Didier Jouvin
"Plonge ton regard au fond des choses, car la vérité est derrière l'apparence."
Didier Jouvin est un artiste complet qui a exploré toutes les formes d'expression graphique et photographique. Aujourd'hui, à l'âge de presque 80 ans, il peut se vanter d'avoir créé environ 250 œuvres graphiques sur toile et papier, ainsi que des centaines de photos argentiques, négatifs et diapositives, et des milliers de "photos" numériques.
Au fil des années, Didier a abordé une multitude de techniques et d'expériences artistiques, sans prétendre avoir tout essayé ou tout traité. Pour lui, la découverte de nouvelles émotions à travers la peinture et la photographie est une véritable passion, qui l'a aidé à donner un sens à sa vie et à s'épanouir chaque jour, en travaillant sur de nouveaux projets et idées.
Didier recommande à tous ceux qui souhaitent se lancer dans l'art de rester curieux de tout, quel que soit leur niveau de connaissance. Un conseil qu'il a suivi tout au long de sa vie et qui lui a permis d'explorer de nouveaux mondes artistiques. Didier vit et travaille à Bordeaux, en France, où il est né en 1943.
Découvrez les oeuvres d'art contemporain de Didier Jouvin, parcourez les oeuvres d'art récentes et achetez en ligne. Catégories: artistes contemporains français. Domaines artistiques: Arts numériques, Photographie. Type de compte: Artiste , membre depuis 2011 (Pays d'origine France). Achetez les dernières œuvres de Didier Jouvin sur Artmajeur: Découvrez de superbes oeuvres par l'artiste contemporain Didier Jouvin. Parcourez ses oeuvres d'art, achetez des oeuvres originales ou des impressions haut de gamme.
Cote artiste, Biographie, Atelier de l'artiste:
Espace EXPOSITION Didier Jouvin • 13 oeuvres
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Photos argentiques, numériques.
Infographies.
Peintures.
Techniques : brosse, couteau, marquage, matériaux[...]
Photos argentiques, numériques.
Infographies.
Peintures.
Techniques : brosse, couteau, marquage, matériaux divers (inclusions).
Matières : huile fine, glycérophtalique, vinylique, acrylique.
Travaux sur papier : gouaches, aquarelles.
Dessins papier, calligraphie (calame), brou de noix.
Infographies.
Peintures.
Techniques : brosse, couteau, marquage, matériaux divers (inclusions).
Matières : huile fine, glycérophtalique, vinylique, acrylique.
Travaux sur papier : gouaches, aquarelles.
Dessins papier, calligraphie (calame), brou de noix.
"Focale fixe" • 10 oeuvres
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PHOTOGRAPHIES argentiques et numériques.
Noir et Blanc, sépia, couleur.
Tirages numériques :
210 mm[...]
PHOTOGRAPHIES argentiques et numériques.
Noir et Blanc, sépia, couleur.
Tirages numériques :
210 mm x 297 mm sur papier 200gr/225gr/245gr brillant, semi-brillant ou mat.
297 mm x 420 mm sur papier 255gr brillant.
Noir et Blanc, sépia, couleur.
Tirages numériques :
210 mm x 297 mm sur papier 200gr/225gr/245gr brillant, semi-brillant ou mat.
297 mm x 420 mm sur papier 255gr brillant.
Reconnaissance
Publié dans les médias
L'artiste a été publié dans les média, presse radio ou TV
L'artiste a été publié dans les média, presse radio ou TV
Biographie
Didier Jouvin est un artiste complet qui a exploré toutes les formes d'expression graphique et photographique. Aujourd'hui, à l'âge de presque 80 ans, il peut se vanter d'avoir créé environ 250 œuvres graphiques sur toile et papier, ainsi que des centaines de photos argentiques, négatifs et diapositives, et des milliers de "photos" numériques.
Au fil des années, Didier a abordé une multitude de techniques et d'expériences artistiques, sans prétendre avoir tout essayé ou tout traité. Pour lui, la découverte de nouvelles émotions à travers la peinture et la photographie est une véritable passion, qui l'a aidé à donner un sens à sa vie et à s'épanouir chaque jour, en travaillant sur de nouveaux projets et idées.
