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Un oiseau sur la tête, la liberté en fête.
A la croisée des civilisations antiques, sacrées et contemporaines,[...]
Un oiseau sur la tête, la liberté en fête.
A la croisée des civilisations antiques, sacrées et contemporaines, Gad explore l’identité et la liberté féminine dans une oeuvre totalement syncrétique. Ce grand écart ouvre un espace de liberté et de transformation infinie pour ces femmes qui racontent alors, chacune, leur propre histoire.
Histoire de pouvoir, de personnalité ou d’existence, chacune s’affirme dans sa spécificité, son individualité et sa vision du monde. Et, cette architecture d’éléments hétéroclites vient miraculeusement prendre forme, cohérence, globalité et unicité par un jeu extrêmement précis de lumière, de couleurs et de lignes.
L’espace et le temps se rejoignent, se referment, pour se retrouver ici et maintenant et interroger, interpeller notre rapport au monde, aux autres, aux femmes.
Qui sommes-nous ? Qui sont-elles ? Où allons-nous ?
Quel avenir dessinons-nous pour ces femmes porteuses de l’humanité à venir ?
Cet univers, si lisse, si clair, porte le germe des métamorphoses profondes : ces icônes ancestrales et théâtrales occupent déjà l’espace à venir, celui de ces intelligences artificielles, porteuses de liberté ou d’aliénation ?
Spectateur, spectatrice, qui es-tu ?
Qui seras-tu ?
Qu’offriras-tu au monde ?
Ce monde te regarde.
Gad Art Digital - LE GESTE HYBRIDE
Pinceaux et toiles cèdent ici la place aux stylets et tablettes graphiques.
Le geste artistique s’empare de la puissance des technologies numériques en 5 moments-clés.
1) Capter un regard dans le monde réel, le saisir, l’enlever et l’installer au coeur du tableau.
2) Construire autour un nouveau visage, virtuel, au rythme d’une gestuelle mi-physique/ mi-numérique.
3) Couronner ce visage d’un oiseau transformé par son passage à travers la toile virtuelle. Gad déstructure, restructure, jusqu’à ce que se pose un messager hybride, réel/irréel.
4) Et puis peindre, et repeindre au stylet aux milles embouts, jusqu’à ce que chaque détail vienne prendre place au sein d’une unité retrouvée !
5) L’oeuvre là demande alors à advenir dans la vérité absolue de ses lignes,
couleurs, lumières… Dans une maîtrise totale de la chaîne d’impression, GAD accompagne la naissance de ses déesses.
Le geste hybride est celui qui passe entre réalité et irréalité,
pour emporter le spectateur là où ces deux mondes se rencontrent : à l’origine.
A la croisée des civilisations antiques, sacrées et contemporaines, Gad explore l’identité et la liberté féminine dans une oeuvre totalement syncrétique. Ce grand écart ouvre un espace de liberté et de transformation infinie pour ces femmes qui racontent alors, chacune, leur propre histoire.
Histoire de pouvoir, de personnalité ou d’existence, chacune s’affirme dans sa spécificité, son individualité et sa vision du monde. Et, cette architecture d’éléments hétéroclites vient miraculeusement prendre forme, cohérence, globalité et unicité par un jeu extrêmement précis de lumière, de couleurs et de lignes.
L’espace et le temps se rejoignent, se referment, pour se retrouver ici et maintenant et interroger, interpeller notre rapport au monde, aux autres, aux femmes.
Qui sommes-nous ? Qui sont-elles ? Où allons-nous ?
Quel avenir dessinons-nous pour ces femmes porteuses de l’humanité à venir ?
Cet univers, si lisse, si clair, porte le germe des métamorphoses profondes : ces icônes ancestrales et théâtrales occupent déjà l’espace à venir, celui de ces intelligences artificielles, porteuses de liberté ou d’aliénation ?
Spectateur, spectatrice, qui es-tu ?
Qui seras-tu ?
Qu’offriras-tu au monde ?
Ce monde te regarde.
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Pinceaux et toiles cèdent ici la place aux stylets et tablettes graphiques.
Le geste artistique s’empare de la puissance des technologies numériques en 5 moments-clés.
1) Capter un regard dans le monde réel, le saisir, l’enlever et l’installer au coeur du tableau.
2) Construire autour un nouveau visage, virtuel, au rythme d’une gestuelle mi-physique/ mi-numérique.
3) Couronner ce visage d’un oiseau transformé par son passage à travers la toile virtuelle. Gad déstructure, restructure, jusqu’à ce que se pose un messager hybride, réel/irréel.
4) Et puis peindre, et repeindre au stylet aux milles embouts, jusqu’à ce que chaque détail vienne prendre place au sein d’une unité retrouvée !
5) L’oeuvre là demande alors à advenir dans la vérité absolue de ses lignes,
couleurs, lumières… Dans une maîtrise totale de la chaîne d’impression, GAD accompagne la naissance de ses déesses.
Le geste hybride est celui qui passe entre réalité et irréalité,
pour emporter le spectateur là où ces deux mondes se rencontrent : à l’origine.
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