Toutes les œuvres de Olivier Blondeau
portraits • 9 œuvres
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parce que le visage est le reflet de l'âme, le portrait est une des approches picturales les plus difficiles, [...]
parce que le visage est le reflet de l'âme, le portrait est une des approches picturales les plus difficiles, où l'exigence de ressemblance ne laisse de place à la fantaisie qu'à la condition d'une maitrise technique irréprochable. Ce qui met une pression à la fois terrible et exaltante à l'artiste qui s'y frotte... ici quelques réalisations de stars ou d'anonymes, pour le plaisir de contempler une expression, une émotion, une pensée qui se transmet par le regard mieux que par les mots...
La Meuse Sauvage • 9 œuvres
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Série « La Meuse Sauvage » Mon père était peintre des fleurs et des paysages. Il a suivi le cursus de [...]
Série « La Meuse Sauvage »
Mon père était peintre des fleurs et des paysages. Il a suivi le cursus de l’école d’Eugène Blot de Reims pour y être formé aux arts décoratifs. Eugène Blot a été l’élève de louis Carbonnel, lui-même disciple de Camille Corot… ce qui nous renvoie à l’école de Barbizon et aux premiers impressionnistes ! et j’ai à cœur de marcher dans ses pas et ceux de tous nos prédécesseurs dans la contemplation paysagère…
Mais revenons à nos paysages et à la Meuse sauvage, du côté de Saint germain sur Meuse.
Cette ruralité presque intacte, intemporelle, est en toute saison une source d’inspiration et d’émotion inépuisable pour celui qui prend le temps de la regarder.
L’intensité des émotions ressenties par le promeneur, le cueilleur de champignons ou le pêcheur sur les bords de la Meuse sauvage est difficilement transcriptible par des mots. La peinture figurative aux influences impressionnistes permet de faire apprécier au spectateur toute la richesse et la variété fascinante de ces lieux mystérieux et secrets.
Elle nous fait mesurer la petitesse de l’homme et sa place dans la nature. Elle agit ainsi comme un miroir de l’âme.
Mon père était peintre des fleurs et des paysages. Il a suivi le cursus de l’école d’Eugène Blot de Reims pour y être formé aux arts décoratifs. Eugène Blot a été l’élève de louis Carbonnel, lui-même disciple de Camille Corot… ce qui nous renvoie à l’école de Barbizon et aux premiers impressionnistes ! et j’ai à cœur de marcher dans ses pas et ceux de tous nos prédécesseurs dans la contemplation paysagère…
Mais revenons à nos paysages et à la Meuse sauvage, du côté de Saint germain sur Meuse.
Cette ruralité presque intacte, intemporelle, est en toute saison une source d’inspiration et d’émotion inépuisable pour celui qui prend le temps de la regarder.
L’intensité des émotions ressenties par le promeneur, le cueilleur de champignons ou le pêcheur sur les bords de la Meuse sauvage est difficilement transcriptible par des mots. La peinture figurative aux influences impressionnistes permet de faire apprécier au spectateur toute la richesse et la variété fascinante de ces lieux mystérieux et secrets.
Elle nous fait mesurer la petitesse de l’homme et sa place dans la nature. Elle agit ainsi comme un miroir de l’âme.
nus • 14 œuvres
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Série « belles rondeurs » : Pourquoi ce titre? J’aurais pu intituler cette série « sublimation de la [...]
Série « belles rondeurs » : Pourquoi ce titre ?
J’aurais pu intituler cette série « sublimation de la femme réelle ».
Tant elle se veut une ode à la féminité généreuse, naturelle et réelle autant qu’à la transfiguration de l’humanité au travers de la mamelle nourricière ;
Tant elle vise à magnifier l’arrogance de la femme voluptueuse, épanouie et envoutante ;
Tant il est vrai que la vraie beauté féminine est à cent lieues des canons de maigreur imposés par les modes médiatiques actuelles.