Didier recommande à tous ceux qui souhaitent se lancer dans l'art de rester curieux de tout, quel que soit leur niveau de connaissance. Un conseil qu'il a suivi tout au long de sa vie et qui lui a permis d'explorer de nouveaux mondes artistiques. Didier vit et travaille à Bordeaux, en France, où il est né en 1943.
- Nationalité: FRANCE
- Date de naissance : 1943
- Domaines artistiques:
- Groupes: Artistes Contemporains Français
Influences
Formation
1962 - 1991
Au total, 29 ANS... De travail des différentes matière, d'essais, de recherche, d'expositions, le tout mêlé d'échecs et de récompenses ? Une très "nourrissante" et enrichissante trajectoire d'artiste.
Le Teich, Bordeaux, Pyla-sur-Mer, Paris,
France
Cote de l'artiste certifiée
Pas encore de données disponibles
Accomplissements
Publications et presse
Activité sur Artmajeur
Dernière mise à jour: 9 sept. 2024
(Membre depuis 2011)
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Ajouté le 8 sept. 2024
Artmajeur et l'Akoun le contrôle technique de l'art !!!
Le CERTIFICAT qui vous "certifie" ? Coup de génie ou idée de génie ?
Les deux à la fois votre Honneur...
Par honnêteté morale et vis-à-vis de l'art et surtout des artistes, je me devais de m'exprimer sur cette soi-disant "certification" qui ferait de vous un artiste côté... Pour ne pas dire "de côté" ?
Cela n'a AUCUNE VALEUR sur le marché réel des ventes publiques ni sur les acquéreurs avertis et heureusement. Tout au plus, ça flatte l'égo d'artistes en mal de reconnaissance, ça nourrit un CV, ça rassure les néophytes en œuvres d'art et surtout ça sert à justifier une demande de fond au profit d'Artmajeur et de l'Akoun.
Personnellement dès que j'ai vendu, j'ai été récupéré, sans mon avis, dans un Akoun papier (1992), car à une époque, Monsieur Akoun, en échec avec ses premiers essais comme artiste peintre, cherchait à exploiter le marché de l'art d'une quelconque manière pour prospérer dessus, et il a eu cette idée de génie, récupérer les prix réalisés dans les ventes publiques par tous les artistes BONS ou MAUVAIS, afin d'en faire un bouquin : "La cote des peintres" en 1985, année de sortie du premier exemplaire.
Du rêve à la réalité et quoi qu'on dise ou fasse, SEULE la qualité des œuvres justifie un résultat aux enchères et peut déterminer une cote supposée, et encore si cela se répète et sur la moyenne des enchères et à qualité constante des œuvres présentées en ventes aux enchères publiques.
Donc, ce racolage intensif et relances répétées de la part d'Artmajeur, ne servent que les intérêts communs entre Monsieur Akoun et Artmajeur et ne font que favoriser un leurre pour les artistes qui cherchent à se faire connaître avec comme argument de vente de leur travail, des certificats et cotes bidons, plutôt qu'avec des œuvres de qualité appréciées des vrais connaisseurs et sur le VRAI marché de l'art.
Désolé mais je suis dans le marché de l'art depuis plus de 50 ans, et il y a déjà pas mal de temps que j'ai cessé de rêver et donc je fais la différence entre la valeur réelle d'une œuvre et l’enfumage flatteur adossé à un business lucratif sur le dos des artistes qui n'y ont qu'un intérêt "paraître", alors qu'ils sont, sans trop en prendre conscience, par le ou les résultats de leurs ventes, l'essence même de la raison d'être de l'Akoun et de l'existence d'un site comme Artmajeur.
Si vous voulez un éclairage sans concession sur le marché de l'art, lisez ma réflexion sur le rôle de plus en plus restreint des commissaires-priseurs, et la place IMPOSÉE des experts dans les ventes publiques et autres lieux de négoce d'objets d'art (c'est sur mon site ICI).
Quand à vous "experts" autoproclamés d'Artmajeur, vous devriez porter votre regard avec plus d'attention sur les artistes qui composent l'essentiel de votre fonds, plutôt que de toujours parler d'artistes ou de courants artistiques branchés, mais de bien peu d'intérêt pour l'évolution artistique de artistes anonymes qui se sont mis ICI, sur Artmajeur, pensant avoir un regard sérieux et intéressé sur leur travail, plutôt que de servir de simple fonds de roulement à tout un épandage de discours racoleurs qui ne sont fait que pour engraisser tous les prédateurs qui gravitent autours de la planète ARTISTES.
