B143 – SCEAU DE BEL-MUSHALLIM, QUI ENLEVE CE SCEAU, RISQUE DE PERDRE LA PROTECTION DE SHAMASH ! (2010) Peinture par Philhelm

Pas à Vendre

Vendeur Philhelm

Nous sommes désolés, le fichier image que nous avons pour cette œuvre est trop petit.
Contactez-nous avec tous les détails de votre projet et nous trouverons une solution avec vous.
Contactez-nous

Achetez une licence pour utiliser cette image pour votre site Web, votre communication ou pour vendre des produits dérivés.

Téléchargez immédiatement après l'achat
Les artistes touchent leurs droits d'auteur à chaque vente
33,38 $US
Usage: Licence Web
Utilisation de l'image sur un site Web ou sur Internet.
  441 px  

650 px
Dimensions du fichier (px) 441x650
Utilisation mondiale Oui
Utilisation sur multi-support Oui
Utilisation sur tout type de média Oui
Droit de revente Non
Nombre maximum d'impressions 0 (Zero)
Produits destinés à la vente Non
Téléchargez immédiatement après l'achat

Cette image est disponible pour téléchargement avec une licence: vous pouvez les télécharger à tout moment.

Restrictions

Toutes les images proposées sur Artmajeur sont des oeuvres d'art originales créées par des artistes, tous les droits sont strictement réservés. L'acquisition d'une licence donne le droit d'utiliser ou d'exploiter l'image selon les termes de la licence. Il est possible de faire des modifications mineures comme recadrer, ou recentrer l'image pour qu'elle s'adapte parfaitement à un projet, toutefois, il est interdit d'apporter toute modification qui serait de nature à porter atteinte à l'oeuvre originale dans son intégrité (modification des formes, distortions, découpage, changement des couleurs, ajout d'éléments etc...), à moins qu'une autorisation écrite soit obtenue au préalable auprès de l'artiste.

Licences personnalisées

Si votre utilisation n'est pas couverte par nos licences standard, contactez-nous pour une licence personnalisée.

