des masques 绘画 由 Delechat
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原创艺术品
绘画,
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De. Tapis dans l’ombre
« Créer l’accident, afin d’engendrer une rencontre ».
Le barman :
- Ce furent les dernières paroles liées au souffle de cette salope qui s’échappèrent de sa bouche, bientôt à jamais close. Il y eu peu de personnes attristées, cette journée. Je me souviens, j’aurai aimé qu’il ne soit rien[...]
De. Tapis dans l’ombre
« Créer l’accident, afin d’engendrer une rencontre ».
Le barman :
- Ce furent les dernières paroles liées au souffle de cette salope qui s’échappèrent de sa bouche, bientôt à jamais close. Il y eu peu de personnes attristées, cette journée. Je me souviens, j’aurai aimé qu’il ne soit rien passé. Mais comme le rien est une simple invention en nos esprits et qu’en réalité forcément, un peu de tout grave ce qui fait que c’est vrai, je devait l’admettre ; j’avais tué quelqu’un.
Pour une compréhension idéale, récapitulatif d’un des épisodes précédents. Nous étions accoudés à un zinc semblable à un autre. Un barman pendant son service, racontait des histoires banales, issues de l’expérience de son écoute, depuis..., notez le bien ! Cet employé, du tout et du reste s’il en reste n’en a plus rien à foutre et même, il s’en bat les couilles. Un brave type quoi !
Le barman :
- Poursuivons. Que s’est-il passé ?
- Oui raconte…Un client.
- Eh bien disons qu’un prime quidam, comme un autre personnage, marchait le long d’une route qu’il croyait déserte, pauvre de lui ! Sur ses épaules, un sac, genre à dos, d’ici je ne peux trop vous en dire pour le décrire, son placement me semble perdu d’avance. Néanmoins il revient de loin mais on ne sait pas d’où. D’une mauvaise histoire peut-être. Et, il se gardera bien de le dire. Les territoires du retranchement font partie intégrante de la pudeur et, à présent, plus personne n’y touchera au risque de se faire soustraire les nerfs. Cela étant énoncé, poursuivons je vous prie, sans mépris, ce récit sans soucis. Bien donc, le mec qui marche est équipé de godasses faites pour parcourir le terrain. Néanmoins, il est serein. Il y a du vent, des brindilles valsent sans contrainte, c’est genre « rood-movie » à l’américaine. En chemin, il fait la rencontre d’un véhicule aux formes futuristes abandonné là sur le côté, couleur citron pressé. Tiens ! La portière est grande ouverte. Le moteur de l’engin à tourner en rond ronronne mollement. Ah ! Oui ! J’oubliais d’ajouter à cette description, le ciel est bleu blues. Sans plus de pourquoi ni de comment, il emprunte cet engin mécanique. Il veut aller vers le fond. Il est affublé d’un tee-shirt avec en son dos une inscription centrée, noire laquée, encadrée. Evidemment, lui ne l’a voit pas. Celle-ci dit à peu prés ceci :
« Fuck-All »
« Créer l’accident, afin d’engendrer une rencontre ».
Le barman :
- Ce furent les dernières paroles liées au souffle de cette salope qui s’échappèrent de sa bouche, bientôt à jamais close. Il y eu peu de personnes attristées, cette journée. Je me souviens, j’aurai aimé qu’il ne soit rien passé. Mais comme le rien est une simple invention en nos esprits et qu’en réalité forcément, un peu de tout grave ce qui fait que c’est vrai, je devait l’admettre ; j’avais tué quelqu’un.
Pour une compréhension idéale, récapitulatif d’un des épisodes précédents. Nous étions accoudés à un zinc semblable à un autre. Un barman pendant son service, racontait des histoires banales, issues de l’expérience de son écoute, depuis..., notez le bien ! Cet employé, du tout et du reste s’il en reste n’en a plus rien à foutre et même, il s’en bat les couilles. Un brave type quoi !
Le barman :
- Poursuivons. Que s’est-il passé ?
- Oui raconte…Un client.
- Eh bien disons qu’un prime quidam, comme un autre personnage, marchait le long d’une route qu’il croyait déserte, pauvre de lui ! Sur ses épaules, un sac, genre à dos, d’ici je ne peux trop vous en dire pour le décrire, son placement me semble perdu d’avance. Néanmoins il revient de loin mais on ne sait pas d’où. D’une mauvaise histoire peut-être. Et, il se gardera bien de le dire. Les territoires du retranchement font partie intégrante de la pudeur et, à présent, plus personne n’y touchera au risque de se faire soustraire les nerfs. Cela étant énoncé, poursuivons je vous prie, sans mépris, ce récit sans soucis. Bien donc, le mec qui marche est équipé de godasses faites pour parcourir le terrain. Néanmoins, il est serein. Il y a du vent, des brindilles valsent sans contrainte, c’est genre « rood-movie » à l’américaine. En chemin, il fait la rencontre d’un véhicule aux formes futuristes abandonné là sur le côté, couleur citron pressé. Tiens ! La portière est grande ouverte. Le moteur de l’engin à tourner en rond ronronne mollement. Ah ! Oui ! J’oubliais d’ajouter à cette description, le ciel est bleu blues. Sans plus de pourquoi ni de comment, il emprunte cet engin mécanique. Il veut aller vers le fond. Il est affublé d’un tee-shirt avec en son dos une inscription centrée, noire laquée, encadrée. Evidemment, lui ne l’a voit pas. Celle-ci dit à peu prés ceci :
« Fuck-All »
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Bonsoir,
Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.
22:47:[...]
Bonsoir,
Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.
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