Et en plus vous demander des dossiers sur les Artistes qui souhaitent avoir ce dit "certificat", ce qui vous fait une base de données GRATUITE unique, pour étayer votre "commerce" et vous ouvre encore plus de possibilités, pour une exploitation future de ces précieux renseignements acquis gratuitement ?
C'est assez fort j'avoue, bravo à VOUS et à Monsieur Akoun, car pas de regret, ce Monsieur était bien fait pour les AFFAIRES et pas pour être artiste.
Bien cordialement à lui et à vous.
Didier Jouvin
Ajouté le 8 mai 2021
Documents photographiques me représentant.
Toutes les photos me représentant contenues dans Artmajeur,
sont de Odette Ferrer : ©O.Ferrer.2021
Ajouté le 16 avr. 2021
Valeur d'œuvres signées de ma main, en vente publique ou sur le marché de l'art, avec éclairage critique sur le commerce de l'art. EXPERTS : conventions, rites et pratiques. Cotation AKOUN ?
"Le Palais Rohan" place Pey-Berland à Bordeaux (Mairie)
(acrylique sur toile 73x60 sdbg, didier Jouvin (Collection privée)
Pour acquérir une ouvre signée de ma main, on peut se référer à l'évolution de la cotation (3.200 en francs) dans "La Cote des peintres" Akoun 1992, p. 258, et nouvelle cotation (1300 en euros) dans l'Akoun 2011 p.841 et par la suite, aux résultats des diverses ventes publiques dans les années qui ont suivi, sur Paris, Drouot Richelieu/Versailles, nouveau Drouot, concernant mes toiles, gouaches, dessin ou autres travaux graphiques ou photographiques.
Mais, il ne faut pas perdre de vue, que les estimations arbitraires de l'Akoun, n'étant que le résultat d'estimations et évaluations moyennes pour 50% subjectives, calculées sur un ensemble de résultats des ventes de chaque artiste,ne peuvent en aucun cas faire autorité, et ces propositions de valeurs moyennes pour un format donné, ne sont qu'une base de discussion amiable, pour négocier ou acquérir des Œuvres d'Art.
Je tiens a préciser également, que quelque soit la cote ou les moyens de l'évaluer, le seul critère valable pour attribuer un prix réaliste et en conformité avec l'œuvre, c'est de savoir juger de sa qualité, de son originalité et de sa technique de réalisation. Donc cela passe par une connaissance réelle de la peinture et surtout de l'acte de peindre et il faut aborder une œuvre d'art, détaché de toutes spéculations "fantaisistes" rattachées à de simples résultats de ventes publiques, qui sont toujours et de plus en plus, influencés et sous tutelle, d'une génération d'experts plus envahissants que compétents.
Toutefois, ce que je viens d'exposer ci-dessus, s'annule en partie, si la signature de l'œuvre est d'un Artiste célèbre. C'est un des paradoxe de toutes les œuvres d'art, la signature justifie, le plus souvent, à elle seule le prix de l'œuvre. Seuls, les professionnels et amateurs très instruits des critères de valeur d'une œuvre, et nantis de nombreuses années d'expériences, ont la faculté de discerner le 'bon grain de l'ivraie" ?
Pour être complet sur cet essai critique de la valeur des œuvres d'art, je ne peux pas faire l'impasse sur un élément "nouveau" dans le déroulement des ventes actuelles.
L'Expert ??? Cet élément, qu'il y a quelques années encore, officiait en arrière plan et le plus souvent appelé pour confirmer l'authenticité, la valeur, la véracité de la datation, bref, il venait compléter, sécuriser ou dissiper les doutes sur telle ou telle œuvre de tel ou tel Artiste par son supposé savoir.
Aujourd'hui, face à de jeunes Commissaires Priseurs plus commerçants et affairistes qu’érudits, ce personnage s'est rendu indispensable, et son verdict décide malheureusement de tout. Il peut en quelques secondes ou avec un seul geste, un seul regard ou un seul mot, selon son humeur ou son goût personnel, déterminer le sort d'un objet d'art, et influer sur l'intérêt du public qui va réagir pour enchérir ou non, en conséquence !
