Toutes les oeuvres de Christelle Lollier-Guillon
intérieurs • 1 oeuvre
Voir toutLes lieux vécus 2012 • 8 oeuvres
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Dans ce nouveau projet, elle s'intéresse, à l'urbain où elle joue avec les représentations en plan et[...]
Dans ce nouveau projet, elle s'intéresse, à l'urbain où elle joue avec les représentations en plan et en façade.Cette fois, elle travaille l'acrylique à même le plexiglas, en mélangeant des collages d'impressions numériques et de pages de magazines.
Elle s'amuse à transformer en un champ de couleur aléatoire, une organisation géométrique et anxiogène.
Mais aussi, à la manière des surréalistes, elle se laisse aller à un dessin automatique où son cerveau se lâche à délivrer des messages inconscients, à la fois avec humour et aussi avec poésie.
Le point commun: l 'éclat de la couleur qui rend la vie tellement plus belle et plus joyeuse.
Christelle note que son attirance pour la couleur date depuis toujours.Pour elle, la couleur est la vie et la joie.
Son goût pour la peinture lui vient de son enfance, par opposition à la banlieue « triste » où elle vivait.
Elle suit une formation d'architecte et c 'est à cette époque qu 'elle s'intéresse de plus près à
l 'histoire de l 'Art et de l 'Architecture : expressionnisme, impressionnisme, pop art, école du Bauhaus...Aujourd'hui, elle transforme, manipule, arrange le monde qu 'elle voit...pour son plus grand bonheur.
Elle s'amuse à transformer en un champ de couleur aléatoire, une organisation géométrique et anxiogène.
Mais aussi, à la manière des surréalistes, elle se laisse aller à un dessin automatique où son cerveau se lâche à délivrer des messages inconscients, à la fois avec humour et aussi avec poésie.
Le point commun: l 'éclat de la couleur qui rend la vie tellement plus belle et plus joyeuse.
Christelle note que son attirance pour la couleur date depuis toujours.Pour elle, la couleur est la vie et la joie.
Son goût pour la peinture lui vient de son enfance, par opposition à la banlieue « triste » où elle vivait.
Elle suit une formation d'architecte et c 'est à cette époque qu 'elle s'intéresse de plus près à
l 'histoire de l 'Art et de l 'Architecture : expressionnisme, impressionnisme, pop art, école du Bauhaus...Aujourd'hui, elle transforme, manipule, arrange le monde qu 'elle voit...pour son plus grand bonheur.
Reg Art Confrontations 2 novembre au 3 décembre 2011 • 11 oeuvres
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Galerie Reg Art Confrontations à Rouen
45 rue des Bons Enfants
Tel-Fax: 0962504376
ouvert du mercredi[...]
Galerie Reg Art Confrontations à Rouen
45 rue des Bons Enfants
Tel-Fax: 0962504376
ouvert du mercredi au samedi de 14h30 à 19h
45 rue des Bons Enfants
Tel-Fax: 0962504376
ouvert du mercredi au samedi de 14h30 à 19h
l 'été idéal • 10 oeuvres
Voir toutImpressions Florales carré du THV Le Havre • 4 oeuvres
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Carré du théâtre de l 'Hôtel de Ville Au Havre
Peintures florales MARGUERITE • 5 oeuvres
Voir toutSeries Grises • 9 oeuvres
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"Séries Grises" raconte la genèse du monde à travers : "Cosmos", "Bang" et le silence " Ruhe"...de la[...]
"Séries Grises" raconte la genèse du monde à travers : "Cosmos", "Bang" et le silence " Ruhe"...de la naissance de la matière (fossiles, bacilles, univers marin et végétal..) dans une fête d'énergie rythmée par la révolution de la terre à travers les saisons, jusqu'à l 'apparition de la vie.
De la pure poésie cosmique...
De la pure poésie cosmique...
IKEART • 7 oeuvres
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La réflexion sur l’échelle et la série se poursuit avec les paysages intérieurs, que j’ai appelés « Ikeart ».
Dans[...]
La réflexion sur l’échelle et la série se poursuit avec les paysages intérieurs, que j’ai appelés « Ikeart ».
Dans la « projection orthogonale », comprendre un objet implique de se le représenter sous 4 vues. L ‘objet 3D est décomposé en image 2D. Cette représentation permet de comprendre l’objet dans toutes ses dimensions, comme dans la représentation architecturale et instaure la notion du plan, outil de communication et de fabrication.
Le plan n‘est pas la réalité, mais une communication de la réalité.
Ici, l‘objet minimal ( chaise, table, fauteuil et canapé) est défini dans une composition graphique en 2d, complètement plate, et pourtant créatrice d’espace.
Le dessin des vues devient un objet par lui-même, qui donne du sens et du lien à l ‘ensemble.
L ‘aspect figé d’un point de vue unique d’une représentation enferme l’œuvre.
Dans la « projection orthogonale »,
l ‘objet est représenté sous toutes ses faces.
Ainsi, l ‘œil n’est pas prisonnier d’un seul imaginaire.
