Michel Buret
Agé de 59 ans, jai commencé à peindre sérieusement à 40 sans aucune formation particulière autre que celle prodiguée par mes professeurs et amis étudiants des Beaux-Arts.
Il est vrai que ma vie professionnelle très active d’ingénieur en aéronautique et deux séjours à l’étranger (3 ans aux USA et 3 ans en Irlande) ont quelque peu différé l’expression de cette passion pour ensuite "pourchasser" ma création.
Mon enfance fut heureuse, entouré de deux frères et de parents enseignants veillant au bon déroulement des études : des joies et tristesses d’enfant. En exemple de vrais moments de bonheur à l’école primaire : les cours d’histoire naturelle, pas les cours eux-mêmes (plutôt ennuyeux) mais le moment privilégié du dessin de l’objet étudié et du coloriage au crayon de couleur : fleur, fruit, cristal, etc. Et aussi en fin de semaine, pour matérialiser dans le cahier d’école le passage à la semaine suivante : la fameuse frise en papier gommé. La compétition pour la meilleure note était rude en raison du dénommé Victor, un garçon silencieux d’origine japonaise, et dont la minutie obligeait à se surpasser.
A la question sur Dieu, ma mère répondait : c’est à toi de décider, certaines personnes croient, d’autres non. Dans ces conditions, pourquoi croire, à quoi cela pouvait-il bien servir, et puis le mot même de croire, c’était comme croire à des balivernes. Donc sous une apparence d’ouverture d’esprit, son avis était clair.
Tout aussi tranché fut son avis lorsqu’il fut question de choisir une orientation pour les études supérieures. Pas question d’aller aux Beaux-Arts comme je le souhaitais. Il fallait un métier sérieux, à la limite dans l’architecture. Mais le temps de se décider il n’y avait plus de place, aussi nous nous sommes rabattus sur l’école d’ingénieur voisine.
Ingénieur je fus. Et pourtant au lycée, j’avais montré de réelles dispositions au cours de dessin où mes reproductions de natures mortes de Cézanne avaient fait l’éloge des maîtres.
Çağdaş sanat eserlerini Michel Buret ile keşfedin, en yeni sanat eserlerine göz atın ve çevrimiçi satın alın. Kategoriler: çağdaş fransız sanatçılar. Sanatsal alanlar: Tablo. Hesap türü: Sanatçı , 2007 üyelik (Menşei ülke Fransa). Michel Buret'nin ArtMajeur'daki son çalışmalarını satın al: Michel Buret: çağdaş sanatçı tarafından çarpıcı eserler keşfedin. , Eserleri göz atın özgün eserler ya da lüks gösterim satın.
Sanatçının değerlendirmesi, Biyografi, Sanatçının stüdyo:
Spots • 9 sanat
Hepsini görurban graffiti • 7 sanat
Hepsini görcosmik • 14 sanat
Hepsini görfenêtre • 11 sanat
Hepsini görmozaïque II • 43 sanat
Hepsini görmozaïque • 11 sanat
Hepsini görimpression 2 réalité • 19 sanat
Hepsini görpremière naissance • 16 sanat
Hepsini görTanıma
Biyografi
Agé de 59 ans, jai commencé à peindre sérieusement à 40 sans aucune formation particulière autre que celle prodiguée par mes professeurs et amis étudiants des Beaux-Arts.
Il est vrai que ma vie professionnelle très active d’ingénieur en aéronautique et deux séjours à l’étranger (3 ans aux USA et 3 ans en Irlande) ont quelque peu différé l’expression de cette passion pour ensuite "pourchasser" ma création.
Mon enfance fut heureuse, entouré de deux frères et de parents enseignants veillant au bon déroulement des études : des joies et tristesses d’enfant. En exemple de vrais moments de bonheur à l’école primaire : les cours d’histoire naturelle, pas les cours eux-mêmes (plutôt ennuyeux) mais le moment privilégié du dessin de l’objet étudié et du coloriage au crayon de couleur : fleur, fruit, cristal, etc. Et aussi en fin de semaine, pour matérialiser dans le cahier d’école le passage à la semaine suivante : la fameuse frise en papier gommé. La compétition pour la meilleure note était rude en raison du dénommé Victor, un garçon silencieux d’origine japonaise, et dont la minutie obligeait à se surpasser.
A la question sur Dieu, ma mère répondait : c’est à toi de décider, certaines personnes croient, d’autres non. Dans ces conditions, pourquoi croire, à quoi cela pouvait-il bien servir, et puis le mot même de croire, c’était comme croire à des balivernes. Donc sous une apparence d’ouverture d’esprit, son avis était clair.
Tout aussi tranché fut son avis lorsqu’il fut question de choisir une orientation pour les études supérieures. Pas question d’aller aux Beaux-Arts comme je le souhaitais. Il fallait un métier sérieux, à la limite dans l’architecture. Mais le temps de se décider il n’y avait plus de place, aussi nous nous sommes rabattus sur l’école d’ingénieur voisine.
Ingénieur je fus. Et pourtant au lycée, j’avais montré de réelles dispositions au cours de dessin où mes reproductions de natures mortes de Cézanne avaient fait l’éloge des maîtres.