Ce pouvoir sur tout objet d'art est bien entendu une pollution, qui bien sûr appelle beaucoup de questions et de réserve. Si cette présence s’est imposée, ce n'est pas par hasard. D'abord elle fait l'affaire du Commissaire Priseur, qui lui n'a juste qu'à taper du marteau sans états d'âme, puisque l'entière responsabilité morale sur la valeur adjugée, repose pour 99% sur humeur ou "goût" de l'expert ? Ce qui fausse évidement TOUT, et on assiste ainsi actuellement, à des estimations ou datations des plus farfelus, mais, le "Dieu" expert à valider la chose, donc quelles que soient les bévues de celui-ci ou son attitude partisane, le Commissaire Priseur va suivre et valider sans se poser trop de questions.
Dans la plupart des cas, on est surpris pour ne pas dire décontenancé par "l'élasticité incohérente" des estimations de ces Experts : "entre 250 et 5000€ ou entre 1500 et 6000€ ? Ou les phrases toutes faites, comme, c'est milieu XXe ou fin XIXe ou seconde moitié XXe ! Le tout avec force comparaison avec des objet ressemblants de deux ou trois siècles avant, où d'accoler une équivalence qui est exposée dans un grand Musée ! Ou comme pour la porcelaine de chine, mettre le règne mais pas la date, qu'ils ignorent complètement ? C'est le plus souvent, "autour de..." ? Sauf, que les 2 principales dynasties Chinoises durent entre 200 ans, pour les Ming (212 ans) et presque 300 ans pour les Qing (267 ans), ce qui laisse une grande marge à l'expert, qui saute les ans comme les jours de la semaine ?
Mais surtout n'ayez pas l'audace de demander une explication réelle solide étayée par de vrais arguments, ou pourquoi on attribue telle ou telle fourchette de prix à une œuvre ! Ou pire, expliquer sa qualité esthétique ???? Là l'Expert est totalement désarmé et débite le plus souvent des lieux communs, car en fait, son ignorance est un facteur indissociable de sa logorrhée sur le sujet, cela compense sa véritable absence de savoir, par une description dithyrambique de l'œuvre où l'ignorance prédomine. J'ai introduis le cas de la porcelaine asiatique, car c'est là où actuellement, les experts sont dès plus lyriques et peuvent, dans l'ignorance quasi générale, à quelques exceptions près, nous faire passer des vessies pour des lanternes.
En résumé, leur jugement n'est fondé aujourd'hui, que sur une seule et unique référence, devenue le critère absolu : le PRIX qu'une œuvre similaire a réalisé la veille, ou l'avant veille, à la dernière vente publique de Drouot où d'ailleurs ? C'est comme les jugements, qui font jurisprudence, sauf que là c'est le marché de l'Art entier, qui va chaque fois s'étalonner sur ces valeurs factices, qui deviennent malheureusement la nouvelle référence, et c'est comme cela que ce "fabriquent" les soi-disant cotes dans le marché de l'art...
Cela ne trompe pas les vrais marchands, ni les vrais amateurs, car parallèlement à ces cotes éphémères, existe des cotes réelles, basées sur du concret.
Mais cela porte quand-même préjudice à la véritable valeur des pièces "saines", et a une véritable importance dans les catalogues ou sites, lors de la description des objets, aujourd'hui présentés avec des légendes et descriptifs qui se veulent ronflants pour les besoins de la vente. Ex : les vases au col cassé, qu'on n'aurait jamais osé passer en vente il y a quelques années, sont devenus des pièces qu'on présente sous l'appellation audacieuse de, "col érodé" ? Ou alors, de genre d'appréciation, limite humoristique, mais donnant bien les limites de ces dits Experts : toile du XIXe "possible" XVIIIe... et j'en passe.
Aujourd’hui plus qu'hier, l'ignorance glorifie les ignorants, mélange de Monsieur Jourdain et de Volpone...
