Homme debout (Giacometti) (2019) Pintura por Patrice Poidevin

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En hommage À partir de 1935, Giacometti délaisse l'anecdote et les titres littéraires pour poursuivre une quête de la représentation de la réalité, produisant des séries de têtes pour lesquelles posent son frère et un modèle. En décembre 1941, il quitte Paris pour Genève. Il travaille dans une chambre d'hôtel, poursuivant la[...]
En hommage
À partir de 1935, Giacometti délaisse l'anecdote et les titres littéraires pour poursuivre une quête de la représentation de la réalité, produisant des séries de têtes pour lesquelles posent son frère et un modèle.
En décembre 1941, il quitte Paris pour Genève. Il travaille dans une chambre d'hôtel, poursuivant la production des sculptures minuscules commencée à Paris. L'impossibilité de réaliser une sculpture de grande taille le hante, et ce n'est qu'après avoir vaincu cet obstacle avec la Femme au chariot, en 1944-1945, qu'il quitte la Suisse.
En septembre 1945, Giacometti revient à Paris où il est rejoint, en 1946, par Annette Arm qu'il épouse en 1949. En octobre 1946, André Breton, de retour des États-Unis, déclare à la presse : « Au terme de ses nouvelles recherches, j’ai vérifié avec enthousiasme qu’en sculpture, Giacometti était parvenu à faire la synthèse de ses préoccupations antérieures de laquelle m’a toujours paru dépendre la création du style de notre époque. »[réf. nécessaire] Néanmoins, Giacometti décline la proposition de Breton de le rejoindre et de participer activement à l'exposition que Breton prépare à la galerie Maeght : Le Surréalisme en 1947. Certaines de ses œuvres font néanmoins écho au surréalisme (Le Nez, 1947-1949, et La Main, 1947).
C'est pendant cette période (1946-1947) que s'affirme le nouveau style de Giacometti, caractérisé par de hautes figures filiformes. Sa production est stimulée par les relations qu'il renoue avec le marchand new-yorkais Pierre Matisse qui accueille sa première exposition personnelle d'après-guerre en janvier 1948. Grâce à la reconduction des accords passés en 1936 avec le galeriste, Giacometti peut faire fondre en bronze, en 1947, huit de ses nouvelles sculptures dont L'Homme qui pointe et un premier Homme qui marche. Suivent, en 1948, Les Trois Hommes qui marchent et les Places. Mais c'est pour l'exposition à la galerie Pierre Matisse de décembre 1950 que Giacometti produit quelques-unes de ses plus fameuses sculptures dont commence l'édition en bronze : Quatre femmes sur socle, Quatre figurines sur piédestal, La Forêt, La Clairière, La Cage, Le Chariot, La Femme qui marche entre deux boîtes qui sont des maisons.
C'est seulement en juin 1951, qu'a lieu sa première exposition d'après-guerre à Paris, à la galerie Maeght, où son ami Louis Clayeux l'a convaincu d'entrer. Il y présente des œuvres déjà montrées à la galerie Matisse et plusieurs œuvres nouvelles, toutes en plâtre, dont Le Chat et Le Chien. Contrairement à la légende qui veut qu'Aimé Maeght ait permis à Giacometti de faire fondre ses œuvres en bronze, Giacometti peut faire fondre ce qu'il veut, depuis 1947, grâce à Pierre Matisse.
En 1948, Jean-Paul Sartre avait signé la préface de sa première exposition à New York, « La Recherche de l'absolu ». En 1951, ce sont Leiris et Ponge qui accompagnent l'exposition chez Maeght. En 1954, Sartre écrit un autre texte de référence sur l'artiste. La même année, Giacometti rencontre Jean Genet dont il fait le portrait et c'est pour la publication de la galerie Maeght, Derrière le miroir, que Genet écrit en 1957 un des plus brillants essais sur l'artiste, L'Atelier d'Alberto Giacometti.
À partir du milieu des années 1950, Giacometti réduit ses motifs à des têtes, des bustes et des figures. Représentant la France à la Biennale de Venise, en 1956, Giacometti expose une série de figures féminines un peu moins grandes que nature, connues par la suite sous l'appellation de Femmes de Venise, même si certaines furent montrées pour la première fois à Berne la même année. À la fin de 1958, il obtient, grâce à Pierre Matisse, une commande pour une place à New York devant la Chase Manhattan Bank, projet qu'il abandonnera. Pour ce monument, il crée trois éléments : une grande femme, un homme qui marche, une grande tête, poursuivant ses recherches antérieures en grande taille. Ce monument ne sera installé finalement que dans la cour de la Fondation Maeght. Il comprend alors deux Hommes qui marchent, deux Grandes Femmes et une tête monumentale.
En 19604, il créé la sculpture la plus importante de toute son œuvre, Homme qui marche I. Cette sculpture est considérée en ce début de XXIe comme un chef-d'œuvre dans l'histoire de l'art

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C'est par le dessin, puis par la sculpture que mes aspirations et mes tourments ont d'abord cherché leur voie. Et puis la peinture s'est imposée. C'est dans le jaillissement des couleurs[...]

C'est par le dessin, puis par la sculpture que mes aspirations et mes tourments ont d'abord cherché leur voie. Et puis la peinture s'est imposée. C'est dans le jaillissement des couleurs qu'elle m'a permis de donner libre cours au flot de ce qui me traverse, tant de joies, que de doutes et de craintes face à un monde qui se perd."Je" ne peins pas, c'est mon pinceau qui se pose sur la toile et qui ordonne ce chaos. Au fil des années, mes tableaux ont tendance à se teinter des excès d'un climat qui m'effraie. Je ne mets pas de limites, je laisse libre cours à ma main. Elle me guide, pose ses couleurs qui se mélangent dans une étreinte diabolique, elle façonne les courbes qui se croisent, s'entremêlent, explosent, jaillissent et éclairent la toile. 

Président de l'association Artistes en Val d'Amboise regroupant plus de 100 artistes, tout art confondu.

 C'est cela qu'a ressenti Geneviève Deplatière  lorsqu'elle m'a écrit ce poème :

" L'eau et la lumière te cherchent sur la toile vierge

se frayent leur chemin d'éclairs

Et toi, tu fouilles tes tatouages d'ombre que ta main dilue

et que ton regard livre aux courants des couleurs

Tes villes mortes divaguent telles des radeaux sur l'horizon,

leurs contours, leurs couleurs dans les rouilles et les noirs

 touchent le silence et l'angoisse

Il faut prêter son âme à ces déchirures, et puis s'en délester

Car le geste aussi creuse l'ombre de couleurs familières,

de rumeur d'aube et de paix

En marge, tu nommes des promesses plus légères que la brume

qui attendent d'être mises au monde "

Et depuis, comme en résonance, ses poèmes donnent un corps sonore aux tableaux qui l'inspirent. [ On peut trouver trace de cette correspondance sur ma page Facebook ]

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