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原创艺术品
绘画,
其他
- 外形尺寸 高度 20.9in, 宽度 18.1in
- 分类 画作 低于US$1,000
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Sandrine RICHARD essaie, l’espace d’un instant, de capturer un moment de vérité au travers des hommes et femmes qu’elle peint .Elle explore les coins les plus reculés de l’âme et tente de décrypter l’intérieur de l’être, inscrivant ainsi la résonance de son intimité. Elle souhaite se rapprocher au plus près de ce que l’on ne perçoit pas au premier regard, accéder à un lieu ou il est nécessaire de contempler autrement. Son travail peut alors traduire la beauté, la délicatesse, le charme, mais aussi le tourment, la tristesse ou la détresse.
Ses peintres de prédilection sont Francis BACON, Egon SCHEILE, Jean RUSTIN dont elle aime la spontanéité, la force et l’expressionnisme qui s’en dégage.
Elle travaille sur divers supports et met en pratique plusieurs techniques ( peinture, sculpture…). Tel Pierre SOULAGES, elle se sert du noir comme révélateur de lumière, et de vie. En effet elle pense comme lui que: « l’œuvre vit du regard qu’on lui porte. Qu’elle ne se limite ni à ce qu’elle est, ni à celui qui l’ a produite, mais qu’elle est aussi de celui qui la regarde. Ma peinture est un espace de questionnement et de méditation ou les sens qu’on lui prête peuvent venir se faire et se défaire. »
Sandrine RICHARD est née à Paris le 8 avril 1969. Tout a commencé par la pratique de différentes disciplines artistiques lors de ces trois années dans une école de publicité et d’arts graphiques à Paris. C’est en 1998, à son déménagement dans le sud, qu’elle décide de se mettre à peindre réellement mettant à exécution sa volonté enfuie depuis son enfance .
Sa peinture prend un tournant suite à la visite et la proposition d’une exposition au Mémorial de SHIRMECK. Sa visite de la salle des portraits lancera toute une série de visages en noir et blanc sur papier cousus .
Cette année 2020 marque son retour par une exposition intitulée «Le Phoenix» où elle renait de ces cendres après une absence de cinq ans , fors de constater que l’acte créateur fait partie intégrante de sa vie plus que jamais.
Dans la nouvelle production "Femmes je vous aime" est une sorte d'hymne aux femmes, qu'elle a voulu mettre en lumière, montre qu'elles sont belles dans tous les sens du terme.
Ces femmes caméléons se tissent avec des fonds colorés, dans un jeu à la fois d'équilibre et de transparence telle la condition de la femme dans le société qui tente d'extirper péniblement du joug de la gente masculine compris dans le domaine de l'art subissant le mythe de la toute puissance du "génie créateur masculin" (cf Ministère de la culture: rapport Reine Prat de 2006 et 2009)