San Roman
Artiste peintre, auteur, bijoutier lapidaire. Expositions: Mougins, Cannes, Menton, Bordeaux, Limoges, Paris, Arcachon, La Roque-Gageac, Beynac, Roanne, Ibiza, Mallorca, Séville, Luxembourg, Russie, ETC. Nombreuses expositions éphémères avec d'autres artistes, Créations de décors pour le théâtre, Fresques, Réalisateur, Directeur artistique pour la danse, etc.
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Le Parchemin de mon Univers • 71 oeuvres
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Ma peinture vous amène dans un voyage intérieur où les dimensions du temps deviennent une illusion.[...]
Ma peinture vous amène dans un voyage intérieur où les dimensions du temps deviennent une illusion. L'essentiel devient présent dans le coeur, comme une émotion dévoilée et libérée.
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Exerce le métier d'artiste à titre d'activité principale
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Biographie
Artiste peintre, auteur, bijoutier lapidaire. Expositions: Mougins, Cannes, Menton, Bordeaux, Limoges, Paris, Arcachon, La Roque-Gageac, Beynac, Roanne, Ibiza, Mallorca, Séville, Luxembourg, Russie, ETC. Nombreuses expositions éphémères avec d'autres artistes, Créations de décors pour le théâtre, Fresques, Réalisateur, Directeur artistique pour la danse, etc.
- Nationalité: FRANCE
- Date de naissance : 1953
- Domaines artistiques: Oeuvres d’artistes professionnels,
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Ajouté le 24 oct. 2016
Article
sanroman06@hotmail.fr
Sur le site il y a peu de toiles,mais par contact je peu envoyé davantage d' oeuvres. J'aime savoir qui est interréssé.
Ajouté le 12 avr. 2011
LA VOILURE D' A.L.B.R.E.T. "roman métaphysique"
11 septembre 2010 06h00 | Par Jean-Claude Faure 1 commentaire(s)
Un roman initiatique
San Roman raconte les aventures de Chrysobert. photo j.-c. F.
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Jean-François San Roman dédicace son premier ouvrage à la Maison de la Presse Lambert aujourd'hui, à partir de 10 heures. Il a plusieurs cordes à son arc, le lapidaire de la rue Victor-Hugo. Dans sa bijouterie, on peut d'ailleurs non seulement apprécier ses créations en joaillerie mais aussi sa production picturale et, depuis peu, son engagement en littérature.
Féru d'ésotérisme
Jean-François San Roman publie son premier roman, « La Voilure d'a.l.b.r.e.t. paru aux éditions Paulo-Ramand. Ce voyageur impénitent, à la recherche des gemmes les plus rares à travers le monde, est aussi un féru d'ésotérisme en quête de la pierre philosophale.
« C'est un roman à clefs, explique l'auteur. Le livre est construit comme une toile d'araignée, où chaque élément permet de se déplacer dans le récit pour accéder à l'essence du propos. » Son héros, Chrysobert, est un moine pèlerin du XIXe siècle.
Tout débute en 1888, une année qui compte dans la numérologie, pour se conclure en
2087, le moment attendu des « grandes révélations ». Si le fil conducteur reste une histoire d'amour, on est assez loin des histoires à l'eau de rose. « C'est un voyage dans la connaissance et le temps qui peut nous mener à la félicité, ajoute l'écrivain. »
La promenade littéraire est volontairement initiatique. L'ascèse du personnage principal le pousse à rechercher la vérité. Ou du moins une vérité, que Jean-François San Roman voudrait faire partager à ses lecteurs.
Il signera son ouvrage samedi matin à la Maison de la Presse. Une autre dédicace est prévue à la fin du mois, au restaurant Le Victor-Hugo, puis à Bordeaux à la librairie Pégase, 13, rue Toulouse-Lautrec. Elle sera suivie d'une conférence.
