AG0.jpg (2012) 写真撮影 Delechat によって
証明書が含まれています
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この作品は「オープンエディション」です
写真撮影,
ジークレープリント / デジタルプリント
- 寸法 利用可能ないくつかのサイズ
- 利用可能ないくつかのサポート (ファインアート紙, 金属への印刷, キャンバスプリント)
- フレーミング 利用可能なフレーミング (フローティングフレーム+アンダーグラス, フレーム+アクリルガラスの下)
T’es, est-ce.
C’est un vendredi soir et me manque du feu
J’aime bien cette allumette à portée de tes yeux
J’aurai du être de sortie, ne pas les pompiers avertir
Depuis se sont, les sirènes qui carillonnent à ma fenêtre, sans mentir
Alors je zone, des oses, je trace l’envers du morose
T’es, est-ce.
C’est un vendredi soir et me manque du feu
J’aime bien cette allumette à portée de tes yeux
J’aurai du être de sortie, ne pas les pompiers avertir
Depuis se sont, les sirènes qui carillonnent à ma fenêtre, sans mentir
Alors je zone, des oses, je trace l’envers du morose
Sur les barres face à mes divisions je pose je pose
C’est faux, je mens vous, j’y ravale des quotients, l’à tes genoux
Pour des cailloux, vous aurez des bijoux, dites vous, dites vous,
On jalouse, c’est un fait ! Est ce qui est fait est fait, c’est tout, c’est tout
D’un rien tu te retiens, c’est lien, c’est bien
Je ne dis plus viens, si des fois
Assis par terre, j’évite la suspension, j’y quémande une voie,
Entre mes doigts j’fais taire l’amère,
Du crachin, le venin, sale et le putain
Dimanche soir. Il fait noir
Mais oui, un noir de chez noir, pas celui du samedi soir
J’fais des pas de là à là, entre mes lèvres un air de d’espoir
Revenons au jeudi, c’est mieux, il est midi
Faut dire, j’ai ma tenue vestimentaire du mardi
Je me trouve, top sexy !
Je ne reviendrai pas. Oui et pas. Sur mercredi, ce qui est dit est dit, c’est ainsi aussi, aussi
Tiens déjà lundi, je m’embarque au volant d’une déesse,
Je délaisse des restes les lests, je reste je reste
Sur ta voix je ne retiens la fin, les muses garent leurs fesses
Elles appellent la messe de ma plume lune sur les éclats des runes
Plus de rue, les avenues s’enfilent les unes avec les autres,
La vitesse passagère, légère, s’installe,
Les iles les on, tous s’en vont.
Les gouttes se brisent, garces ! Elles dessinent, elles te disent
D’une terrasse, des gens sont à table, se repaissent de mes deux mains, bavardent
J’essuie la glace. Des déserts, se racontent sans cesses les mêmes farces
Il y a celui qui prétend la blague en fin
Des voix, voix fortes voix qui pour,
Pour qui, ne pas laisser l’aphasie s’exprimer est un fait.
Plus de route qu’ils réclament en brame
Plus de doute, et les unes et les uns, sont sans gamme
Des formes, je passe les et de cette place, donne
J’ravale ma fable, l’interdit n’est dit.
C’est un vendredi soir et me manque du feu
J’aime bien cette allumette à portée de tes yeux
J’aurai du être de sortie, ne pas les pompiers avertir
Depuis se sont, les sirènes qui carillonnent à ma fenêtre, sans mentir
Alors je zone, des oses, je trace l’envers du morose
Sur les barres face à mes divisions je pose je pose
C’est faux, je mens vous, j’y ravale des quotients, l’à tes genoux
Pour des cailloux, vous aurez des bijoux, dites vous, dites vous,
On jalouse, c’est un fait ! Est ce qui est fait est fait, c’est tout, c’est tout
D’un rien tu te retiens, c’est lien, c’est bien
Je ne dis plus viens, si des fois
Assis par terre, j’évite la suspension, j’y quémande une voie,
Entre mes doigts j’fais taire l’amère,
Du crachin, le venin, sale et le putain
Dimanche soir. Il fait noir
Mais oui, un noir de chez noir, pas celui du samedi soir
J’fais des pas de là à là, entre mes lèvres un air de d’espoir
Revenons au jeudi, c’est mieux, il est midi
Faut dire, j’ai ma tenue vestimentaire du mardi
Je me trouve, top sexy !
Je ne reviendrai pas. Oui et pas. Sur mercredi, ce qui est dit est dit, c’est ainsi aussi, aussi
Tiens déjà lundi, je m’embarque au volant d’une déesse,
Je délaisse des restes les lests, je reste je reste
Sur ta voix je ne retiens la fin, les muses garent leurs fesses
Elles appellent la messe de ma plume lune sur les éclats des runes
Plus de rue, les avenues s’enfilent les unes avec les autres,
La vitesse passagère, légère, s’installe,
Les iles les on, tous s’en vont.
Les gouttes se brisent, garces ! Elles dessinent, elles te disent
D’une terrasse, des gens sont à table, se repaissent de mes deux mains, bavardent
J’essuie la glace. Des déserts, se racontent sans cesses les mêmes farces
Il y a celui qui prétend la blague en fin
Des voix, voix fortes voix qui pour,
Pour qui, ne pas laisser l’aphasie s’exprimer est un fait.
Plus de route qu’ils réclament en brame
Plus de doute, et les unes et les uns, sont sans gamme
Des formes, je passe les et de cette place, donne
J’ravale ma fable, l’interdit n’est dit.
Bonsoir,
Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.
22:47:[...]
Bonsoir,
Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.
22:47: et quelques autre poussières, ce que nous sommes en somme.
Je suis dans mon atelier, j’imagine ! T’imagines ? Non tu ne peux imaginer mon univers, j’suis bête ! Nous nous connaissons si peu. Déjà c’est peut-être beau… Au vu des apparences, cela doit être à moi de te parler.
delechat
- 国籍: フランス
- 生年月日 : 1966
- 芸術的ドメイン:
- グループ: 現代フランスの芸術家