Toutes les oeuvres de Pierre Leccia
STATIONS BALNEAIRES HORS SAISON • 11 oeuvres
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Lorsque l’on pense aux stations balnéaires, on les associe instinctivement à la période estivale. Les[...]
Lorsque l’on pense aux stations balnéaires, on les associe instinctivement à la période estivale. Les images que l’on se représente le plus communément sont celles de plages garnies de baigneurs, de vie grouillante, des odeurs d’huile solaire, de la chaleur, des marchands de glaces.
Cela est normal car par définition la station balnéaire est dédiée et équipée pour les bains de mer qui sont pris, pour la grande majorité d’entre nous, durant cette période.
Mais quelle image peut révéler la station balnéaire hors saison ?
N’est-elle que vide dépourvue de son essence et de sa raison d’être ? Nous renvoie-t-elle une image déprimante que nous souhaiterions fuir ?
Ne pourrait-on pas au contraire y trouver une forme de zénitude ? Un rythme plus lent, plus calme matérialisé par les espaces marins ouverts à l’infini et l’absence de foule et des infrastructures silencieuses ?
Cela est normal car par définition la station balnéaire est dédiée et équipée pour les bains de mer qui sont pris, pour la grande majorité d’entre nous, durant cette période.
Mais quelle image peut révéler la station balnéaire hors saison ?
N’est-elle que vide dépourvue de son essence et de sa raison d’être ? Nous renvoie-t-elle une image déprimante que nous souhaiterions fuir ?
Ne pourrait-on pas au contraire y trouver une forme de zénitude ? Un rythme plus lent, plus calme matérialisé par les espaces marins ouverts à l’infini et l’absence de foule et des infrastructures silencieuses ?
URBAIN CORPORATE • 8 oeuvres
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URBAIN porte un regard sur notre environnement citadin.
Que ce soit sur l'infrastructure ou le mobilier.
Le[...]
URBAIN porte un regard sur notre environnement citadin.
Que ce soit sur l'infrastructure ou le mobilier.
Le regard porte toujours une forme de minimalisme de l'objet, de cet objet du quotidien que je tente de transcender pour en révéler une émotion.
Une recherche afin de débanaliser ce quotidien que nous croisons tous les jours, dans lequel nous vivons mais sans jamais réellement le voir autrement que pour sa valeur utilitaire.
Que ce soit sur l'infrastructure ou le mobilier.
Le regard porte toujours une forme de minimalisme de l'objet, de cet objet du quotidien que je tente de transcender pour en révéler une émotion.
Une recherche afin de débanaliser ce quotidien que nous croisons tous les jours, dans lequel nous vivons mais sans jamais réellement le voir autrement que pour sa valeur utilitaire.
NATURE • 6 oeuvres
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Mon travail sur la Nature, qu'il fusse un regard sur la mer ou la terre garde une philosophie minimaliste[...]
Mon travail sur la Nature, qu'il fusse un regard sur la mer ou la terre garde une philosophie minimaliste afin d'épurer la lecture de l'image.
FACADES CORPORATE • 11 oeuvres
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Ma démarche se veut esthétique et n’a qu’un seul but, révéler une façade, ses matières, ses lignes.
L’orientation[...]
Ma démarche se veut esthétique et n’a qu’un seul but, révéler une façade, ses matières, ses lignes.
L’orientation de mon travail garde toujours toutefois une ligne directrice basée sur une forme de minimalisme et de révélation d’un quotidien qui bien souvent nous indiffère. La façade, le bâtiment, ne sont jamais représentés dans leur ensemble. Ma photographie ne cherche pas à identifier un lieu qui ici importe peu.
Si la façade se révèle ici par son esthétisme, elle peut aussi parfois se révéler inquiétante voir oppressante par sa forme, sa solidité, sa grandeur, qui alors nous ramène à notre condition humaine d’êtres urbains enfermés dans ces structures d’acier, de béton ou de verre.
L’orientation de mon travail garde toujours toutefois une ligne directrice basée sur une forme de minimalisme et de révélation d’un quotidien qui bien souvent nous indiffère. La façade, le bâtiment, ne sont jamais représentés dans leur ensemble. Ma photographie ne cherche pas à identifier un lieu qui ici importe peu.
Si la façade se révèle ici par son esthétisme, elle peut aussi parfois se révéler inquiétante voir oppressante par sa forme, sa solidité, sa grandeur, qui alors nous ramène à notre condition humaine d’êtres urbains enfermés dans ces structures d’acier, de béton ou de verre.
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