En fait, cette connivence entre Commissaires Priseurs et Experts et une nouvelle et efficace méthode d'enfumage, destiné à se donner de l'importance et à cautionner des pièces tout à fait ordinaires, qui normalement devrait être présentées comme telles. Ce qui n'empêcherait pas qu'elles puissent faire de belles enchères, et ce serait bien plus honnête pour les acquéreurs, qui achèteraient à leur goût et non pas sous pression de la dictature du marché.
Quant à ces dits Experts, ne leur demandez surtout pas pourquoi il donne une valeur x ou y, ou pire de la justifier, car là c'est la fuite et les lieux communs, parfois j'appelle cela des estimations ésotériques. La chance pour ce juteux marché, qui doit faire face à la rareté des véritables pièces de grandes qualités, c'est d'avoir comme clientèle, une génération "IQ é A" totalement dépourvue de culture, mais qui plastronne dans les salles de ventes armée de deux choses sa Carte Bleue et son ignorance, ce qui lui permet toutes les incohérences que je viens d'énumérer, dont la pire, encourager toute la chaîne de ce marché truqué.
Si j'ai fait se grand détours par ce milieu "mafieux" des ventes publiques, c'est pour bien relativiser la valeur des choses, qui n'est vrai qu'à la seconde où on frappe le marteau, car si par hasard, on remettait le lendemain les mêmes œuvres de nouveau en vente, face à un autre public, il n'est pas certain et même sûr que celles-ci n'atteindraient à peine que le tiers ou la moitié de l'enchère de la veille. Mais ce "jeu" à ses règles, et tout ce petit monde, de connivence convenue, s'y retrouve financièrement et c'est bien là L'ESSENTIEL. De plus, personne ne veut réellement que ça change, donc tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes...
Je dois aussi souligner que cela a une raison, c'est le vieillissement de la profession des Commissaires Priseurs, qui pour la plupart des ténors Parisiens ou de province, ont passé le flambeaux à leur progéniture, mais qui malheureusement pour ces nouveaux venus, roulent sur la réputation du père, sans sa culture et ses connaissances, d'où la fragilité de leurs jugements, plus près d'agents immobilier que de grands connaisseurs de l'art. Pourtant ces nouveaux venus, fraîchement nommés, sont le plus souvent bardés de diplômes et de références grandiloquentes, mais d'une ignorance totale dans l'approche des œuvres d'art et de leur histoire, qui demande des années de pratique et ne s'apprend pas dans les livres.
L'important c'est d'avoir fait un chiffre d'affaire qui se situe au plus près, voir au dessus, du précédent record de l'étude voisine !!! Et ainsi de suite.
Et ce n'est pas la situation sanitaire actuelle qui va améliorer les chose, puisque nous dérivons de plus en plus vers une séparation physique du public, avec ce qu'on veut lui vendre par des méthodes virtuelles ? Ainsi l'objet n'est plus là physiquement ? Plus d'efforts pour justifier, appréhender, scruter, palper, peser, ressentir, renifler les objets en vente publique... Bref, tous les indicateurs, que seuls les yeux et les mains sont et étaient capables de nous transmettre ? Dorénavant, seuls les critères virtuels et les théories d'Experts, vont faire la loi du marché, et cette séparation entre l'œuvre et l’acheteur, va pour quelques décennies à venir appauvrir la qualité des collections, le marché de l'art, et surtout faire régresser en connaissances des futurs acheteurs.
Quant à l'Akoun, il s'est déclaré d'autorité, collecteur de tous les résultats de ventes publiques, sans l'avis des Artistes ? À l'origine des œuvres, et quoi qu'on fasse, c'est l'artiste qui est essentiel, car sans ses créations, pas de ventes et donc pas d'argent à prendre sur cette chaîne. Et donc en fait, n'ayant pas de concurrence ou d'équivalent sérieux, l'Akoun c'est quasiment auto-déclaré comme la "norme". Et cet état est devenu dans le monde de l'art, une référence qui sert et qui reconnaissons-le est utile pour l'ensemble des marchands d'art, brocanteurs etc...