En suivant les traces des sculpteurs paléolithiques de Willendorf et de Lespugue, des peintres Pierre Paul Rubens, Viktor Alexandrovich Lyapkalo ou encore Duane Bryers, je voulais intituler cette série « sublimation de la femme réelle ». Mais c’est un peu ampoulé et j’ai craint qu’on ne m’étiquetât comme militant féministe body positive…
J’ai pensé à la nommer BBW, pour big beautiful women, mais je ne parle que le français…
J’aurais pu aussi l’intituler « Stéatopygie et macromastie », mais c’est pompeux et réducteur…
Alors j’ai décidé de l’appeler « belles rondeurs ». C’est la même chose en moins bavard…
Mais quel qu’en soit le titre, cette série interroge le spectateur sur les tabous contemporains concernant la nudité. Le « déjeuner sur l’herbe » d’Edouard Manet (1863) fut jugé indécent car figurant une femme nue et potelée dans une scène réaliste et non mythologique. La notion d’indécence a-t-elle vraiment changé ? Facebook n’a-t-il pas censuré « l’origine du monde » de Gustave Courbet ?
Cette série vise aussi à bousculer l’idéal féminin artificiel d’aujourd’hui en sublimant la beauté des formes généreuses.
Belles rondeurs : Des femmes entièrement nues et rondes, souvent seules mais parfois accompagnées, dans des poses naturelles, au lit, dans leur intimité ou encore au bord de l’eau, comme si elles racontaient leurs vacances insouciantes et heureuses d’être ce qu’elles sont.
Tels sont le choix de l’artiste pour exprimer sa sensibilité au sujet du rapport au corps et à la féminité.
J’aurais pu intituler cette série « sublimation de la femme réelle ».
Tant elle se veut une ode à la féminité généreuse, naturelle et réelle autant qu’à la transfiguration de l’humanité au travers de la mamelle nourricière ;
Tant elle vise à magnifier l’arrogance de la femme voluptueuse, épanouie et envoutante ;
Tant il est vrai que la vraie beauté féminine est à cent lieues des canons de maigreur imposés par les modes médiatiques actuelles.
En suivant les traces des sculpteurs paléolithiques de Willendorf et de Lespugue, des peintres Pierre Paul Rubens, Viktor Alexandrovich Lyapkalo ou encore Duane Bryers, je voulais intituler cette série « sublimation de la femme réelle ». Mais c’est un peu ampoulé et j’ai craint qu’on ne m’étiquetât comme militant féministe body positive…
J’ai pensé à la nommer BBW, pour big beautiful women, mais je ne parle que le français…
J’aurais pu aussi l’intituler « Stéatopygie et macromastie », mais c’est pompeux et réducteur…
Alors j’ai décidé de l’appeler « belles rondeurs ». C’est la même chose en moins bavard…
Mais quel qu’en soit le titre, cette série interroge le spectateur sur les tabous contemporains concernant la nudité. Le « déjeuner sur l’herbe » d’Edouard Manet (1863) fut jugé indécent car figurant une femme nue et potelée dans une scène réaliste et non mythologique. La notion d’indécence a-t-elle vraiment changé ? Facebook n’a-t-il pas censuré « l’origine du monde » de Gustave Courbet ?
Cette série vise aussi à bousculer l’idéal féminin artificiel d’aujourd’hui en sublimant la beauté des formes généreuses.
Belles rondeurs : Des femmes entièrement nues et rondes, souvent seules mais parfois accompagnées, dans des poses naturelles, au lit, dans leur intimité ou encore au bord de l’eau, comme si elles racontaient leurs vacances insouciantes et heureuses d’être ce qu’elles sont.
Tels sont le choix de l’artiste pour exprimer sa sensibilité au sujet du rapport au corps et à la féminité.
divers, oeuvres sur commande • 5 œuvres
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divers, œuvres sur commande. Portraits, portraits animaliers, paysages, etc. N'hésitez pas à demander [...]
divers, œuvres sur commande. Portraits, portraits animaliers, paysages, etc. N'hésitez pas à demander pour un projet personnalisé.
Œuvres Vendues • 3 œuvres
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