« La Voilure d'a.l.b.r.e.t. » éd. Paulo-Ramand. Prix TTC France : 18 euros. Signature aujourd'hui, de 10 h à 12 h à la Maison de la Presse Lambert sous les couverts.
Sainte-Foy-la-Grande · Bordeaux · Gironde
Ajouté le 12 avr. 2011
Commentaires
1
Qu'est-ce que la félicité?
Qu’est-ce que la félicité ?
Bonjour à tous et merci de votre présence.
Je commencerai cet entretien avec vous en vous posant la question qui nous réunit aujourd’hui :
Quand pouvons-nous dire à quel moment nous atteignons la félicité ?
Cette réflexion apparemment simple renvoie à une multitude de questionnements.
Nous avons tous eu dans notre vie, je présume, lors de moments de solitudes et de désarroi, des décisions à prendre, sans vraiment savoir quel était le bon choix à faire.
Nous sommes impliqués insidieusement dans une mouvance sociale, économique et familiale, qui bien souvent conditionne notre comportement.
Nous finissons par être ce que nous ne sommes pas réellement et pourtant, chacun de nous à une potentialité énorme à dispenser de l’amour.
Nous fêtons Noël sans nous poser de questions, simplement parce que l’on considère ce jour comme un jour de fête.
Nous oublions que l’Épiphanie qui se célèbre le 6 janvier fut le jour de la célébration de JÉSUS devant les rois Mages.
Jour où nous pourrions dire : ouverture de la conscience de l’être profond et de la lumière intérieure.
Mais qu’est-ce que l’être profond et/ou se situe la lumière intérieure ?
La physique des particules nous explique assez précisément le processus engendrant l’énergie qui anime nos cellules et la pensée qui crée nos actions.
Mais au-delà du plan radieux de cette énergie, il y a quelque chose de plus subtil qui se situe dans l’interférence de notre potentialité.
Tout cela se trouve dans l’ordre de l’immatériel en forme d’information.
Vraisemblablement il y a là, une source intarissable de réponses existantes, se situant hors du temps et de l’espace.
Pouvons-nous nous connecter et parler à nos 5 milliards de cellules ?
Elles possèdent leurs propres langages qui résultent d’une cause paraissant inexplicable.
Par exemple, le moment ou la nature crée le premier photon à partir du vide.
Pour comprendre, nous devons nous ouvrir à une infinitude de possibilités que nous offre l’univers à travers nos réalités tangibles et intangibles.
Le chemin des énergies avec leurs fréquences crée une danse de tous les éléments vibratoires que nous appelons VIE.
Toutes ses interactions, dans leurs perceptions interagissent sur la chaine des éléments en formant une danse de photons, neutrinos, atomes, molécules, cellules qui étant en interconnections dans leur parfait langage ADN entraine ce que nous appelons, la SANTÉ, VITALITÉ, VIE !...
Dans chaque processus d’intentions, de réactions, de décisions, entrent en action les Glandes hormonales en une stimulation externe que sont les ÉMOTIONS, LA PENSÉE, qui crée la perfection que nous sommes, c’est-à-dire l’ÊTRE.
Nous être humains, sommes animés par toutes ses interactions de la matière qui dans l’infiniment petit ce traduit par d’autres interactions et qui sont du domaine de la mécanique quantique, émergé dans la lumière et l’énergie.
Parler des connexions entre les glandes endocrines, les Chakras et analyser ses manifestations quantiques d’une manière simple et agréable pour une compréhension et une lecture facile est le plus grand cadeau que nous pouvons recevoir.
Le simple fait d’imaginer que nous pouvons palper les diverses formes qui affecte, soit en positif ou en négatif notre corps, par le pouvoir de la pensé, nous ouvre les portes d’un espace infini de possibilités. Elles ouvrent le chemin de la grâce, en empruntant un canal de lumière qui est présent en permanence autour de nous.
