Peinture intitulée "Trois visages rouges" par Eva Mifsud, Œuvre d'art originale, Huile

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Trois visages rouges (2003) Peinture par Eva Mifsud

Original Reproductions

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Vendeur Eva Mifsud

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Œuvre d'art originale Peinture, Huile sur Toile

Classification des œuvres

Œuvre d'art originale

Les œuvres d'art originales désignent toute œuvre considérée comme authentique et non une copie ou une imitation des œuvres originales d'un artiste. Les œuvres d'art originales peuvent être n'importe quel type de peinture, de sculpture, de performance ou d'autres médias. Il existe de nombreux types de supports originaux. Les techniques mixtes comprennent les peintures à l'huile, acryliques et aquarelles. Pour les peintures d'atelier qui témoignent d'un savoir-faire artisanal, cette attribution doit être davantage nuancée. Bien qu'elles puissent être moins précieuses pour différentes raisons, les reproductions et les copies ont eu un impact considérable sur notre expérience. Ils atteignent un public plus large que les originaux et agissent comme un tonique contre la marchandisation. L'œuvre originale pourrait également faire référence à la première œuvre, qui précède toujours toutes les autres. Il peut également faire référence à un prototype ou à un modèle à partir duquel d'autres œuvres peuvent être réalisées. Chaque œuvre présente de grandes similitudes avec l'original.
Dimensions Hauteur 24in, Largeur 18,1in
Catégories Expressionnisme

Trois visages rouges imbriqués les uns dans les autres. Trois âges. À propos de cette œuvre: Classification, Techniques & Styles. Huile. Peinture composée de pigments liés avec de l’huile de lin ou d'œillettes. La technique traditionnelle consiste à superposer des couches de peinture de plus en plus riche en huile pour une accroche solide et durable. [...]

Eva Mifsud

France

"Would you be able to talk about my paintings?". These are the words she directed at me, that day, her paintbrush in her hand. Taken aback, I tried to dodge her request, referring, among other things, to my atavistic [...]

"Would you be able to talk about my paintings ?"...

These are the words she directed at me, that day, her paintbrush in her hand. Taken aback, I tried to dodge her request, referring, among other things, to my atavistic mistrust of these words which think that they can say everything.

"But I have no mistrust of words, I have none for my paintings", she objected while her paintbrush was moving. "And it would please me to have some words.", she added after a moment of silence.

And as I was searching, these words escaped me, sticky by their insignificance, gummy with vacuity, laden with rationalism, while my eyes wandered over the canvases which disorganised her studio, trying to link her painting to some known artistic movement.

A contemporary she certainly was but nevertheless unclassifiable. Neither academic nor abstract nor realist, nor really figurative. Decidedly, no word could fit this sensation, this intuition I had already experienced, more than already seen. Of that I was certain without a glimmer of knowing why.
Visceral. Violent. Disturbing. Just like her paintings, this reminiscence was all these, just as surely as it was not pictorial. I needed to seek elsewhere.
And as so often, I was about to give up when the answer popped up.

Bukowski !

I was at Bukowski’s, and experiencing again this gut-churning feeling caused by his writings. His words had read something unknown in me.

And her pictures were looking at me. Her paintings could see in me other unexplored things…

Bernard Convers.