Rationnally is not good enough (2022) Pintura por Soichiro Shimizu

Né à Tokyo en 1966, Soichiro Shimizu a étudié à la School of Visual Arts de New York où il a vécu et travaillé avant de s’installer à Bangkok. Ses peintures et ses gravures explorent la dualité des forces esthétiques contraires, liées à l’existence et à la détérioration de l’environnement et de l’humain, ainsi qu’à l’évolution de la société. Il construit des couches à partir d’un rythme physique de mouvements amplifiés, mettant l’accent sur sa propension à influer l’état actuel des choses, mais en détruisant en même temps les nombreuses couches créées. En harmonisant la mémoire de sa condition passée avec sa capacité actuelle à découvrir ce qui est caché, l’aboutissement de ce qui reste est le résultat de ce qui a existé, révélant ce qui a toujours été là. Son travail a été exposé dans de nombreuses galeries du monde entier, à New York, Paris, Milan, Tokyo, Séoul, Taipei et Bangkok. À l’occasion de l’exposition personnelle de Soichiro Shimizu à la galerie Itochu, à Tokyo en 1999, l’ancien directeur du MoMa Los Angeles, Jeffrey Deitch, a évoqué l’œuvre de Shimizu en ces termes : «La tension créée par la confrontation de forces esthétiques opposées est ce qui donne toute la puissance à son travail. De manière subtile, Shimizu est expert dans l’art d’alimenter ce terrain esthétique en fusionnant des approches contradictoires de la peinture dans une seule et même œuvre. Il attire le spectateur dans son monde artistique aux multiples strates ». Les œuvres de Soichiro Shimizu ont été sélectionnées dans de nombreuses collections privées et publiques comme celles du siège de Sony à Tokyo, de Sony Plaza, à New York, de la société de cosmétiques Shu Uemura et le musée d’art contemporain MAIIAM de Chiang Mai, en Thaïlande.

• Nacionalidad: TAILANDIA
• Fecha de nacimiento : fecha desconocida
• Dominios artísticos: Obras de artistas profesionales, Representado por una galería,
• Grupos: Artista Profesional Artistas Tailandeses Contemporáneos Artistas presentados por una galería