Toutes les œuvres de Ootyer
#inthemeantimeoninstagram • 7 œuvres
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Dans la continuité de la série esthétique de l'oubli. Je me suis beaucoup interrogé en voyant la continuité [...]
Dans la continuité de la série esthétique de l'oubli. Je me suis beaucoup interrogé en voyant la continuité des postes sur les réseaux sociaux et de combien l'actualité aussi dramatique et préoccupate qu'elle soit sur Instagram rien ne varie. La même image du soi idéalisé continue à se reproduire encore et encore, mème infatigables et inépuisable. J'ai donc envie de montrer cette dichotomie entre le monde et le monde sur le réseau, ébrecher cette belle image pixelisée
#etudes • 44 œuvres
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Portraits réalisés à partir de photos glanées sur le réseau social Instagram. L'application à l'origine [...]
Portraits réalisés à partir de photos glanées sur le réseau social Instagram.
L'application à l'origine propose des filtres photographiques pour transformer n'importe quel clichés en œuvre d'art.
Je me positionne ainsi comme un filtre, en interprétant des photographies de manière analogique.
J'interroge la fonction de la peinture dans un contexte où l'image se magnifie par le truchement d'ia qui esthétisent le réel.
Au delà je cherche également à interrogé le Flow des images qui nous entour.
En effets sur les médias l'image succède à l'image et il n'y a plus d'image en soi mais une sorte de suite continue d'images qui se succèdent, se remplacent, se supperposent, s'annulent, s'oublient... L'image perd toute substance, toute réalité. Elle est une représentation virtuelle en perpétuel mise à jour.
En choisissant une image dans le Flow je ralenti en quelques sortes le Flow en donnant une temporalité, une matérialité et une réalité à l'image.
Par voie de conséquence j'interroge notre société et l'image que nous cherchons à donner de nous même. Je montre cette extime, se nouveau paradigme de la mise en scène du soi et cherche à trouver ses limites, ses conditions, son sens, sa raison...
Enfin je me concentre sur l'image de la femme, qui est pour moi emblématique de notre civilisation.
Quel image veux "être" la femme au 21ème siècle ?
Après les grands mouvements d'émancipation et l'affaiblissement des patriarcat, après les victoires égalitaires et le #metoo, que deviens l'image que la femme donne d'elle même ?
Doit on encore lutter contre une sexualisation du corps féminin ou doit-on célébrer l'érotisme de ce même corps ?
L'application à l'origine propose des filtres photographiques pour transformer n'importe quel clichés en œuvre d'art.
Je me positionne ainsi comme un filtre, en interprétant des photographies de manière analogique.
J'interroge la fonction de la peinture dans un contexte où l'image se magnifie par le truchement d'ia qui esthétisent le réel.
Au delà je cherche également à interrogé le Flow des images qui nous entour.
En effets sur les médias l'image succède à l'image et il n'y a plus d'image en soi mais une sorte de suite continue d'images qui se succèdent, se remplacent, se supperposent, s'annulent, s'oublient... L'image perd toute substance, toute réalité. Elle est une représentation virtuelle en perpétuel mise à jour.
En choisissant une image dans le Flow je ralenti en quelques sortes le Flow en donnant une temporalité, une matérialité et une réalité à l'image.
Par voie de conséquence j'interroge notre société et l'image que nous cherchons à donner de nous même. Je montre cette extime, se nouveau paradigme de la mise en scène du soi et cherche à trouver ses limites, ses conditions, son sens, sa raison...
Enfin je me concentre sur l'image de la femme, qui est pour moi emblématique de notre civilisation.
Quel image veux "être" la femme au 21ème siècle ?
Après les grands mouvements d'émancipation et l'affaiblissement des patriarcat, après les victoires égalitaires et le #metoo, que deviens l'image que la femme donne d'elle même ?
Doit on encore lutter contre une sexualisation du corps féminin ou doit-on célébrer l'érotisme de ce même corps ?
Esthétique de l'oubli • 22 œuvres
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Suite de spécial k
#unnupouruntableauchallenge • 4 œuvres
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Challenge lancé sur le réseau social Instagram.
Special K • 18 œuvres
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Le montagee
Que se passe t il lorsque l'on juxtapose 2 images appartement sans lien
Que se passe t il lorsque l'on juxtapose 2 images appartement sans lien
love search • 1 œuvre
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Le projet Love Search est composé d'images volées.Des portraits de femmes pris sur les sites de rencontre [...]
Le projet Love Search est composé d'images volées.Des portraits de femmes pris sur les sites de rencontre internet.Ces images sont enregistrées, retouchées par infographie, puis retravaillées.Le projet interroge notre rapport à notre propre image et à notre identité. Il est né d'une réflexion sur l'image choisie pour la séduction, utilisée comme publicité du produit "soi".Cela interroge notre rapport à nous-mêmes dans la possibilité de se vendre "soi" comme produit, mais aussi dans notre rapport à la superficialité et à l'image en tant que définition de nous-mêmes. Mais cela met aussi en jeu le rapport de notre image avec le reste du monde.Ces images sont publiques, n'importe qui dans le monde peut y avoir accès,altérant notre intégrité, le contrôle de notre individualité, de notre anonymat.Les images choisies par ces femmes pour se mettre en valeur, pour séduire, pour se vendre,ont une valeur symbolique et psychologique particulière.Elles ont été choisies pour leur pouvoir de séduction, comme image mettant le mieux en valeur ces femmes. Mais quels sont les critères de ce choix?Ces images sont déhistorisées, affichées brutes, sans commentaire et sans contexte.Ces images ont cependant toutes une histoire. Elles sont la trace d'un vécu personnel. Quelle est cette histoire ? Le projet tente de mettre en question notre rapport à notre identité et à notre image.Les images produites nient l'identité et l'individu (historisé, ayant vécu,ayant une experience propre), pour ne laisser que l'image, le superficiel. Elles interrogent notre société dans laquelle la rencontre amoureuse est un service,dans laquelle notre image et nous-mêmes sommes des produits. Dans cet album, j'ai réuni des épreuves sur papier de pochoirs réalisés avec ces images.Le pochoir ici a une valeur par sa reproductibilité. L'image, étant reproductible, perd dans la répétition sa valeur individuelle, unique.De plus, la technique du pochoir impose de simplifier l'image, d'en réduire au minimum l'expressivité, pour en faire le logo de l'individu, sa représentation minimale.Je voudrais produire des épreuves dans l'espace public, pour ramener l'espace virtuel dans l'espace réel.
Souvenirs • 2 œuvres
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Série réalisé à partir de photos de ma vie
Nippone prod. • 1 œuvre
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Fan-art, geek-art
Œuvres Vendues • 5 œuvres
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