Ronny Muller
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Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
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Reconnaissance
Biographie
-
Nationalité:
LUXEMBOURG
- Date de naissance : 1977
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Luxembourgeois
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La pulsation musicale (1)
La Grande Pulsation Noble Musicale
Ces pages sur la philosophie musicale sont destinées aux personnes poussées vers une compréhension certaine des profondeurs de l'âme musicale. Elles concernent ceux et celles qui, musiciens(es), veulent appréhender la magnitude du travail à accomplir - travail si nécessaire à la compréhension intime, et sublime, de l'acte véritablement élevé et vivant. En conséquence, nous nous efforçons d'atteindre les plans supérieurs de la musique habituellement comprise au premier degré. Nous irons plus haut que sa manifestation simple - aussi virtuose et louable soit-elle - : plus loin que la simple réflexion " musicienne "… au delà de que nous pensons ordinairement, de ce que nous captons et entendons spontanément, apprécions naturellement sans nous encombrer d'interrogations métaphysiques " dérangeantes ".
La première question que nous pourrions nous poser est : pourquoi la musique existe-elle ? Si même ils y pensent, la plupart des musiciens(nes) l'évacuent soigneusement dans des activités consumantes des travaux du jeu et de la technique instrumentale et sociale. Dans le fond, et en vérité, se poser une telle question équivaut à se demander : " Pourquoi ma petite vie. Pourquoi me prendre la tête avec cette sensation du chemin, du destin de musicien(ne) qu'est le mien ? Et puis, pourquoi le feu, l'air, l'eau, pourquoi la terre ?". Ces questions se confondent en nous-mêmes, dans les profondeurs ultimes du " soi ".
La raison de l'existence de la musique universelle - oui, absolument, car nous et notre planète n'existons qu'en tant que partie inséparable et inextricablement confondue à l'univers - cette raison ne repose que sur un seul grand principe : notre vie dans l'univers est " obligatoire ". Pourquoi ? Si nous vivons, c'est que quelque chose dans l'univers agit de façon telle, que nous n'avons mot à dire dans l'affaire. Puisque là-dedans nous n'avons pas de choix, nous n'avons donc pas de libre arbitre : si vous y êtes, alors c'est obligatoire ! Cela veut dire aussi : puisque notre vie est obligatoire, ce que nous faisons l'est au même titre.
Si la musique existe, c'est qu'elle ne peut pas ne pas exister. En ce sens, la raison du sens de l'existence même de la musique nous relie, inexorablement, au logos universel… ou si vous préférez : à la source première de cette obligation de vivre. C'est pourquoi la musique peut contenir un sens sacré. Elle peut le contenir disais-je, mais cela dépendra de l'évolution personnelle : sommes-nous stimulés dans cette direction ? Voulons-nous utiliser la musique comme un outil pour notre propre évolution spirituelle ? Ou voulons-nous simplement l'utiliser comme tout le reste, de façon simplement sociale, prosaïque, habituelle, ordinaire ?
De ce grand principe s'écoulent plusieurs lois absolues. La première loi absolue de l'univers est le fait que toute chose est en mouvement. Perceptiblement, ou imperceptiblement tout se meut. A travers le temps : un jour ou l'autre toute chose bougera, et se transformera.
Là ou il y a de la matière, perceptiblement ou imperceptiblement il y a de l'énergie en mouvement. Et ce qui semble être immobile sera tôt ou tard mis en mouvement… question de temps ! C'est comme une partition. Vous avez de la musique écrite, (symbolique) qui gît là, silencieuse, et qui semble immobile et sans vie. Il suffit qu'un l'esprit d'un genre spécial - en l'occurrence celui du musicien - la touche, l'effleure, pour que naisse d'un seul coup : sens, harmonie et discorde, mouvements… bref, le son vivant !
L'existence absolue du grand principe - qui nous oblige de constater qu'au moment même de vivre, nous ne pourrions pas ne pas être en vie - représente déjà un mouvement, une mouvance en soi. Voilà pourquoi la musique bouge : parce qu'elle est faite d'énergie. Et cette énergie ne peut pas ne pas exister et se mouvoir.
La simple présence de l'existence de cette énergie cosmique fait que notre univers existe : dans l'obligation qu'est la sienne d'exister. Cette énergie primordiale se manifeste à travers toutes les formes qu'elle prend : rayonnements, soleils, planètes, bonshommes et bonnes-femmes… chats, chiens, mouches, microbes, lumières et stupidités, molécules, atomes, électrons, protons, neutrons, hadrons, quarks, chimères, leptons… tout, inclus les musiciens, et les morceaux qu'ils jouent !
