James La Bruyere
James est née en 1973 à Beyrouth peu avant la grande guerre civile du Liban.
Elle grandit en France et étudie le dessin et la peinture.
Après ses études en art à Paris, elle travaille comme restauratrice pour les Monuments Historiques tout en commençant à exposer son travail personnel en province et à Paris, puis à l’étranger.
Elle réalise egalement des installations qu'elle entourent de ses propres compositions musicales inédites lors des expositions individuelles.
Son travail de recherches l’emmène sur la danse des Soufis (appelée aussi la Qalandiriyya) et elle réalise une série de portraits de derviches tourneurs, qui symbolise la connexion entre la terre et le ciel, l’humain et le divin, une spiritualité représentée en images colorées.
Elle travaille en parallèle sur la série « Beyrouth, comme une ville oubliée », où à l’aide de vues de la capitale libanaise en skyline noir et bleu, elle tente de reconstruire une mémoire visuelle évocatrice de l’atmosphère particulière de cette cité levantine.
Avec le drame actuel des déplacements de populations dus aux guerres et aux changements de climat, James traite de la migration dans son installation « Exode » en portraitisant des personnages errants mais lumineux sur de grandes toiles suspendues, entourant une kalachnikov à terre composée uniquement de chaussures noircies, comme carbonisées.
Le portrait reste la veine principale de James La Bruyère, qu'il soit peint ou dessiné, relevé à l'encre de Chine. Elle travaille sur commande mais aussi en partenariat avec le conseil departemental du Lot qui la soutient pour une création d'un repertoire dessiné des habitants de differents villages lotois. Elle réalise ainsi de nombreux portraits de tous les ages, repertoriés par communes .
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艺术家的评价, 传记, 艺术家的画室:
承认
艺术家曾在媒体、广播或电视媒体上发表过作品
艺术家参加艺术展览和博览会
以艺术家的职业为主要活动
传记
James est née en 1973 à Beyrouth peu avant la grande guerre civile du Liban.
Elle grandit en France et étudie le dessin et la peinture.
Après ses études en art à Paris, elle travaille comme restauratrice pour les Monuments Historiques tout en commençant à exposer son travail personnel en province et à Paris, puis à l’étranger.
Elle réalise egalement des installations qu'elle entourent de ses propres compositions musicales inédites lors des expositions individuelles.
Son travail de recherches l’emmène sur la danse des Soufis (appelée aussi la Qalandiriyya) et elle réalise une série de portraits de derviches tourneurs, qui symbolise la connexion entre la terre et le ciel, l’humain et le divin, une spiritualité représentée en images colorées.
Elle travaille en parallèle sur la série « Beyrouth, comme une ville oubliée », où à l’aide de vues de la capitale libanaise en skyline noir et bleu, elle tente de reconstruire une mémoire visuelle évocatrice de l’atmosphère particulière de cette cité levantine.
Avec le drame actuel des déplacements de populations dus aux guerres et aux changements de climat, James traite de la migration dans son installation « Exode » en portraitisant des personnages errants mais lumineux sur de grandes toiles suspendues, entourant une kalachnikov à terre composée uniquement de chaussures noircies, comme carbonisées.
Le portrait reste la veine principale de James La Bruyère, qu'il soit peint ou dessiné, relevé à l'encre de Chine. Elle travaille sur commande mais aussi en partenariat avec le conseil departemental du Lot qui la soutient pour une création d'un repertoire dessiné des habitants de differents villages lotois. Elle réalise ainsi de nombreux portraits de tous les ages, repertoriés par communes .