Pour comprendre la forme alternative des échanges et des variations de signaux de ces canaux, il faut s’en référer aux multitudes d’interactions chimiques se produisant au niveau des cellules nerveuses.
Pour cela, je vous suggère de parcourir le livre de mon ami Jésus Galindez chercheur et physicien vivant au Venezuela. (La physique quantique et les Glandes endocrines). Pour l’instant son ouvrage n’est pas traduit en Français. Pour ceux d’entre vous qui comprennent l’espagnol, je peux vous assurer que son travail est excellent et que vous prendrez plaisir à parcourir son ouvrage.
Dans notre siècle de matérialité, nous déresponsabilisons l’individu.
La technique n’offre pas de réponses, et n’indique pas où trouver la solution à une meilleure vie, un meilleur équilibre, une meilleure santé psychique et physique.
Mais l’aspect de la physique quantique dans ses multitudes de possibilités contient toutes les réponses.
Nous entrons là, dans un voyage qui ne fait que commencer !
Il est vraiment intéressant de le faire, mais commençons par y entrer par la voie la plus courte, celle qui est en nous.
N’avons-nous pas remarqué que nous créons toujours la même réalité de notre quotidien ?
Nos habitudes, nos métiers, nos destinées… sommes-nous conditionnés à vivre toujours les mêmes choses ?
Et si nous avions d’autres réalités !
Allons faire un voyage à l’intérieur de nous !
Nous y verrons peut-être une autre réalité de notre vie, de nos conditionnements, de nos réflexes.
Entrons dans l’intime de nos sens.
C’est eux qui certainement fabriquent cette fameuse réalité dans laquelle nous nous créons.
Si je me cogne contre un mur, il est bien réel, non !
Mais si j’ignore même son existence, ce mur existe-t-il réellement dans l’absolu ? Il existe parce que nous avons créé un prédéterminisme de son existence dans notre conscience.
Nous sommes enfermés dans une projection mentale de l’objet et avons conditionné nos actes dans une structure sociale et matérielle.
Par contre, si je me connecte à l’univers, ce mur devient une projection de particules en forme d’énergie, rempli de vide avec une quantité d’informations.
Nous savons que le cerveau traite 400 milliards de bits par seconde, mais nous ne sommes conscients que de 2000 bits qui nous informent sur notre corps et notre temporalité.
Le bit est un chiffre binaire. C’est-à-dire 0 ou 1. Il implique une unité de mesure. Il peut être fermé ou ouvert. Le zéro est considéré comme étant « ouvert », ce qui implique que l’énergie est vacante partout en même temps. Par conséquent, il ne peut être fixé dans le cerveau.
Le 1 est fermé et peut être focalisé par le cerveau. Le cerveau donc, ne retient que ce qui lui est nécessaire pour son activité humaine et biologique dans un espace à 3 dimensions. Le reste des bits qu’il traite entrent dans l’espace de la mécanique quantique.
C’est notre cortex visuel situé à l’arrière du crane, qui stocke que ce qu’il est en mesure d’utiliser. Le cerveau agit de telle sorte qu’il ne voit que ce qui nous paraît être possible dans notre réalité quotidienne.
Le cerveau répète-t-il des informations qu’il aurait déjà traitées ailleurs ?
Et chaque fois, ferait-il le même parcours ?
Serait-ce le vécu antérieur ?
Ne sommes nous pas tout simplement conditionnés par l’évènement projeté par la réalité abstraite d’un autre vécu d’un autre cerveau dans notre dimension ou bien dans une autre dimension ?
C’est ce que j’ai écrit dans une partie du titre de mon livre et qui explique le sens de (la voilure).
Mais la question de savoir pourquoi tout ce répète continuellement est certainement liée à la faculté d’intégrer dans le système neuronal, l’information et d’en comprendre ses sens.