Mais pourquoi cette obligation de mouvance ? Pourquoi cette obligation de la présence d'un univers ? Et nous autres ? Nous qui sommes en lui, obligatoirement en dedans ? Nous, en tant que l'univers où nous faisons notre musique, oui, dans un univers qui n'est autre qu'entièrement l'univers ? Et il faut admettre qu'un jour proche ou lointain vous serez obligé de vous éclipser, n'est-ce pas ? Ahhhh, ça !!! Et chaque pièce que vous jouez est obligée d'en faire autant : la pièce que vous jouez finira obligatoirement sa course, à travers le soupir de sa dernière note où elle s'éclipsera inexorablement… pas avant ! Le sens absolu de la vie, comme celui de la "mort" (qui à ce jour incarne le mot le plus dépourvu d'intelligence inventé par la sainte race humaine) peut être compris et intégré jusqu'aux ultimes degrés de la compréhension, oui, juste en vivant correctement la vie musicale. Là, nous sommes face à la plus grande pulsation existante : celle qui pulse de la naissance - début du morceau - jusqu'à " la mort " - fin du morceau. Voilà " La Pulsation Primordiale, la PPH Humaine ".
Cette compréhension ne peut être obtenue sans conscience, c'est à dire qu'il faut une science de l'être. Aucune musique n'évolue spirituellement sans conscience, sans science. Et le fait que les choses évoluent spontanément d'elles-mêmes- au gré des vents du destin - ne doit pas nous aveugler : il existe une grande différence entre le cours normal de l'évolution des choses, et la transformation de ce cours naturel grâce à l'intervention, et l'influence de l'esprit qui plane, obligatoirement : sur "ce qui est". A quoi pourrait servir cette réflexion, et quel en est le sens pratique - car la musique est quand-même objectivement et subjectivement une manifestation sociale pratique ?
Premièrement : le sens pratique se trouve dans l'édification intérieure de la sensation de l'importance de l'acte de musique vivante, et la volonté d'appliquer courageusement ce ressenti.
Deuxièmement : elle sert à l'être à entrer dans sa propre lumière spirituelle.
Troisièmement : elle nous aide à rester ferme face à l'adversité et l'ignorance de certains(es) qui, essayant de transformer cette planète en boutique commerçante de bas étage, pensent que la musique et l'art en général ne sont que la cinquième roue du carrosse, sinon rien de plus que des marchandises monnayables à outrance.
Tout cela concerne le musicien au premier chef. L'artiste doit se battre, vous le savez tous. Plus il(elle) aura un idéal de vie musicale fort, puissant et surtout " pratique ", plus cette bataille serra aisée à mener. On ne se porte pas en transformateur d'un monde insatiablement égoïste - qui marche le ventre à la place de la tête - non, il ne s'agit pas d'une " croisade " ! Il ne s'agit que de devenir " normal ", c'est à dire : être un(e) artiste pleinement développé(e) spirituellement, psychiquement et physiquement.
La pulsation musicale (1)
La Grande Pulsation Noble Musicale
Ces pages sur la philosophie musicale sont destinées aux personnes poussées vers une compréhension certaine des profondeurs de l'âme musicale. Elles concernent ceux et celles qui, musiciens(es), veulent appréhender la magnitude du travail à accomplir - travail si nécessaire à la compréhension intime, et sublime, de l'acte véritablement élevé et vivant. En conséquence, nous nous efforçons d'atteindre les plans supérieurs de la musique habituellement comprise au premier degré. Nous irons plus haut que sa manifestation simple - aussi virtuose et louable soit-elle - : plus loin que la simple réflexion " musicienne "… au delà de que nous pensons ordinairement, de ce que nous captons et entendons spontanément, apprécions naturellement sans nous encombrer d'interrogations métaphysiques " dérangeantes ".
La première question que nous pourrions nous poser est : pourquoi la musique existe-elle ? Si même ils y pensent, la plupart des musiciens(nes) l'évacuent soigneusement dans des activités consumantes des travaux du jeu et de la technique instrumentale et sociale. Dans le fond, et en vérité, se poser une telle question équivaut à se demander : " Pourquoi ma petite vie. Pourquoi me prendre la tête avec cette sensation du chemin, du destin de musicien(ne) qu'est le mien ? Et puis, pourquoi le feu, l'air, l'eau, pourquoi la terre ?". Ces questions se confondent en nous-mêmes, dans les profondeurs ultimes du " soi ".
