Madeleine Roche
Membre de l’UFACSI (Union Féminine Artistique et Culturelle – Salons Internationaux). Association créée par la loi du 1.7.1901 en France et regroupant des femmes peintres dans le monde entier.
La peinture a toujours fait partie intégrante de ma vie. Dès mon plus jeune âge, je représentais mon environnement en dessinant.
A 7 ans, sélectionnée par mes professeurs, je participai à un concours de dessin des écoles bruxelloises et gagnai le premier prix. Ce fut un moment clé dans mon histoire. Ce prix m’a valorisé et surtout m’a fait prendre conscience que je pouvais réaliser des dessins de qualité. Ce fut le point de départ et je m’appliquai donc à peindre de mon mieux.
Je n’ai pas eu la possibilité de prendre une orientation professionnelle de peintre, mais passionnée par les arts, je fréquentai l’Académie des Beaux Arts pendant deux années (1975 et 1976), jusqu’à la naissance de ma fille.
En 1979, je repris une nouvelle année de cours, interrompue cette fois, par la naissance de mon fils.
C’est donc tardivement, à 45 ans, que je pus terminer l’Académie.
J’ai toujours été fidèle à mes pinceaux ; la peinture est pour moi un besoin, une nécessité.
Mon parcours fut échelonné de différentes étapes successives, mais généralement orienté vers le symbolisme, vers une peinture inspirée du rêve et de la poésie.
Souffrant de lacunes en dessin, j’ai débuté par une peinture naïve, qui me permettait de contourner aisément ce manque en m’offrant la possibilité de laisser libre cours aux rêves. Il s’agissait dès lors de tableaux chimériques.
Ce n’est cependant qu’après avoir terminé l’Académie, que je pus accéder à une peinture sans obstacle. Pour moi l’acquisition du dessin m’a ouvert le chemin du choix et de l’originalité.
Comme le poète assemble les mots, le peintre assemble les couleurs et les formes en un ensemble harmonieux et original : voilà la tâche à laquelle je m’applique actuellement. Je puis dire ce jour que ma vie est orientée vers une recherche constante de création et que mon regard est celui d’un peintre qui tend à transposer et recréer ce qu’il voit.
Incontestablement, je puise mon inspiration dans la nature. Elle est magique et me fait rêver. Je la laisse m’imprégner jusqu’à ce que la magie du rêve se produise et à cet instant crucial je prends mes pinceaux. C’est alors, que la création devient un petit miracle ; l’idée qui se promenait surgit.
En 2002, nous avons acquis une maisonnette en Bretagne, pays que j’adore pour sa mer, ses lumières infiniment variables et ses couleurs. L’origine des marines a puisé ses sources ici.
Découvrez les oeuvres d'art contemporain de Madeleine Roche, parcourez les oeuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains belges. Domaines artistiques: Peinture. Type de compte: Artiste , membre depuis 2005 (Pays d'origine Belgique). Achetez les dernières œuvres de Madeleine Roche sur Artmajeur: Découvrez de superbes oeuvres par l'artiste contemporain Madeleine Roche. Parcourez ses oeuvres d'art, achetez des oeuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
rêveries de Maddy • 33 oeuvres
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Biographie
Membre de l’UFACSI (Union Féminine Artistique et Culturelle – Salons Internationaux). Association créée par la loi du 1.7.1901 en France et regroupant des femmes peintres dans le monde entier.
La peinture a toujours fait partie intégrante de ma vie. Dès mon plus jeune âge, je représentais mon environnement en dessinant.
A 7 ans, sélectionnée par mes professeurs, je participai à un concours de dessin des écoles bruxelloises et gagnai le premier prix. Ce fut un moment clé dans mon histoire. Ce prix m’a valorisé et surtout m’a fait prendre conscience que je pouvais réaliser des dessins de qualité. Ce fut le point de départ et je m’appliquai donc à peindre de mon mieux.
Je n’ai pas eu la possibilité de prendre une orientation professionnelle de peintre, mais passionnée par les arts, je fréquentai l’Académie des Beaux Arts pendant deux années (1975 et 1976), jusqu’à la naissance de ma fille.
En 1979, je repris une nouvelle année de cours, interrompue cette fois, par la naissance de mon fils.
C’est donc tardivement, à 45 ans, que je pus terminer l’Académie.
J’ai toujours été fidèle à mes pinceaux ; la peinture est pour moi un besoin, une nécessité.
Mon parcours fut échelonné de différentes étapes successives, mais généralement orienté vers le symbolisme, vers une peinture inspirée du rêve et de la poésie.
Souffrant de lacunes en dessin, j’ai débuté par une peinture naïve, qui me permettait de contourner aisément ce manque en m’offrant la possibilité de laisser libre cours aux rêves. Il s’agissait dès lors de tableaux chimériques.
Ce n’est cependant qu’après avoir terminé l’Académie, que je pus accéder à une peinture sans obstacle. Pour moi l’acquisition du dessin m’a ouvert le chemin du choix et de l’originalité.
