Marc Kapriel De Barsa
Découvrez les oeuvres d'art contemporain de Marc Kapriel De Barsa, parcourez les oeuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains français. Domaines artistiques: Peinture. Type de compte: Artiste , membre depuis 2007 (Pays d'origine France). Achetez les dernières œuvres de Marc Kapriel De Barsa sur Artmajeur: Découvrez de superbes oeuvres par l'artiste contemporain Marc Kapriel De Barsa. Parcourez ses oeuvres d'art, achetez des oeuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
recent • 49 oeuvres
Voir toutReconnaissance
Biographie
- Nationalité: FRANCE
- Date de naissance : 1951
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Influences
Formation
Cote de l'artiste certifiée
Accomplissements
Activité sur Artmajeur
Dernières Nouvelles
Toutes les dernières nouvelles de l'artiste contemporain Marc Kapriel De Barsa
L'art est une maladie puérile.
L'art est une maladie puérile.
Est-ce une maladie fossile,une malaria,un paludisme du fond des temps qui s'ébroue en
nous?Elle nous inflige des fiévres tierces,quartes,nous laissant épuisés,pantelants aprés
d'intenses périodes d'activité.
On ne choisit ni le lieu ni l'heure.L'attaque est soudaine,implacable.L'ame exude.Il se léve
en nous un soldat du temporel et de l'éternel qui s'approprie la direction des manoevres.
L'art est une maladie puerile.La peinture,en particullier.Une maladie qui ne fait pas tache
d'huile...
D'ou vient ce simoun qui nous presse et nous libére?Du plus profond de nous ou du plus haut du ciel?
Du nadir ou du zénit?
La seule solution,l'unique facon de dissoudre ce calcul de l'ame,c'est de l'affronter aux acides du doute.
De la recherche du trait.De l'impossible perfection du trait.trait posé sur une toile,trait tiré par la main
faite homme.Trait,fléche tirée pour percer le silence des dieux,trait lancé pour toucher le coeur de l'homme.
Afin de lier létincelle d'éternité qui brille en nous à l'harmonie des sphéres.
UTOPIE
A N'IMPORTE QUEL MOMENT UNE PORTE PEUT BRUSQUEMENT S'OVRIR ET
BOULVERSER VOTRE DESTINEE, VOUS IGNOREZ,CE QUI SE CACHE DERRIERE,VOUS NE
POUVEZ QUE SOUHAITER Y TROUVER UN ENDROIT, ou vous revez ALLER...
mon site web
index.htm
de brik et de brock
voici mon atelier
Article
par Mark Winstanley
Les dernières aquarelles de Marc Kaprielian sont tous des 'portraits', de sujets inconnus, demi-souvenirs, parfois chimériques, terriblement évocateurs car si élusifs, comme un visage à peine aperçu dans un miroir, des personnages oniriques sauvés d'un rêve qui s'est enfui au réveil.
Depuis bien des années les 'portraits' de Marc sont drapés de mystère, tantôt le visage oblitéré sans ménagement par un masque de coups de pinceau rageurs, tantôt, et plus récemment, quand les visages hyper-réalistes osent s'affirmer, encadrés dans un violent rectangle de couleurs primaires avec dégoulinures irrespectueuses vers les quatre points cardinaux.
Le mystère de ces aquarelles est renforcé par le fait que ce sont toutes des bustes. On ne peut pas ne pas penser à certains portraits de Giacometti - 'Annette' ou 'Jean Genet' - mais elles peuvent aussi nous rappeler, par un certain solide aplomb et une dignité un peu volontaire, un 'Condottiere' d'Antonella de Messine, ou un 'Doge Loredan' de Bellini.
Etrange paradoxe, la solidité et permanence de leur pose, et la rapidité et spontanéité d'exécution qui leur donne vie - on croit presque les voir respirer, ajuster leur position - mais qui tait tant de choses pour les laisser à l'imagination, délicieusement stimulé par ce mystère, du spectateur.
Un mystère qui semble avoir voyagé à travers temps et espace, comme, dans un sens, l'a fait leur auteur, Marc le migrant, l'apatride. Ces peintures sont hors du temps, et non tant sans racines que capables de s'enraciner partout dans un univers plus vaste.
