Carisse Pittura da Delechat
Certificato di autenticità incluso
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Opera d'arte originale
Pittura,
Olio
- Dimensioni Le dimensioni sono disponibili su richiesta
- Categorie Quadri sotto i 1.000 USD
Plaisir
Elle lui glissa comme cela, un regard complice. Encore une fois il n’y résista pas, c’est ainsi les vies, ses barrières craquèrent. Quelle bêtise, d’être dans cet état las. D’un affaissement de tête, prétextant une fatigue soudaine et évidente, l’homme lui fit percevoir son consentement silencieux (lui qui pourtant s’était juré[...]
Plaisir
Elle lui glissa comme cela, un regard complice. Encore une fois il n’y résista pas, c’est ainsi les vies, ses barrières craquèrent. Quelle bêtise, d’être dans cet état las. D’un affaissement de tête, prétextant une fatigue soudaine et évidente, l’homme lui fit percevoir son consentement silencieux (lui qui pourtant s’était juré ne plus jamais… Jamais ! Au grand jamais, replonger dans cet état instable, meublé d’aveux et d’extases qu’on nomme, faute de maux, amoureux). Ainsi, l’affaire devant témoins fut entendue, alors que tout fut sous entendu. Marcos était, de nouveau, au stade des idiots. Maintenant, il ne fallait pas le lui dévoiler! Sinon avec elle, adepte du brillant qu’engendre l’intelligence, il était mort. Faut vous dire, pour tout cracher, elle, Carisse était, à cette époque de son époque, en pleine quête du sempiternel renouveau, plongeoir d’où le croire s’évade des égos, ceux tout de go. Même ! Ses doigts de pieds étaient en éventail, reposant une ultime fois avant de lâcher : « Le sans mi, ni de si, c’est là », déraison du sol, plat rugueux de ce plot conçu pour le départ. Où depuis déjà jadis, elle avait à base d’années à patienter, façonnée ses griffes.
Elle lui glissa comme cela, un regard complice. Encore une fois il n’y résista pas, c’est ainsi les vies, ses barrières craquèrent. Quelle bêtise, d’être dans cet état las. D’un affaissement de tête, prétextant une fatigue soudaine et évidente, l’homme lui fit percevoir son consentement silencieux (lui qui pourtant s’était juré ne plus jamais… Jamais ! Au grand jamais, replonger dans cet état instable, meublé d’aveux et d’extases qu’on nomme, faute de maux, amoureux). Ainsi, l’affaire devant témoins fut entendue, alors que tout fut sous entendu. Marcos était, de nouveau, au stade des idiots. Maintenant, il ne fallait pas le lui dévoiler! Sinon avec elle, adepte du brillant qu’engendre l’intelligence, il était mort. Faut vous dire, pour tout cracher, elle, Carisse était, à cette époque de son époque, en pleine quête du sempiternel renouveau, plongeoir d’où le croire s’évade des égos, ceux tout de go. Même ! Ses doigts de pieds étaient en éventail, reposant une ultime fois avant de lâcher : « Le sans mi, ni de si, c’est là », déraison du sol, plat rugueux de ce plot conçu pour le départ. Où depuis déjà jadis, elle avait à base d’années à patienter, façonnée ses griffes.
Bonsoir,
Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.
22:47:[...]
Bonsoir,
Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.
22:47: et quelques autre poussières, ce que nous sommes en somme.
Je suis dans mon atelier, j’imagine ! T’imagines ? Non tu ne peux imaginer mon univers, j’suis bête ! Nous nous connaissons si peu. Déjà c’est peut-être beau… Au vu des apparences, cela doit être à moi de te parler.
delechat
- Nazionalità: FRANCIA
- Data di nascita : 1966
- Domini artistici:
- Gruppi: Artisti Francesi Contemporanei