Pour ma part et ayant été très impliqué dans le marché de l'Art depuis mon adolescence, Antiquités et plus tard, courtier en tableaux pour de grandes Galeries Parisiennes, plus de nombreuses années passées dans les stands des allées du Marché des Puces de St Ouen, : Biron, Paul Bert, Serpette, Vernaison, Dauphine, bref, une Faculté de l'Art à ciel ouvert, où on apprenait tous les jours quelque chose. À l'époque, dans les années 1975, j'en connaissais à peu près les mécanismes, les possibilités et les limites.
Cette critique étant entendue, je ne peux pas ne pas citer, Monsieur Jacques-Armand Akoun, né en 1947, qui attiré par ce milieu fascinant de l'art, jusqu'à lui-même s’essayer à la peinture, passe de l'autre côté de la barrière et devient marchand de tableaux. Comme il n'y a pas de hasard dans rien, son instinct et sa sensibilité l’emmène tout naturellement à mettre son expérience au service des salles des ventes de DROUOT.
Sa vision est relativement simple à l'époque, collecter les résultats de ventes des œuvres des Peintres, Sculpteurs ou autres Graphistes, pour en faire un répertoire au service des marchands comme des artistes, qui flattés d'apparaître quelque part officiellement, ne voient là aucune objectons à sa démarche, dont nous sommes tous, nous Artistes, l'indispensable matière de l'Akoun.
Monsieur Akoun a le bon sens de s'entourer de professionnels du milieu, est en faisant la moyenne des résultats des ventes pour chaque artiste, propose un prix moyen d'une œuvre de cet artiste : format 15P (65x50) que l'on va exploiter comme cote de base.
Première parution en 1985, et ça ne marche pas... Ça court !
Après cette critique, que je souhaite positive et qui peut-être à l'avenir, vous fera appréhender une toile ou tout autre œuvre ou objet d'art, sous un éclairage nouveau, et afin d'être en total accord avec mon propos, je prépare un dossier sur mes ventes, toutes cataloguées, qui sera vérifiable ici sur mon profil Artmajeur, afin de confirmer les estimations, ventes et résultats aux collectionneurs qui possèdent déjà des œuvres de ma main, et donner une référence la plus près possible et réelle du marché, aux futurs amateurs et acheteurs de mes créations, qui devront, de toutes façons et en finalité, se fier à leur goût personnel, leur ressenti et leur jugement acquis de l'expérience, ce qui est le meilleur bagage pour acquérir des œuvres d'art.
Et surtout toujours garder en tête que l'expert n'est pas un devin, ni un fakir, il a aussi ses limites et il est comme vous et moi, le plus souvent, en recherche d'éléments qui vont étayer son jugement.
Une maxime à retenir en toutes circonstance, que je disais lorsque j'étais courtier en tableaux à mes clients, parfois hésitant avant de se décider sur l'acquisition d'une œuvre d'artiste, je leur disais ceci : et c'est vrai pour tout,
Merci à tous.
©didier-Jouvin-2021
Ajouté le 14 avr. 2021
28 ans... De travail de la matière, d'expositions et autres expériences, formatrices d'un Artiste Peintre.
Didier JOUVIN
Peintre Français, né en novembre 1943, à Le Teich (Bassin d’Arcachon) France.
Principales expositions de 1963 à 1991.
Portrait de "Madame Veuve Plana"
Huile fine sur toile 61x50 sbg JOUVIN 63. (collection personnelle de l'artiste)
(remise du 1er Prix de la Jeune Peinture : Talence 1963)
1963 - 1er Prix de la Jeune Peinture (Salon Franco-Espagnol, Bordeaux/Talence),
toile primée : "Madame Veuve Plana" (cliché ci-dessus).
- Exposition Saragosse Espagne.
1964 - Musée Bonnat Bayonne, rencontre avec Picasso.
- Bilbao Espagne.
- Grand Prix de la Seine et du Parisis/Paris.
- Château Brown-Cantenac Margaux.
1965 - Grand Prix de la Malmaison Rueil-Malmaison.
1970 - Galerie Porte-Basse Bordeaux.
1971 - Rencontre Zao Wou-Ki et sa femme (Galerie de France) Paris.
1972 - Galerie Thiers Arcachon.
1973 - Exposition/Atelier Pyla-sur-Mer.
1975 - Galerie d'Orsay Cannes.-1976 - Galerie d'Orsay Cannes.
1978 - Galerie des Beaux-ARTS Bordeaux.