La raison de l'existence de la musique universelle - oui, absolument, car nous et notre planète n'existons qu'en tant que partie inséparable et inextricablement confondue à l'univers - cette raison ne repose que sur un seul grand principe : notre vie dans l'univers est " obligatoire ". Pourquoi ? Si nous vivons, c'est que quelque chose dans l'univers agit de façon telle, que nous n'avons mot à dire dans l'affaire. Puisque là-dedans nous n'avons pas de choix, nous n'avons donc pas de libre arbitre : si vous y êtes, alors c'est obligatoire ! Cela veut dire aussi : puisque notre vie est obligatoire, ce que nous faisons l'est au même titre.
Si la musique existe, c'est qu'elle ne peut pas ne pas exister. En ce sens, la raison du sens de l'existence même de la musique nous relie, inexorablement, au logos universel… ou si vous préférez : à la source première de cette obligation de vivre. C'est pourquoi la musique peut contenir un sens sacré. Elle peut le contenir disais-je, mais cela dépendra de l'évolution personnelle : sommes-nous stimulés dans cette direction ? Voulons-nous utiliser la musique comme un outil pour notre propre évolution spirituelle ? Ou voulons-nous simplement l'utiliser comme tout le reste, de façon simplement sociale, prosaïque, habituelle, ordinaire ?
De ce grand principe s'écoulent plusieurs lois absolues. La première loi absolue de l'univers est le fait que toute chose est en mouvement. Perceptiblement, ou imperceptiblement tout se meut. A travers le temps : un jour ou l'autre toute chose bougera, et se transformera.
Là ou il y a de la matière, perceptiblement ou imperceptiblement il y a de l'énergie en mouvement. Et ce qui semble être immobile sera tôt ou tard mis en mouvement… question de temps ! C'est comme une partition. Vous avez de la musique écrite, (symbolique) qui gît là, silencieuse, et qui semble immobile et sans vie. Il suffit qu'un l'esprit d'un genre spécial - en l'occurrence celui du musicien - la touche, l'effleure, pour que naisse d'un seul coup : sens, harmonie et discorde, mouvements… bref, le son vivant !
L'existence absolue du grand principe - qui nous oblige de constater qu'au moment même de vivre, nous ne pourrions pas ne pas être en vie - représente déjà un mouvement, une mouvance en soi. Voilà pourquoi la musique bouge : parce qu'elle est faite d'énergie. Et cette énergie ne peut pas ne pas exister et se mouvoir.
La simple présence de l'existence de cette énergie cosmique fait que notre univers existe : dans l'obligation qu'est la sienne d'exister. Cette énergie primordiale se manifeste à travers toutes les formes qu'elle prend : rayonnements, soleils, planètes, bonshommes et bonnes-femmes… chats, chiens, mouches, microbes, lumières et stupidités, molécules, atomes, électrons, protons, neutrons, hadrons, quarks, chimères, leptons… tout, inclus les musiciens, et les morceaux qu'ils jouent !
Mais pourquoi cette obligation de mouvance ? Pourquoi cette obligation de la présence d'un univers ? Et nous autres ? Nous qui sommes en lui, obligatoirement en dedans ? Nous, en tant que l'univers où nous faisons notre musique, oui, dans un univers qui n'est autre qu'entièrement l'univers ? Et il faut admettre qu'un jour proche ou lointain vous serez obligé de vous éclipser, n'est-ce pas ? Ahhhh, ça !!! Et chaque pièce que vous jouez est obligée d'en faire autant : la pièce que vous jouez finira obligatoirement sa course, à travers le soupir de sa dernière note où elle s'éclipsera inexorablement… pas avant ! Le sens absolu de la vie, comme celui de la "mort" (qui à ce jour incarne le mot le plus dépourvu d'intelligence inventé par la sainte race humaine) peut être compris et intégré jusqu'aux ultimes degrés de la compréhension, oui, juste en vivant correctement la vie musicale. Là, nous sommes face à la plus grande pulsation existante : celle qui pulse de la naissance - début du morceau - jusqu'à " la mort " - fin du morceau. Voilà " La Pulsation Primordiale, la PPH Humaine ".
Cette compréhension ne peut être obtenue sans conscience, c'est à dire qu'il faut une science de l'être. Aucune musique n'évolue spirituellement sans conscience, sans science. Et le fait que les choses évoluent spontanément d'elles-mêmes- au gré des vents du destin - ne doit pas nous aveugler : il existe une grande différence entre le cours normal de l'évolution des choses, et la transformation de ce cours naturel grâce à l'intervention, et l'influence de l'esprit qui plane, obligatoirement : sur "ce qui est". A quoi pourrait servir cette réflexion, et quel en est le sens pratique - car la musique est quand-même objectivement et subjectivement une manifestation sociale pratique ?