Malheureusement, dans les mêmes proportions que les bits, certains cerveaux sont dans l’incapacité d’analyser. Comme si le système neuronal était grippé, ou tout simplement n’avait pas de fonction mémorable d’un univers abstrait et déjà construit.
Considérons que la physique quantique nous apprend que rien n’est vraiment réel, tel que par exemple la matière que l’on a crue longtemps comme étant un élément purement statique et donc pas discutable.
Les particules n’occupent qu’une infinie partie de l’atome ou de la molécule.
Le vide occupe tout le reste.
Donc, où va l’information ?
Les particules semblent apparaître et disparaître continuellement.
Peut-être vont-elles dans un autre univers où des êtres se posent la même question.
Il faudrait s’interroger sur la mesure du temps !
Si nous ne considérons pas le présent comme étant une conséquence du passé influençant l’avenir, alors c’est que nous vivons comme des zombies.
Si l’on entre dans le jardin aux possibilités infinies, alors là, on commence à changer les réalités.
Donc, si antérieurement nous avons souhaité ou même réalisé quelque chose de bien pour soi, le simple fait d’animer cette pensée provoque une réaction concrète, et se matérialise dans son présent.
Si l’on croit fortement être capable de réaliser telle ou telle chose, alors lorsque l’on projette cette pensée, elle devient action.
Le choix ne serait-il pas meilleur lorsque l’on projette une bonne action ?
Ainsi nous améliorons notre image et nous construisons une meilleure perception de notre corps, nos actions, et de nos choix.
La question est de savoir jusqu’où nous pouvons aller !
Les objets, les choses, ne sont en fait que la représentation factuelle de notre propre conscience.
Je peux donc réaliser mes choix pour le bien de mon équilibre.
Le regard sur le monde ne doit pas être une entité indépendante, mais une conjonction de nos expériences.
Nous avons donc le choix entre une multitude de possibilités.
Ce sont les possibilités de notre conscience.
Nous avons eu souvent à choisir entre deux situations, deux endroits ou aller.
Nous matérialisons souvent la même programmation qui paraît nous sécuriser, car elle est inscrite dans notre cerveau.
C’est le choix d’un conditionnement inscrit dans notre cerveau qui nous entraine vers celui que nous répétons sans cesse, car nous n’osons pas réfléchir, analyser ou ne pas accepter l’autre possibilité pour nous même.
Nous croyons ne pas en avoir le droit.
Nous culpabilisons.
Et nous refaisons toujours le même choix.
Prenons conscience que nous influons sur la réalité du quotidien tous ensemble, même si nous le refusons partiellement, quitte à penser que c’est une pure élucubration de l’esprit.
Le simple fait d’accepter une réalité qui nous perturbe, change la perception hédonique de nos raisonnements et modifie l’espace et le temps à l’intérieur de nos choix.
Chaque pensée à une incidence sur le corps et le corps influe notre comportement.
Si nous n’arrivons pas à nous libérer de ses schémas préstructurés dans l’inconscient collectif, c’est que la couche de pensées négatives est si épaisse, qu’elle représente 90 % de notre potentialité.
Mais les pensées positives existent toujours ! Elles sont noyées dans l’épais brouillard de nos pensées négatives que nous n’osons pas traverser.
C’est la peur de se perdre et d’aller au-devant de notre propre vérité cachée.
Si nous analysons nos réalités concrètes pour en changer leurs contenus (afin d’en faire une réalité substantielle de nos désirs), alors nous changeons la réalité et nous projetons une autre réalité de nous.
Nous amplifions notre image dans un univers plus beau.
Le monde est fait d’une multitude de réalités différentes parce que les cellules, les noyaux atomiques, les particules vivent dans un univers totalement étranger à notre perception de notre réalité.
Elles sont tout simplement plus petites et pourtant, oh combien complémentaires !
Car je suis à la fois les atomes, les cellules et ma physiologie macroscopique sont aussi vraies que mes mains, mon corps. Seulement, ils sont à des niveaux différents.