Comme le poète assemble les mots, le peintre assemble les couleurs et les formes en un ensemble harmonieux et original : voilà la tâche à laquelle je m’applique actuellement. Je puis dire ce jour que ma vie est orientée vers une recherche constante de création et que mon regard est celui d’un peintre qui tend à transposer et recréer ce qu’il voit.
Incontestablement, je puise mon inspiration dans la nature. Elle est magique et me fait rêver. Je la laisse m’imprégner jusqu’à ce que la magie du rêve se produise et à cet instant crucial je prends mes pinceaux. C’est alors, que la création devient un petit miracle ; l’idée qui se promenait surgit.
En 2002, nous avons acquis une maisonnette en Bretagne, pays que j’adore pour sa mer, ses lumières infiniment variables et ses couleurs. L’origine des marines a puisé ses sources ici.
- Nationalité: BELGIQUE
- Date de naissance : 1949
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Belges
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur Artmajeur
Dernières Nouvelles
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Communiqué de presse
Article
Membre de l’UFACSI (Union Féminine Artistique et Culturelle – Salons Internationaux). Association créée par la loi du 1.7.1901 en France et regroupant des femmes peintres dans le monde entier.
La peinture a toujours fait partie intégrante de ma vie. Dès mon plus jeune âge, je représentais mon environnement en dessinant.
A 7 ans, sélectionnée par mes professeurs, je participai à un concours de dessin des écoles bruxelloises et gagnai le premier prix. Ce fut un moment clé dans mon histoire. Ce prix m’a valorisé et surtout m’a fait prendre conscience que je pouvais réaliser des dessins de qualité. Ce fut le point de départ et je m’appliquai donc à peindre de mon mieux.
Je n’ai pas eu la possibilité de prendre une orientation professionnelle de peintre, mais passionnée par les arts, je fréquentai l’Académie des Beaux Arts pendant deux années (1975 et 1976), jusqu’à la naissance de ma fille.
En 1979, je repris une nouvelle année de cours, interrompue cette fois, par la naissance de mon fils.
C’est donc tardivement, à 45 ans, que je pus terminer l’Académie.
J’ai toujours été fidèle à mes pinceaux ; la peinture est pour moi un besoin, une nécessité.
Mon parcours fut échelonné de différentes étapes successives, mais généralement orienté vers le symbolisme, vers une peinture inspirée du rêve et de la poésie.
Souffrant de lacunes en dessin, j’ai débuté par une peinture naïve, qui me permettait de contourner aisément ce manque en m’offrant la possibilité de laisser libre cours aux rêves. Il s’agissait dès lors de tableaux chimériques.
Ce n’est cependant qu’après avoir terminé l’Académie, que je pus accéder à une peinture sans obstacle. Pour moi l’acquisition du dessin m’a ouvert le chemin du choix et de l’originalité.
Comme le poète assemble les mots, le peintre assemble les couleurs et les formes en un ensemble harmonieux et original : voilà la tâche à laquelle je m’applique actuellement. Je puis dire ce jour que ma vie est orientée vers une recherche constante de création et que mon regard est celui d’un peintre qui tend à transposer et recréer ce qu’il voit.
Incontestablement, je puise mon inspiration dans la nature. Elle est magique et me fait rêver. Je la laisse m’imprégner jusqu’à ce que la magie du rêve se produise et à cet instant crucial je prends mes pinceaux. C’est alors, que la création devient un petit miracle ; l’idée qui se promenait surgit.
En 2002, nous avons acquis une maisonnette en Bretagne, pays que j’adore pour sa mer, ses lumières infiniment variables et ses couleurs. L’origine des marines a puisé ses sources ici.
Article
L’eau c’est la vie. Sans eau, c’est la mort.
La mer, c’est la naissance de la terre.
Certitude d’être toujours présente, mais jamais deux fois la même.
Le matin, on ignore ce qu’elle sera le soir.
Calme et quiétude, violence et tempête, paix ou naufrage, elle est insaisissable.
Je la connais pour l’avoir vécue. Je me suis retrouvée aux prises avec elle en faisant de la voile.
Jouer passionnément avec la mer, mais combien de temps ? Elle est surprenante et toujours infidèle. C’est quand elle envoûte et que survient la distraction, que soudainement, elle rugit et ne pardonne plus à la rêverie.
La nature, qu’il s’agisse de la montagne ou de la mer, reste invaincue.
Bleue le matin, verte à midi, rouge ou mauve en soirée et noire la nuit.
Plus j’observe la mer, moins je la saisis. C’est là que se produit le défi à constamment relever. Saisir l’insaisissable. Le jeu des couleurs, se laisser surprendre. Même en peinture la mer surprend. Soudain, la jonction ou la superposition de deux tons la reflète. C’est fait, il ne faut plus y toucher, ou alors elle reste rebelle jusqu’au jour suivant.
Partir d’une bise, passer par la brise et terminer par des accentuations de vent fort, voilà le travail. Je peux généralement voir où je commence, mais jamais dire comment je terminerai un tableau. La magie d’un instant où les choses prennent leur place, soudainement comme l’est la mer. Ca bouge, ça vit.