Utiliser ces objets 2D et les intégrer dans un espace de représentation « le plan plan », succession de couches d’objets superposées, formant un ensemble, traduisent un lieu à habiter.
Le mobilier crée l’espace et l’enrichit de par ses formes et ses couleurs.
Le plan vu d’en haut permet de raconter l ‘espace, , de le faire évoluer à travers le déplacement des objets et aussi de créer, à travers les diverses compositions, des motifs uniques, les trames orthogonales comme les séquences d’un scénario
Dans la « projection orthogonale », comprendre un objet implique de se le représenter sous 4 vues. L ‘objet 3D est décomposé en image 2D. Cette représentation permet de comprendre l’objet dans toutes ses dimensions, comme dans la représentation architecturale et instaure la notion du plan, outil de communication et de fabrication.
Le plan n‘est pas la réalité, mais une communication de la réalité.
Ici, l‘objet minimal ( chaise, table, fauteuil et canapé) est défini dans une composition graphique en 2d, complètement plate, et pourtant créatrice d’espace.
Le dessin des vues devient un objet par lui-même, qui donne du sens et du lien à l ‘ensemble.
L ‘aspect figé d’un point de vue unique d’une représentation enferme l’œuvre.
Dans la « projection orthogonale »,
l ‘objet est représenté sous toutes ses faces.
Ainsi, l ‘œil n’est pas prisonnier d’un seul imaginaire.
Utiliser ces objets 2D et les intégrer dans un espace de représentation « le plan plan », succession de couches d’objets superposées, formant un ensemble, traduisent un lieu à habiter.
Le mobilier crée l’espace et l’enrichit de par ses formes et ses couleurs.
Le plan vu d’en haut permet de raconter l ‘espace, , de le faire évoluer à travers le déplacement des objets et aussi de créer, à travers les diverses compositions, des motifs uniques, les trames orthogonales comme les séquences d’un scénario
peintures florales ROSE • 4 oeuvres
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Le bouquet de roses, comme sujet de réflexion m ‘apparaissait très pertinent dans une représentation[...]
Le bouquet de roses, comme sujet de réflexion m ‘apparaissait très pertinent dans une représentation hyper technologique.
C ‘est un travail également sur la famille matriarcale, induite par la technique de réalisation, comme une chaîne de production, à la Fordisme. Le bouquet n ‘était pas seulement une seule représentation sur un même support, mais une multitude de fleurs identiques et différentes, par leurs couleurs et par leurs textures. Les notions d’échelle et de séries apparaissaient inévitables, en ce sens où elles exprimaient plusieurs lectures possibles. Je travaillais à la fois sur
l ‘effacement du bouquet dans le temps par sa dématérialisation et par son pourrissement traduit par la saturation des couleurs.
Une œuvre dans le temps dans un éternel recommencement : une œuvre qui « tourne », qui a son propre leitmotiv.
Ensuite, est apparue la nécessité de travailler sur l ‘échelle de l ‘œuvre.
D’une photo de rose pixellisée à une photo de rose vectorisée, le transfert permettait d’agrandir à l ‘infini, consciente de me dégager du support traditionnel de la toile.
De par le traitement graphique, la rose devenait secondaire, une image non pure, et laisser place à une abstraction de la fleur, la pure substance de rose. Le rapport à l ‘échelle est inhérent à cette recherche, par le jeu perpétuel avec l ‘écran.
L’effet métallique et l’impression de sérigraphie sont voulus. L ‘effet est plat, sans perspective mais l’œuvre est née de couches successives abstraites, mais qui donnent une épaisseur complètement virtuelle.
C ‘est un travail également sur la famille matriarcale, induite par la technique de réalisation, comme une chaîne de production, à la Fordisme. Le bouquet n ‘était pas seulement une seule représentation sur un même support, mais une multitude de fleurs identiques et différentes, par leurs couleurs et par leurs textures. Les notions d’échelle et de séries apparaissaient inévitables, en ce sens où elles exprimaient plusieurs lectures possibles. Je travaillais à la fois sur
l ‘effacement du bouquet dans le temps par sa dématérialisation et par son pourrissement traduit par la saturation des couleurs.
Une œuvre dans le temps dans un éternel recommencement : une œuvre qui « tourne », qui a son propre leitmotiv.
Ensuite, est apparue la nécessité de travailler sur l ‘échelle de l ‘œuvre.
D’une photo de rose pixellisée à une photo de rose vectorisée, le transfert permettait d’agrandir à l ‘infini, consciente de me dégager du support traditionnel de la toile.
De par le traitement graphique, la rose devenait secondaire, une image non pure, et laisser place à une abstraction de la fleur, la pure substance de rose. Le rapport à l ‘échelle est inhérent à cette recherche, par le jeu perpétuel avec l ‘écran.
L’effet métallique et l’impression de sérigraphie sont voulus. L ‘effet est plat, sans perspective mais l’œuvre est née de couches successives abstraites, mais qui donnent une épaisseur complètement virtuelle.
Oeuvres Vendues • 21 oeuvres
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