Fatalité / Fatality (2018) Peinture par Dimi Tabacelea

Les sources de cette œuvre, proviennent du roman du grand écrivain Marin Preda « Le plus aimé des terriens ».
La clé de ce début est même la plus fameuse citation de l'auteur :

« Si l'amour n'est pas, rien n'est »
— MARIN PREDA, romancier et écrivain


Quand l'énergie la plus précieuse de l'homme disparaît, l’Amour … l’énergie qui le maintient connecté à tout ce qui est autour de lui en parfaite harmonie, avant qu'il y ait l’homme … l'énergie qui l'exalte, le rend bon, beau, confiant en soi, sage, tolérant, droit … devenant ainsi une partie importante de tout ce qui est vivant sur Terre, vivre et agir en parfaite symbiose en tout. Alors, le manque d'amour ...
Nuit à l'homme en non-humain, en lui laissant une place infinie pour le désastre humain, RIEN.
Tel que cité par le grand romancier, Marin Preda : « si l'amour n'est pas, rien n'est »

Même dans cette situation (...) ça irait !
Le RIEN, serait automatiquement inexistant, vide, neutre, inerte, sans la possibilité d'agir !

Cependant, voici le GRAND Problème, car « RIEN », ça n’existe pas !

Parce que, immédiatement après la disparition de l’Amour, la Grande Catastrophe, irréversible, apparaît comme une loi cosmique universelle, où l'amour est automatiquement remplacé par la haine, par l'énergie qui le décompose, le désespoir, le rendant malade, laid, incrédule, impitoyable, perfide, menteur ...

« La disparition de l'amour est comme un miroir tourné, on ne voit rien, on y regarde en vain.
Votre geste n'est plus reflété, personne ne répond. Tu es seul. »
― Marin Preda, du roman, Le plus aimé du terrestre


Même ce démantèlement humain, s'il est laissé paralysé, isolé, tout autour de l'homme, malgré tout ça (…), ça irait quand même bien ! Mais il est impossible, juste de rester comme ça (…), l'amour disparaît et c'est fini, ça reste « RIEN » La vie dans l'homme n'a pas disparu, poursuit-il. Il peut donc agir et réagir totalement et tout autour de lui, les menant à l'instabilité, au déséquilibre, au chaos et à l'autodestruction.
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The sources of this work go from the novel of the great writer Marin Preda “The Most Beloved of Earthlings”
The key to this start is even the writer's quote:

"If love is not, nothing is."
— MARIN PREDA, Novelist and Writer


When disappears the most precious of human energy, Love… energy that keeps him connected to all that is left around it in perfect harmony, before there was man … energy which exalts him, makes good, beautiful, confident, wise, tolerant, upright … becoming so important part of all life on Earth, living and acting in perfect symbiosis with it at all … then, the lack of Love … dethrones man in no man, leaving him an infinite place inside human disaster, NOTHING.
As he says, the quote of the great novelist, Marin Preda: “If love is not, nothing is.”

Even in this situation, (…) would be better! Nothing would automatically be nonexistent, vacuum, neutral, inert, without the possibility of acting!

But here is the BIG Problem, because “NOTHING”, Not exist!

Because, effective immediately after the disappearance of Love, appear The Great Catastrophe, irremediable, such as the Universal Cosmic Law, where Love is automatically replaced with hatred, with energy who demolishes him, hopelessness, despair, making him bad, ugly, incredulous, impatient, treacherous, liar …

"Disappearance love is like a mirror turned, not see anything, look in vain in it. Your gesture is no longer reflects, nobody answers. You are alone."

— MARIN PREDA, of the novel, The Most Beloved of Earthlings


But even this human dethronement, if left paralyzed, isolated, from everything and everyone around human, even so (…), however, would still be well! But it is impossible to remain only this; love disappears and finished, remains “nothing”! Can not! The life from inside a man, not disappeared, continues, and so he can act and react to all around him, and push all to instability, imbalance, chaos, self-destruction.

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