L'extrême luminosité de l'aquarelle brille, comme un vitrail gothique à travers ses plombs, dans un réseau de lignes noires tendues, qui semblent posséder leur propre vie, rompant, rebelles, d'avec le personnage sujet dans une calligraphie exubérante, écrits dans des langues inconnues, tantôt horizontaux, tantôt verticaux. Encore une fois on est conscient de l'immensité du contexte spatial - l'Orient qui défie l'Occident, le cycle sans fin de la migration des peuples du monde vers le couchant pour se relever à nouveau dans l'est.
Faire ce voyage dans l'espace-temps avec Marc Kaprielian est une expérience à enrichir toute une vie.
par MARK WINSTANLEY
par Mark Winstanley
Les dernières aquarelles de Marc Kaprielian sont tous des 'portraits', de sujets inconnus, demi-souvenirs, parfois chimériques, terriblement évocateurs car si élusifs, comme un visage à peine aperçu dans un miroir, des personnages oniriques sauvés d'un rêve qui s'est enfui au réveil.
Depuis bien des années les 'portraits' de Marc sont drapés de mystère, tantôt le visage oblitéré sans ménagement par un masque de coups de pinceau rageurs, tantôt, et plus récemment, quand les visages hyper-réalistes osent s'affirmer, encadrés dans un violent rectangle de couleurs primaires avec dégoulinures irrespectueuses vers les quatre points cardinaux.
Le mystère de ces aquarelles est renforcé par le fait que ce sont toutes des bustes. On ne peut pas ne pas penser à certains portraits de Giacometti - 'Annette' ou 'Jean Genet' - mais elles peuvent aussi nous rappeler, par un certain solide aplomb et une dignité un peu volontaire, un 'Condottiere' d'Antonella de Messine, ou un 'Doge Loredan' de Bellini.
Etrange paradoxe, la solidité et permanence de leur pose, et la rapidité et spontanéité d'exécution qui leur donne vie - on croit presque les voir respirer, ajuster leur position - mais qui tait tant de choses pour les laisser à l'imagination, délicieusement stimulé par ce mystère, du spectateur.
Un mystère qui semble avoir voyagé à travers temps et espace, comme, dans un sens, l'a fait leur auteur, Marc le migrant, l'apatride. Ces peintures sont hors du temps, et non tant sans racines que capables de s'enraciner partout dans un univers plus vaste.
L'extrême luminosité de l'aquarelle brille, comme un vitrail gothique à travers ses plombs, dans un réseau de lignes noires tendues, qui semblent posséder leur propre vie, rompant, rebelles, d'avec le personnage sujet dans une calligraphie exubérante, écrits dans des langues inconnues, tantôt horizontaux, tantôt verticaux. Encore une fois on est conscient de l'immensité du contexte spatial - l'Orient qui défie l'Occident, le cycle sans fin de la migration des peuples du monde vers le couchant pour se relever à nouveau dans l'est.
Faire ce voyage dans l'espace-temps avec Marc Kaprielian est une expérience à enrichir toute une vie.
par? FERRANDO
par Marc Ferrando
" Je me libère enfin de mes influences et me dirige vers une expression beaucoup plus personnelle "
Une page artistique semble se tourner pour Marc Kapriélian. L'homme n'a désormais plus qu'un seul objectif " Arriver à une peinture plus libre ".
Officiant derrière les fourneaux de son restaurant " La jument verte ", on savait Marc Kapriélian doué pour la peinture. D'ailleurs, dans cet établissement de la rue Mondonville, les murs sont là pour en témoigner, recouverts par les œuvres du maître des lieux.
Voilà déjà trente ans que Marc aime à se retrouver face à la toile blanche. De son imaginaire sont nés des tableaux inspirés par le travail de grands maitres : Basquiat, Warhol, Kandinsky...
Aujourd'hui, l'artiste désire couper ce " cordon ombilical " et c'est à un véritable travail de questionnement intérieur qu'il s'est livré. " Mes mots, ce sont mes tableaux ", lance t-il.
Assis à une table de " La soutasse (photo) ", le peintre-cuisinier (à moins que ce ne soit l'inverse) présente ses dernière toiles. D'emblée, il prévient " Ce n'est pas une exposition, mais plutôt une présentation de l'ébauche du travail que je prépare ". Difficile d'en savoir plus. Habituellement fort disert - sans doute à cause de ses origines marseillaises - Kapriélian ne s'étend guère sur ses peintures en gestation. La parole finit par lui revenir et il soulève un pan du voile qui dissimule son projet. " Au travers de mes prochaines toiles, j'exprimerai mes peurs, mes doutes, confie t-il. Chacune aura sa propre signification "...
Pour l'heure, l'artiste a déjà achevé deux œuvres " de grand format ". Et poursuit en secret la tâche à laquelle il s'est attelé.