1982 - Galerie Panthéon-Uessat Paris.
- Musée Robin Libourne.
1983 - Galerie Herouet Paris.
- Salon des Artistes Indépendants, Grand-Palais Paris, (sociétaire).
- Grand Prix Rubens de Belgique.
- Salon de la Société des Nationale des Beaux-Arts Paris.
- Mérite et dévouement Français.
- Palette d'Argent de la F.I.C.I.E.
1984 - Galerie Herouet Paris.
- Salon des Surindépendants Paris.
- Centenaire des Artistes Indépendants, Grand-Palais Paris.
- Mérite Culturel et Artistique Européen.
- Galerie Chappe, Festival International d'Art de Montmartre Paris.
- Salon des Nations, Genève Galerie Métropolis (invité d'honneur).
- Arts-Sciences et Lettres.
1985/1986 - Galerie Herouet Paris.
- Salon des Artistes Indépendants, Grand-Palais Paris.
- Emission Télévisée FR3 Aquitaine, Bordeaux.
1987/1988 - Galerie Martin-Caille Paris.
1989 - Salon des Artistes Indépendants, Grand Palais Paris.
1990 - Septemvir, Galerie des Beaux-Arts, Bordeaux (invité)
- Salon des Indépendants, Grand-Palais Paris.
1991 - Salon des Indépendants, Grand-Palais Paris.
Ajouté le 14 avr. 2011
1957 - 2006 de l’argentique au numérique
Comment je suis passé du Ihagee Kine Exakta au C-Lux1...
J’ai commencé à faire de la photo en 1957 (j’avais 14 ans) avec un 24x36 Exakta Ihagee, objectif 3,5/35 Zeiss Tessar d’une qualité optique sans faille et je crois un des premiers reflex fabriqué en 1936, grande précision et douceur du rendu, mais j’étais trop jeune et inexpérimenté pour en tirer toutes les qualités, cet appareil était à ma mère.
Puis on m’a donné un appareil tout en "plastique" et en forme de boîte noire, c'était un Kodak Brownie Flash, cet appareil dans les années 50 était très répandu et permettait de s’initier à la photo à moindre frais, et ça m’a permis de tester mon coup d’œil et ma façon de cadrer. Puis j’ai repris l’Exakta et fais pas mal de noir et blanc, ce qui était le lot de presque tous les photographes de l’époque (professionnels ou amateurs).
Après j’ai acheté un Lubitel 2, mon premier 6x6, très simple et pas si mal compte tenu de son prix (170 francs en 1973 soit environ 25 ou 30€ d’aujourd’hui) du coup j’en avais acheté deux et j’en ai donné un à un touriste anglais, lors d’un séjour en Espagne, car il n’avait pas ses appareils avec lui et m’avait demandé si je pouvais lui prêter un des miens et vu la valeur d’achat de ces appareils je lui en ai offert un, et oui ! À l’époque les rapports étaient tellement plus simples…
Par la suite, j’ai acquis un Canon AE1 faute de pouvoir acheter le F1 mais c’était un très bon appareil et les optiques de la série FD donnaient de très bons résultats, car il faut aussi mentionner qu’à cette époque la pellicule jouait aussi un très grand rôle dans la qualité et le résultat des photos.
Par la suite, j’ai travaillé en studio aux lampes et j’ai acheté un Mamiya RB 67, un très très bon appareil, très beau format et des optiques d’une douceur et d’un rendu (le 90 mm), très très bon pour les portraits ou les nus, rendu de peau exceptionnel, mais étant obligé d’être très souvent en reportage je suis revenu au 24x36 (plus véloce) et j’ai acheté deux Canon T90.
Alors là, très très bon appareil qui fut une référence dans le journalisme mais très délicat à maîtriser, surtout son analyse multispots !! On ne savait jamais trop le résultat et en reportage où il faut être rapide et sûr, avec ce type d'appareil trop caractériel il fallait être très attentif à tout et encore plus avec le flash ! J’ai donc revendu mes deux T90 et pris un Nikon F4... Le fin du fin à l’époque !