Pourtant au niveau subnucléaire le plus profond, toutes choses, comme les humains, ne forment qu’une chaine d’informations qui est indissociable de l’unité cosmique.
Il n’y a donc pas de séparation !
Cela expliquerait la seconde partie du titre de mon livre :
« La voilure d’A.L.B.R.E.T » ; A.L.B.R.E.T veut dire ;
Activité de la lumière dans la béatitude de la résonnance électromagnétique du temps. (Le temps n’est qu’une illusion enfermée dans la conscience de l’être). La résonnance électromagnétique est la conjonction de la lumière divine reliée à la béatitude en pleine activité de l’univers.
L’univers dans toutes ses dimensions serait dans une extase permanente.
Lorsque nous devenons l’observateur du mouvement des étoiles dans leurs activités, nous nous référons souvent au chaos, à des fournaises hautement radioactives où nous n’aimerions pas nous trouver !
Cela vient de notre perception autolimitante de notre FOI, car inversement proportionnel, nous devrions comprendre que toutes ses énergies ne sont que le reflet d’une immense extase de l’énergie cosmique ou du souffle divin.
L’univers beigne dans la béatitude et nous envoi par effet miroir, sa grande sérénité. L’univers est donc l’image de la félicité.
Lorsque je me réveille, je donne à ma journée la forme que je désire. Si je démarre avec une planification de mes fonctions à réaliser dans leurs intégralités, je ferme la porte à l’imprévu qui est une autre forme de réalité.
Les multitudes de connexions neuronales faites de souvenirs, de haine, colère, trahisons, amour, nous renvoient en permanence à un statut comportemental face à ses situations reflétant notre programmation.
Ainsi, tout reflète du sentiment d’être, du vouloir être reconnu dans ses projections qui voudraient qu’elles soient bonnes pour nous.
Elles convergent vers le seul sentiment qui est en fait, l’amour.
Bien souvent, nous nous constituons par rapport à une vision et à des modèles qui est extérieur. Et si l’extérieur renvoie une image que nous percevons, mais qui n’est pas en adéquation avec notre propre perception de notre réalité, il y a conflit envers les autres.
C’est l’amalgame de nos réactions affectives que nous avons apporté en nous, qui nous fait appréhender notre réalité. Elle reste et devient subjective !
Nous cautionnons nos propres subjectivités par dose homéopathique en informant de manière durable, nos neurones.
Le fait de vivre quotidiennement avec des tracasseries, des problèmes, de la haine, de la suspicion ou autres, engendre un état de mélancolie et l’on se sent brimé jour après jour.
L’information produite par le réseau neuronal active alors durablement les cellules nerveuses, qui déterminent notre personnalité. Nous fabriquons des substances chimiques pour chacune des émotions que nous éprouvons. Et ses substances activent nos réactions émotionnelles.
Et quand on retient ses réactions émotionnelles suite à certaines références trop affectives se rapportant à notre passé, on se comporte comme un être intégral.
Nous réagissons avec nos émotions et on ne peut pas faire de distinctions entre l’attitude de nos pulsions régénérantes, ou constructives, puisqu’elles sont sous l’influence de ses mêmes émotions.
Nous sommes dans un remue-ménage permanent de nos acquits mémorisés dans nos cellules.
Les émotions ne sont pas pour autant mauvaises, car elles avivent nos expériences.
Le problème, c’est notre dépendance qui n’est pas uniquement psychique, mais aussi biochimique.
On peut donc devenir accros à chaque neuropeptide et à chaque émotion. On ne peut même pas diriger nos yeux sans l’intervention d’une émotion.
Nous pouvons dire que notre esprit crée littéralement nos actions comme il peut très bien aussi modifier notre corps à l’image de sa perception idéale.
Donc si l’on se considère laid ou laide, c’est que l’on a cette image de soi au niveau de nos cellules, qui renvoient ce que l’on pense être.
