Olivia Appelius
Chaque œuvre est un acte d'amour, où les mots s'effacent derrière un mystère ...
Toutes les œuvres de Olivia Appelius
Danse avec la toile (grands formats) • 1 œuvre
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Ces toiles grand format sont nées d’un mouvement, d’un souffle, d’une rencontre entre le corps et la [...]
Ces toiles grand format sont nées d’un mouvement, d’un souffle, d’une rencontre entre le corps et la surface. Je ne peins pas devant la toile, je peins dans la toile.
Chaque œuvre est le résultat d’un dialogue physique avec la matière. J’avance, je recule, je tourne, j’écoute. Mon geste est chorégraphique, il inscrit dans la couleur l’écho de mes pas, la vibration de mes silences.
Danser avec la toile, c’est accepter de ne pas savoir à l’avance. Laisser la peinture guider. Accueillir les accidents, les strates, les hésitations. La toile devient partenaire, elle résiste, elle appelle, elle absorbe. J’y engage tout mon corps, toute ma mémoire sensorielle.
Ces grands formats sont des territoires d’expérimentation.
Ils prolongent ma pratique de la danse classique et contemporaine, mais aussi ma quête d’un langage plastique qui mêle l’élan vital et la contemplation.
Chaque toile est une scène intime où le visible se charge d’invisible, où la couleur porte le souffle, la faille, la tendresse ou le cri.
Chaque œuvre est le résultat d’un dialogue physique avec la matière. J’avance, je recule, je tourne, j’écoute. Mon geste est chorégraphique, il inscrit dans la couleur l’écho de mes pas, la vibration de mes silences.
Danser avec la toile, c’est accepter de ne pas savoir à l’avance. Laisser la peinture guider. Accueillir les accidents, les strates, les hésitations. La toile devient partenaire, elle résiste, elle appelle, elle absorbe. J’y engage tout mon corps, toute ma mémoire sensorielle.
Ces grands formats sont des territoires d’expérimentation.
Ils prolongent ma pratique de la danse classique et contemporaine, mais aussi ma quête d’un langage plastique qui mêle l’élan vital et la contemplation.
Chaque toile est une scène intime où le visible se charge d’invisible, où la couleur porte le souffle, la faille, la tendresse ou le cri.
Peintures d'ombres • 1 œuvre
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Le substanciel se dissout et renaît dans un mouvement éthéré, une danse silencieuse entre ombres et [...]
Le substanciel se dissout et renaît dans un mouvement éthéré, une danse silencieuse entre ombres et lumières. Les contours se floutent à l'instar d'une abstraction sensuelle, la peau compose un paysage et le geste une vibration fugace.
Ces pièces semblent convoquer l’intimité d’un toucher, la mémoire d’une caresse ou l’élan d’un souffle.
Plongées dans des nuances de gris, elles traduisent une poésie de l’indicible, une invitation à voir au-delà du visible, à ressentir l’empreinte des émotions, à se perdre dans l’espace subtil entre présence et disparition ...
Ces œuvres s’inscrivent dans une quête infinie de dialogue entre le corps et l’âme, un voyage intérieur où la sensualité devient langage, énergie vitale liant l’humain à l’infini.
Ces pièces semblent convoquer l’intimité d’un toucher, la mémoire d’une caresse ou l’élan d’un souffle.
Plongées dans des nuances de gris, elles traduisent une poésie de l’indicible, une invitation à voir au-delà du visible, à ressentir l’empreinte des émotions, à se perdre dans l’espace subtil entre présence et disparition ...
Ces œuvres s’inscrivent dans une quête infinie de dialogue entre le corps et l’âme, un voyage intérieur où la sensualité devient langage, énergie vitale liant l’humain à l’infini.
Autoportraits • 5 œuvres
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Fluide, le corps laisse au coeur de ces images une empreinte volatile de l’instant. Les formes se dissolvent [...]
Fluide, le corps laisse au coeur de ces images une empreinte volatile de l’instant. Les formes se dissolvent dans un jeu subtil de contrastes et d'éclairages, le mouvement suspend le temps ... Cette série de photographies capte l’évanescence d’un geste, la mémoire vibrante d’une énergie en perpétuelle métamorphose.
"Corps d'empreinte" explore l’interstice entre la matière et l’immatériel, entre incarnation et disparition. Ces silhouettes effacées semblent danser avec le vide, tissant une poétique de l’éphémère. Le regard est invité à s’abandonner à l’abstraction, à ressentir l’élan vital qui pulse sous la surface, à lire dans le flou l’histoire d’un corps en quête de liberté.
Le corps danse, son mouvement peint et l'objectif en capture l'essence à la frontière entre photographie et peinture. Spectrales et singulières, des images prises sur le vif traduisent l'ensemble d'une performance improvisée. Par le mouvement, l'être se transforme révélant le visage insoupçonné de l'invisible à travers des autoportraits énigmatiques.
Dans ce dialogue entre définition et latence, l’artiste questionne la perception : que voyons-nous réellement ? Que laissons-nous échapper ? Ces bribes de mouvements, comme des murmures, ouvrent un espace où l’intime et l’universel se rencontrent.
Allégories d'une tension fugace, d'un instant suspendu où le visible s’évanouit, le corps semble une matière éthérée, une vibration suspendue dans le temps. Les contours se dissolvent, flirtant avec l’abstraction.
Le geste, presque imperceptible, invite à une contemplation sensorielle. La matière corporelle se dissipe dans un flou pictural évoquant une poésie de l'absence. Ces photographies incarnent un souffle, un élan où l’humain dialogue avec l’immatériel.
Loin d’être une simple représentation, cette série interroge la place du corps dans l’espace, dans sa quête d’union avec la lumière. Elle propose une résonance intime, un voyage introspectif mêlant sensualité à une étrange mélancolie.
"Corps d'empreinte" explore l’interstice entre la matière et l’immatériel, entre incarnation et disparition. Ces silhouettes effacées semblent danser avec le vide, tissant une poétique de l’éphémère. Le regard est invité à s’abandonner à l’abstraction, à ressentir l’élan vital qui pulse sous la surface, à lire dans le flou l’histoire d’un corps en quête de liberté.
Le corps danse, son mouvement peint et l'objectif en capture l'essence à la frontière entre photographie et peinture. Spectrales et singulières, des images prises sur le vif traduisent l'ensemble d'une performance improvisée. Par le mouvement, l'être se transforme révélant le visage insoupçonné de l'invisible à travers des autoportraits énigmatiques.
Dans ce dialogue entre définition et latence, l’artiste questionne la perception : que voyons-nous réellement ? Que laissons-nous échapper ? Ces bribes de mouvements, comme des murmures, ouvrent un espace où l’intime et l’universel se rencontrent.
Allégories d'une tension fugace, d'un instant suspendu où le visible s’évanouit, le corps semble une matière éthérée, une vibration suspendue dans le temps. Les contours se dissolvent, flirtant avec l’abstraction.
Le geste, presque imperceptible, invite à une contemplation sensorielle. La matière corporelle se dissipe dans un flou pictural évoquant une poésie de l'absence. Ces photographies incarnent un souffle, un élan où l’humain dialogue avec l’immatériel.
Loin d’être une simple représentation, cette série interroge la place du corps dans l’espace, dans sa quête d’union avec la lumière. Elle propose une résonance intime, un voyage introspectif mêlant sensualité à une étrange mélancolie.
"Lightflows" • 3 œuvres
Voir toutToiles 2015 - 2016 • 6 œuvres
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