J'ai grandi dans les rues de New York, où j'ai vu et vécu beaucoup de choses.
J'ai commencé à me lancer dans la peinture et cela m'a pris jusqu'à en devenir passionné.
Lorsque j'ai déménagé en Caroline du Nord, où vivait ma mère, j'ai continué à le faire et j'ai appris à l'aimer de plus en plus.
Mon père est un survivant de l'Holocauste et une partie de son esprit s'est infiltrée dans mon esprit. Aussi, à New York, j’ai fait un certain nombre de rencontres étranges. Un jour, un homme a traversé la rue pour me frapper à la mâchoire. Dans le métro, un homme mangeant une part de pizza, a pressé toute sa part sur ma chemise, puis a rapidement quitté le train. Un homme qui possédait un bateau amarré au bassin de la 79e rue avait une cabine pleine d'armes à feu et de grenades et, parce qu'il sentait que sa petite amie japonaise m'aimait bien, il a menacé de me mitrailler. Mon père lui a parlé et l'a persuadé de changer d'avis et de me mitrailler. La combinaison de l'esprit que m'ont transmis mes parents et de mes expériences à New York a grandement contribué à mon intérêt à essayer de créer des peintures intéressantes et belles.