Banque d'images artistiques
Certificat d'authenticité inclus
  • Œuvre d'art originale Peinture, Huile
  • Dimensions Hauteur 50in, Largeur 33,5in
  • Catégories Peintures à moins de 20 000 $US
B143 – SCEAU DE BEL-MUSHALLIM, QUI ENLEVE CE SCEAU, RISQUE DE PERDRE LA PROTECTION DE SHAMASH ! – 2010. BABYLONIEN / Acrylique sur toile – Châssis cintré – 127 x 85cm / Dans le mythe sumérien du déluge bien avant celui de la Bible, le dieu Shamash apparaît dans une barque et ramène la lumière après l’orage ! Ainsi Shamash est le soleil levant,[...]
B143 – SCEAU DE BEL-MUSHALLIM, QUI ENLEVE CE SCEAU, RISQUE DE PERDRE LA PROTECTION DE SHAMASH ! – 2010.
BABYLONIEN / Acrylique sur toile – Châssis cintré – 127 x 85cm / Dans le mythe sumérien du déluge bien avant celui de la Bible, le dieu Shamash apparaît dans une barque et ramène la lumière après l’orage ! Ainsi Shamash est le soleil levant, dont le plafond représente le ciel et qui contient la barque du soleil ! Nous savons grâce à « L’épopée de Gilgamesh » que le batelier de Shamash s’appelle Urshanabi (mi-homme, mi-barque). Le serpent-bateau est un allié contre les épreuves que doit affronter le Dieu pour vaincre les forces opposées à la lumière ! Dans le poème « Une épopée babylonienne », il est dit expressément que nul, en dehors de Shamash, ne saurait franchir la mer ! Sur le pont du bateau, l’anthropomorphe à quatre pattes était initialement un triste vieillard barbu et non une femme. Quand aux nombreux attributs sacrés au-dessus des personnages, leur signification reste mystérieuse, à part le Monogramme de Philhelm ( qui a été rajouté par votre artiste iconoclaste) sous l’inscription cunéiforme , dont la traduction mot à mot est « Sceau de Bel-Mushallim*, qui enlève ce sceau, risque de perdre la protection de Shamash ! »
*« Bel » en akkadien = Maître / Seigneur
SHAMASH : autrement translittéré Šamaš, est le nom akkadien du dieu Soleil et de la Justice dans le panthéon mésopotamien. Les sumériens l’appelaient UTU. Il occupe une petite position secondaire dans la hiérarchie divine par rapport au dieu Lune Sîn. Cette infériorité s'explique très vraisemblablement par la prééminence du calendrier lunaire sur le calendrier solaire. Néanmoins, ces deux divinités astrales furent mises très tôt en relation dans l'architecture. Ainsi le temple de Shamash jouxte fréquemment celui de Sîn dans les ensembles cultuels assyriens, évoquant ainsi les tentatives de mise en correspondance des deux systèmes calendaires. Le plus souvent, on attribuait la justice à Shamash. Tout comme le soleil disperse les ténèbres, Shamash expose en pleine lumière le mal et l'injustice. Hammourabi place son code sous les auspices de Shamash, l'inspirateur des lois, et sur ce même recueil, le roi se fait représenter en adorateur du dieu solaire. Plusieurs siècles avant lui, le roi Ur-Engu de la dynastie d'Ur (vers 2600 ans avant J.-C) disait rendre ses décisions « en accord avec les lois justes d'UTU ». Dans la mentalité mésopotamienne, cette fonction de justice peut être logiquement mise en relation avec celle de guérison. Shamash est en effet celui qui libère les humains de l'emprise des démons. Le dévot malade peut faire appel à Shamash pour le délivrer d'une souffrance qu'il considère comme injuste, comme en témoignent les hymnes au dieu soleil. Shamash a peu à peu éclipsé en les absorbant toutes les autres divinités du soleil. Dans le panthéon systématisé, les autres dieux solaires deviennent les serviteurs, ou des aspects particuliers de la déité principale. Le dieu Soleil Shamash était également capable de tout voir, c’est pourquoi Il fut ainsi associé aux questions de justice et de divination comme UTU son prédécesseur. Ce rôle l'impliquait directement dans les décisions politiques et sociales prises par les rois. Son symbole est un disque orné d'une étoile à quatre branches séparées par des faisceaux de rayons ondulés. Il est caractérisé sur des monuments par des flammes qui s'élèvent au-dessus de ses épaules.

Thèmes connexes

Mesopotamie Le Dieu Du Soleil Et De La Justice Shamash Sur Sa Barque Solaire

Suivre
En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant[...]

En vérité, je vous l'écris sans menterie, toute l'histoire de Philhelm, commence en Alsace au château de Lichtenberg, le 23 Avril 1616, lorsque Balthasar Helmlinger âgé de 7 ans, perd le Monogramme de son descendant éponyme. Ce banal et néanmoins gravissime incident dans le lointain passé, déclenchera la vocation artistique d’un de ses descendants, 10 générations plus tard !

Ce peintre d’aujourd'hui, né à Strasbourg en 1943, a vu son œuvre exposée et primée deux fois dans sa vie (1999 et 2001), et ce, uniquement à la « Biennale Internationale d’Art Contemporain de Florence » qui lui a attribué en 1999 le Prix de la Ville de Florence.

Pour que le vulgum pecus soit totalement dépaysé de son vécu, qu'il laisse sans hâte entrer en lui l'histoire, chaque jour enrichie de notre passé ancestral commun : qu’il soit étrusque, minoen ou babylonien, sinon il ne pénétrera jamais à l'intérieur des tableaux,pour tenter d'y découvrir les causes secrètes des choses.

Voir plus de Philhelm

Voir toutes les œuvres
Peinture | 47,2x47,2 in
Pas à Vendre
Huile | 49,2x74,8 in
Pas à Vendre
Huile | 49,2x74,8 in
Pas à Vendre
Huile | 31,5x19,7 in
Pas à Vendre

Artmajeur

Recevez notre lettre d'information pour les amateurs d'art et les collectionneurs