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Milliyet:
FRANSA
- Doğum tarihi : bilinmeyen tarih
- Sanatsal alanlar:
- Gruplar: Çağdaş Fransız Sanatçılar
Devam eden ve Gelecek sanat etkinlikleri
etkiler
Eğitim
Sertifikalı Sanatçı değeri
Başarılar
ArtMajeur kullanıcısının aktiviteleri
Son Haberler
Çağdaş sanatçı Michel Buret en son haberler
Communiqué de presse
Michel BURET invité d'Honneur du 62ème Salon d'Automne
Place Mendès France Espace Franklin
sous la Présidence de Laurent Fabius
Député de Seine Maritime, Président de la CREA
ouvert tous les jours de 14 à 18h.
BURET en Galerie
10-12 rue Budé (Ile Saint-Louis)
vernissage = Mardi 19 mai 2009 de 18h30 à 21h
horaires d'ouverture =
- lundi / mercredi / vendredi : 14h30 à 18h30
- mardi /jeudi / samedi : 13h30 à 18h30
Communiqué de presse
Michel BURET au Manoir des Roches
55 rue de Melun
vernissage = vendredi 27 février 2009 à 19h
Communiqué de presse
Expo à la galerie AGORA
530 W. 25th St, Chelsea New York, NY 10001
Vernissage à 18h le 5 juin + 4 juillet 2008
Michel BURET au GMAC à Bercy-Village
Place des Vins de France
STAND N°36 / vernissage = mercredi 7 de 18 à 22 h
Communiqué de presse
Communiqué de presse
Communiqué de presse
Communiqué de presse
Autres expositions prévues à la galerie ARTMONTI en 2007/2008. Les dates seront indiquées ultérieurement.
Michel BURET vient d'être élu membre académicien par ses pairs au sein de l'Académie Internationale des Arts, en reconnaissance de la qualité de son travail.
Communiqué de presse
makale

Enfant, les points décisifs de mon devenir...
Agé de 59 ans, jai commencé à peindre sérieusement à 40 sans aucune formation particulière autre que celle prodiguée par mes professeurs et amis étudiants des Beaux-Arts.
Il est vrai que ma vie professionnelle très active d’ingénieur en aéronautique et deux séjours à l’étranger (3 ans aux USA et 3 ans en Irlande) ont quelque peu différé l’expression de cette passion pour ensuite "pourchasser" ma création.
Mon enfance fut heureuse, entouré de deux frères et de parents enseignants veillant au bon déroulement des études : des joies et tristesses d’enfant. En exemple de vrais moments de bonheur à l’école primaire : les cours d’histoire naturelle, pas les cours eux-mêmes (plutôt ennuyeux) mais le moment privilégié du dessin de l’objet étudié et du coloriage au crayon de couleur : fleur, fruit, cristal, etc. Et aussi en fin de semaine, pour matérialiser dans le cahier d’école le passage à la semaine suivante : la fameuse frise en papier gommé. La compétition pour la meilleure note était rude en raison du dénommé Victor, un garçon silencieux d’origine japonaise, et dont la minutie obligeait à se surpasser.
A la question sur Dieu, ma mère répondait : c’est à toi de décider, certaines personnes croient, d’autres non. Dans ces conditions, pourquoi croire, à quoi cela pouvait-il bien servir, et puis le mot même de croire, c’était comme croire à des balivernes. Donc sous une apparence d’ouverture d’esprit, son avis était clair.
Tout aussi tranché fut son avis lorsqu’il fut question de choisir une orientation pour les études supérieures. Pas question d’aller aux Beaux-Arts comme je le souhaitais. Il fallait un métier sérieux, à la limite dans l’architecture. Mais le temps de se décider il n’y avait plus de place, aussi nous nous sommes rabattus sur l’école d’ingénieur voisine.
Ingénieur je fus. Et pourtant au lycée, j’avais montré de réelles dispositions au cours de dessin où mes reproductions de natures mortes de Cézanne avaient fait l’éloge des maîtres.

Ingénieur/Artiste ?
Ingénieur donc je fus, mais jamais n’exerça ce métier. Le bureau d’étude me barbait. De toute ma carrière, qui maintenant s’achève sur un poste de réflexion stratégique, je n’ai fait que voyages et commerce. Un profil atypique comme disent les conseillers de carrière mais créatif (le côté artiste) : un brevet homologué en France et dans le monde.
Pendant toutes ces années, je n’ai jamais perdu mon intérêt pour la création artistique avec des périodes plus ou moins intenses, mais toujours en recherche sur la représentation de la réalité, et même plutôt sur ce qui fonde la réalité.
Je n’en avais pas conscience à ce moment là, mais ce cheminement sur la toile avait son parallèle dans la construction de mes pensées : qu’est-ce que la réalité physique, qu’est-ce que la matière, qu’est-ce que le temps, existe-t-il une autre dimension, une force anime-t-elle notre monde comme le fil incandescent d’une ampoule électrique, le monde peut-il disparaître en une fraction de seconde par arrêt du ‘’courant’’, la vie a-t-elle un sens, y a-t-il une vie après la mort ?