Superbe appareil, très fiable, très rapide sur tous les plans, j’ai fait des milliers de photos et diapositives et toujours récompensé par une grande qualité chromatique et un piqué à la hauteur, bref, belle bête et des cailloux fabuleux (téléobjectif 4/300mm, rendu de couleurs hors pair) mais le revers de la médaille de ce type d’appareil c’est le poids, l’encombrement et le manque de discrétion, car lorsque on est en reportage ou en promenade avec deux F4 sur le ventre plus les cailloux, plus les "pelloches", la sacoche, le flash…
Bref très difficile de surprendre le sujet en encore plus de passer inaperçu et puis, de plus en plus de risques, oui lorsque on a pour 7 ou 8 ou 10 000 € de "matos" autour du cou, il vaut mieux avoir les yeux bien ouverts, c’est que les temps changent…
Alors j’ai décidé pour ces multiples raisons et malgré la très grande qualité de ces appareils de tout vendre et d’essayer de trouver un compact de qualité approchante.
A l‘époque on m’a vivement conseillé et ce fut mon dernier appareil argentique, le Yachica T5 Tessar* objectif 3,5/35 Carl Zeiss. A ma très grande surprise ce boîtier très simple et peu tapageur, s’est avéré de très belle qualité d’analyse et avec un piqué extraordinaire, parfois au même niveau sinon mieux que le F4 ? Comme quoi, il n’y a rien à faire chez Carl Zeiss on sait faire un caillou. Redoutable appareil, qui n’a d’autre possibilité que son fameux 35, donc il faut changer ses habitudes et revenir aux premiers moments de la photographie, c’est-à-dire s’approcher du sujet.
Oui le zoom c’est vous, cette reprise en main d’un compact a modifié de nouveau ma vision philosophique de la photographie, qui doit être avant tout de fixer l'instant présent le plus naturellement possible avec un résultat de qualité sans se prendre la tête avec les choix d'optiques (laquelle mettre ?), et les réglages ! (manuel, automatique, priorité vitesse, priorité ouverture ?), on est toujours un peu partagé sur tous ces choix, c’est le lot commun de tous ceux qui font de la photo.
Maintenant, je suis revenu de tout ça et je pense que pour faire une bonne photo, il faut surtout (outre la chance) être soi-même dégagé de toute contrainte que celle de regarder dans le viseur et d’appuyer sur le déclencheur.
D’ailleurs à l'époque, beaucoup de journalistes partaient en reportage bardés de «lourds» comme Nikon, Canon, Leica , pour impressionner mais en cas d’urgence, ils avaient toujours un petit T5 dans la poche pour faire le boulot, là au moins ils étaient certain de ramener une image.
Et puis, inexorablement mais sûrement, la fin de l’argentique et du reflex est arrivée !
Moi comme les autres je ne voulais absolument pas entendre parler de numérique, mais j’ai dû me rendre à l’évidence, les temps changent et le matériel aussi.
Enfin, le cœur brisé, en 2006, j’ai posé mon petit Yachika T5 et après avoir pris pleins de renseignements, fait beaucoup d’essais, comparé, analysé tout l’éventail de matériel numérique du marché et voulant à tout prix éviter la course aux pixels et surtout la mode des poids lourds hypersophistiqués, qui font très professionnel, style (Nikon ou autres Eos) mais souhaitant avant tout un appareil simple, dont je ne sois pas dépendant en grande partie de sa technologie, mais au contraire que ce soit lui qui dépende de moi de mon humeur et de mes envies, j’ai donc acheté un tout petit appareil qui loge dans ma poche.
Toujours disponible et surtout très fiable, solide, discret, une très belle analyse chromatique, un objectif (asphérique) équivalent à un 28-102mm en petit format avec un piqué ni trop ni pas assez bref, j’ai opté pour un C.Lux.1... Je vous laisse le soin de trouver la marque !
C’est un petit bijou, très sûr avec lequel je m’entends très bien et avec lequel je sais au moins que si mes photos ne sont pas bonnes, il n’y est pour rien et que c’est de ma faute. Voilà en quelques lignes le résumé de mes expériences sur différents matériels, si cela peut servir à quelqu’un j’en serais ravi, bonne "chasse" à tous les amoureux de la photo et pensez toujours que le plus beau matériel du monde, sans votre coup d’œil, n’est rien.
Bien cordialement.
didier Jouvin
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