Tout commence par la cellule, c’est une machine à fabriquer des protéines. Mais l’impulsion vient du cerveau. La sensibilité des récepteurs est variable.
Si un récepteur longtemps sollicité subit un bombardement intensif, il rapetissera littéralement.
Le nombre de récepteurs diminuera et on deviendra simplement moins réceptif à cette substance.
Ainsi, les sucs physiologiques donnés perdent de leurs efficacités et donneront moins d’effets.
C’est comme si l’on avait donné l’ordre aux protéines d’accroître leurs effets.
Si l’on bombarde au quotidien une cellule de la même substance, lorsque cette cellule se divisera, elle produira une cellule fille ou sœur, et elle aura plus de récepteurs pour ces neuropeptides spécifiques. Elles auront moins de vitamines, de minéraux de nutriments, et n’évacueront pas correctement les déchets et les toxines.
Le vieillissement vient d’une production anormale de protéines.
Et que se passera-t-il ?
La peau perd de son élasticité, car l’élastine est une protéine. Nos enzymes digestives fonctionnent moins bien. Le fluide synovial se compose de protéines. Les jointures se rouillent. Nos os deviennent fins et fragiles. Un bombardement intensif d’actions subversives pour notre mental, engendre un dérèglement de nos tissus adipeux et au quotidien, cette réaction interagit sur le détachement de son enveloppe psychique qui se sent abandonné.
L’alimentation joue bien sûr un rôle prépondérant dans le corps. Mais si l’esprit a été bombardé par des stress et des attitudes négatives à répétitions durant de nombreuses années, les cellules ne jouent plus alors qu’un rôle relatif.
Mais par contre, une alimentation saine dans un corps sain contribue à nourrir subtilement ses cellules.
Il est donc important de changer de paradigme, car la projection du « soi » dans l’univers, est plus vaste que l’on ne se l’imagine.
Lorsque l’on se regarde dans un miroir, il ne faut pas dire « je te déteste », mais au contraire se dire « je t’aime, mais il faut que l’on s’occupe de nous ».
Ça donne à penser que l’on peut interférer nos pensées à celle d’une autre personne. On peut donc imaginer et transformer leurs effets sur nous.
Personne n’est réellement en mesure de vous donner l’information sur comment fonctionne votre « moi », car il fonctionne de votre intérieur.
Étant donné que nous sommes interdépendants d’un milieu, on ne rêve rien de mieux que d’être accepté dans une fractale de cet ensemble. Aujourd’hui la fractale de cet ensemble, c’est vous, et étant interdépendant de ce milieu, je m’efforce à interférer mes pensées avec vous. Mais en aucune manière je peux aller voir comment fonctionne votre « moi » et vous, comment fonctionne le mien. Ce sont mes sens et mes émotions qui me guident.
On ne nous a pas appris comment faire. Est-ce que je m’approuve ou est-ce que je t’approuve ? Rien ne sort.
Les méthodes psychiatriques n’ont laissé aucune action suffisante de liberté individuelle pour répondre.
De nombreux problèmes psychiques sont causés par des choix stupides. Il faudrait réapprendre à faire des choix différents.
Pour exister, il faudrait réapprendre à resituer et à reconquérir la partie du cerveau où se situe le siège de la personnalité.
Revoir nos relations avec les yeux, avec les lieux, avec les choses, les périodes, les évènements…
Parce que nous n’existons pas dans les centres associatifs de notre cerveau qui réaffirment notre identité et notre personnalité.
Il serait temps de faire les efforts nécessaires pour réapproprier l
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Le problème avec Artmajeur, c'est qu'il coupe les textes publiés, et du coup, ce que vous écrivez n'a plus de sens. Donc, si vous êtes frustrés de ne pas avoir pu lire l'intégralité de ma parution, envoyez-moi votre adresse e-mail et je vous enverrai le texte intégral.
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