine. Amérique latine, Asie, couleurs, sons, odeurs, spiritualités : il revient les bagages pleins. En vidant ses valises, les petits papiers[...]

C’est en 2015 qu'Alban entreprend un tour du monde d’une année pleine. Amérique latine, Asie, couleurs, sons, odeurs, spiritualités : il revient les bagages pleins.
En vidant ses valises, les petits papiers d’emballages, les tickets retrouvés dans le fond des poches et les étiquettes collectées furent logiquement et immédiatement destinés à servir de fond pour certains de ses tableaux. Ces papiers collés fonctionnent comme des balises mémorielles partagées avec le spectateur, témoignages d'un voyage passé, de lieux traversés, de choses achetées, goûtées ou bues.
Sur ce fond viennent se découper les côtes et les frontières ; dessinées, elles ne parviennent pas à contenir le fourmillement, les explosions de souvenirs.

L’accumulation, le chao suggérés par l’entremêlât des papiers et de leurs informations trouvèrent alors l’écho d’un travail plus intérieur, celui d’un détachement au matériel, d’une connexion plus forte avec la Pachamama.
« Comme toute chose sur terre, rien n'est immuable, tout est changement; ainsi notre être physique retournera un jour à la terre pour nourrir d'autres cycles de vie.
Tout ce qui nous caractérise est voué à l'oubli, tout ce que nous aimons finira
par disparaître, nous ne faisons que passer. » Livre l’artiste lorsqu’il est invité à en parler.

Le terreau pour une nouvelle série était prêt.
Alban se mets alors à dessiner des accumulations d’objets tous liés, des conglomérats bigarrés, attaqués par une gangrène végétale et rongés par les vers.
Dans un échange avec le commanditaire, l’artiste dresse une liste d’objets signifiants qui, une fois imbriqués les uns dans les autres, offrent un miroir mémoriel matérialiste.
Si le tableau s’adresse alors directement à son commanditaire, il interroge surtout le spectateur sur son propre lien au matériel, son rapport au souvenir et à l’impermanence de deux. Sommes-nous la somme des objets que nous accumulons ? Notre être intérieur, notre être profond est pourtant bien plus vaste qu'un amoncellement d'objets et de souvenirs

Les toiles proposées sont comme des promesses de mort imminentes, un rappel du cycle naturel de la vie qui invite à la distanciation vis à vis de ce à quoi nous nous identifions. Nous trouvons à travers le travail d’Alban les éléments de sa spiritualité personnelle, sa réflexion autour du lâcher prise, de la résilience de l'égo au profit d’une appartenance intemporelle à un grand tout.

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