Premièrement : le sens pratique se trouve dans l'édification intérieure de la sensation de l'importance de l'acte de musique vivante, et la volonté d'appliquer courageusement ce ressenti.
Deuxièmement : elle sert à l'être à entrer dans sa propre lumière spirituelle.
Troisièmement : elle nous aide à rester ferme face à l'adversité et l'ignorance de certains(es) qui, essayant de transformer cette planète en boutique commerçante de bas étage, pensent que la musique et l'art en général ne sont que la cinquième roue du carrosse, sinon rien de plus que des marchandises monnayables à outrance.
Tout cela concerne le musicien au premier chef. L'artiste doit se battre, vous le savez tous. Plus il(elle) aura un idéal de vie musicale fort, puissant et surtout " pratique ", plus cette bataille serra aisée à mener. On ne se porte pas en transformateur d'un monde insatiablement égoïste - qui marche le ventre à la place de la tête - non, il ne s'agit pas d'une " croisade " ! Il ne s'agit que de devenir " normal ", c'est à dire : être un(e) artiste pleinement développé(e) spirituellement, psychiquement et physiquement.
La pulsation musicale (2)
Deuxième partie :
Les pulsations musicales secondaires
Nous avons donc ce grand principe universel, et la loi qui en découle :
1) notre vie, et tout ce qui " est " est obligatoire,
2) notre vie et tout ce qui " est ", est en mouvement, (fait de mouvement).
Comprendre intimement le sens apparent est déjà un travail conséquent, pénétrer et saisir le sens caché, gigantesque. En tout cas, cette " obligation " en " mouvement " (et faite de mouvement) est une Pulsation Unique, qu'il convient d'essayer de sentir dans sa musique ! Une musique accomplie hors de la conscience de " cela " ne peut prendre la moindre allure de grandeur, car ceux qui fabriquent consciemment ou inconsciemment cette "fausse monnaie " restent (et resteront) constamment à côté de la plaque.
La musique n'est pas bâtie sur le " silence ", comme disent certains(nes) : elle ne subsiste qu'à cause de son obligation d'exister et de se mouvoir... comme tout le reste, d'ailleurs ! Dans l'univers, le son et le silence ne connaissent pas le repos, ou le non mouvement. Le son et le silence se manifestent toujours qualitativement, en nous, dans notre instant vital - un son ou silence se sent en nous en tant qu'ambiance particulière et changeante. C'est ainsi parce que, dans l'univers, l'énergie qui le constitue est toujours formelle : il n'existe pas d'énergie(s) sans forme(s). Le son, comme le silence sont faits d'énergies " qualitatives " mouvantes .
Prenons le monde scientifique. Par exemple, un champ d'énergie est déjà une forme en soi. C'est une forme que notre conscience humaine contemple de manière double : d'une part en tant que " champ " et d'autre part en tant "qu'énergie ". Cette double contemplation formelle est totalement intellectuelle, bien sûr, mais sans l'intellect on ne peut comprendre ni "énergie", ni "champ". Subjectivement et objectivement ces notions se confondent en l'être humain, en ce que son intellect dépend du reste de son corps - corps qui, il faut l'admettre, n'est qu'au premier degré mouvement, masse d'énergie, poids et forme ! Coupons une longue histoire courte, et disons que notre auguste " tête " - et toute la musique qu'elle peut contenir - ne peut se mouvoir toute seule ! N'est-ce pas que, pour ce faire, elle a besoin d'un univers " obligatoire "… cause immédiate de la présence-même du reste de son corps !?
La deuxième question que nous pourrions nous poser est - comment arrive-t-on à jouer, ou faire la moindre chose ? C'est évident : nous l'avons appris ! La musique dépend donc de notre mémoire. Mais, la mémoire est très vaste dans un corps… Oh, la tête, elle n'est qu'une infime partie de notre mémoire. Nos cellules - même celles des pieds - savent et se souviennent très bien de ce qu'elles sont, et aussi de qui nous sommes. Elles contiennent tout un savoir, une connaissance précise inscrite dans leurs noyaux d'ADN. C'est à travers nos cellules que nous faisons notre musique : grâce au corps entier.
Arriver à exprimer un contenu musical veut dire qu'il faut entraîner sa mémoire. Mais quelle mémoire, puisqu'il y en a au moins deux : cérébrale et tactile, (corporelle, cellulaire) ? Comment le faire ? De façon ordinaire, avec les habitudes de travail, l'approche que l'on connaît si bien ? Si vous voulez obtenir une musique "ordinaire " - et encore une fois "aussi virtuose et louable soit-elle"- alors, c'est d'accord ! Mais si vous voulez toucher votre vraie grandeur musicale artistique, alors ça ne march