Pourtant, une interrogation taraude son esprit : " Mon but n'est pas de faire uniquement de la peinture mais de montrer mes œuvres. Est-ce qu'on m'en donnera la possibilité ? ".
En attendant, Sabine et Isabelle lui on ouvert les portes de " La Soutasse ". Les deux associées de ce salon de thé, ouvert rue Droite en juillet 2002, proposent donc à leurs clients de découvrir, en avant première, les " ébauches " de Kapriélian.
Retour sur une rencontre : " Avec Isabelle, nous sommes clientes de " La Jument verte ", souligne Sabine. Un soir, Marc nous a montré son travail et, de fil en aiguille, nous avons décidé d'exposer ses dernières toiles ". Les deux jeunes femmes aiment à accueillir des artistes et prêter les murs de leur établissement. Elles fonctionnent au coup de cœur : " Nous avons des gouts différents, reconnait Isabelle. Alors nous composons avec. Mais l'essentiel est que le courant passe avec l'artiste qui désire exposer ".
Avec Marc Kapriélian, la " magie " a opéré. Allez donc jeter un oeil à ses toiles (jusqu'à la fin du mois d'octobre) : des portraits imaginaires " habillés " par de grands aplats de couleur. Et méditez ces quelques mots que l'on doit à un autre artiste narbonnais, " Cauchy " : " Les portraits de Marc Kapriélian s'interrogeant, nous interrogent. Et leur peur de mourir (donc, de vivre) nous rassurent et nous effraient. Ne serions nous donc pas seuls ? "
Marc Ferrando.
par?.CAUCHY
par R.Cauchy
Ce n'est pas un trait d'ironie, ni un trait de bravoure que l'affirmer.
Kapriel a le trait. Ce trait noir qu'il place à grands traits serait plutôt un trait de lumière. Et barrant à grands traits, il rend le trait régulier. Séculier, aussi.
En fait, son trait, serait surtout d'union. L'aquarelle timide n'a pas fini de prendre des couleurs, que déjà, Kapriel lui décoche un trait fatal. Est-ce maltraiter que pratiquer la traite des couleurs ?
Non, Kapriel n'est pas traiteur. Mais cela ne l'empêche pas de conclure des traités. D'un trait, il tire. Du fin fond de l'absolu, de l'imaginaire, du rêve, il pratique le tirage.
Kapriel a le trait ! !
La forme vague, celle qu'il tire sur le bleu, le rouge, la couleur de lune ou celle du temps, d'un trait se tire. Pour se poser là, dans la spirale du temps, sur un carnet à spirale.
Nous goûtons les aquarelles de Kapriel comme un coup de rosé. D'un trait.
Kapriel a le trait.
Nous pourrions dire même que c'est une bête de trait.
Mais ce ne serait pas un bon portrait.
Mais l'ai-je bien traité, le sujet ?
Je ne sais.
Mais je signe. D'un trait.
R.Cauchy.
Article
Art is a puerile disease. This is a fossil disease, a malaria, a paludism of the bottom of times which is branned in us? It inflicts third fiévres, quads to us, leaving us exhausted, pantelants aprés intense working lives. One chooses neither the place nor the hour. The attack is sudden, relentless. The heart exude. It léve in us a soldier of temporal and the eternal who adapts the direction of the manoevres. Art is a puerile disease. Painting, as a particullier. A disease which does not make spot of oil… From or comes this simoun which presses us and us libére? Deeper of us or higher of the sky? To nadir or zénit? The only solution, the single way of dissolving this calculation of the heart, it is to face it with the acids of the doubt. Research of the feature. Impossible perfection of trait.trait posed on a fabric, feature drawn by the made hand man. Feature, arrow drawn to bore the silence of the gods, feature launched to touch the heart of the man. In order to bind létincelle eternity which shines in us with the harmony of the sphéres.
figuration narrative
La figuration narrative est un style pictural et un mouvement artistique apparu au début des années 1960 en France, en opposition à l'abstraction et au nouveau réalisme.
La figuration narrative est rattachée généralement à la nouvelle figuration ou au pop art, mais avec moins d'idéologie et plus de traitement de l'anecdote. Parmi ses inspirations (cadrages, montages) on compte la bande dessinée, la photographie, la publicité, le cinéma, en fait, l'ensemble des images du quotidien. Les thèmes des œuvres sont rattachés généralement aux scènes du quotidien et à des revendications sociales ou politiques.