AAAAA.jpg (2012) Photographie par Delechat

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  • Ce travail est une "Open Edition" Photographie, Giclée / Impression numérique
  • Dimensions Plusieurs tailles disponibles
  • Plusieurs supports disponibles (Papier d'art, Impression sur métal, Impression sur toile)
  • Encadrement Encadrement disponible (Caisse américaine + sous verre, Cadre + sous verre acrylique)
Break’ you « Je suis un genre de loup solitaire… » murmurent les « hp’s » Sous les croûtes la plaie Sous l’anchois, les doigts Et ils, les pointent désignant, les fainéants Nous, se vantant de ne plus avoir aucune dents Souriants, bon an mal an, trou béant Musiciens, on dit, bon tant[...]
Break’ you

« Je suis un genre de loup solitaire… »
murmurent les « hp’s »

Sous les croûtes la plaie
Sous l’anchois, les doigts
Et ils, les pointent désignant, les fainéants
Nous, se vantant de ne plus avoir aucune dents
Souriants, bon an mal an, trou béant
Musiciens, on dit, bon tant pis
C’est ainsi que vont les vies
On reste « en Si » pourquoi pas ?
Vois d’un mineur le majeur

« Quand tu recevras cette lettre je me serrai jeté par la fenêtre »

M’offrir un palais à Venise
Pour parfois, déménager de la vie d’ici
Par désir, démasquer les masques, des sans plus d’envie.


« Et je sais plus pourquoi je me retrouve sur cette route »

Le départ de mes neuves valises
En premières classes survoler les terres
Loin du réduit des derrières de cuisines
Et avec les ossements de la poésie
Lancer au bouillon les balises
Aux naufragés attardés, peu dire
Et de mon C.. ?

« Oh t’énerve pas »

Va douce folie
Sur les rives rencontre le réduit
Détruit les barges qu’elles s’attardent

« Mais, l’enfant ? »

Des louches avec des yeux
Oublier des vœux l’aveu
Pose en fin les points
Faire bouffer les mains
Arracher les liens

« La nuit promet d’être belle, car voici qu’au fond du ciel apparaît la lune rousse »

Ils regardent à ma fenêtre
Qui sont ces êtres avec des crocs

« C’est pour toi… »


Sans plus de tête, je tinte mes clochettes
Qu’ils dérivent des bouées à ma jugulaire
Que s’ouvrent leurs écoutes assassines
Que je, des gueules, donne les amarres
Des pierres à mon écriture

« si je savais ce que tu as je ferai sûrement tout ce que je peux »

Arrêtant les tortures
Je bannis l’humiliation
Déracinée les désillusions
L’haleine des fleurs clame sans cesses la peine

- Crèves ! Tu me souffles en partant

Tu hais, c’est bon.
T’es contente pauvre pomme.
Je ne trouve plus d’échos à notre époque
Presque la perte d’un des tiens. Te fais jouir
Non applaudissant, en partance mes monstres te gueulent.

« C’est drôle quand il jouait il était comme toi,»

- Pars.
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Bonsoir, Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats. 22:47:[...]

Bonsoir,

Je ne sais, si c’est à moi de te répondre, ou à toi ? Dans notre correspondance pour le moins décousue. Mais bon ! Je brise le silence et tente l’aperçu dans ses éclats.

22:47: et quelques autre poussières, ce que nous sommes en somme.

Je suis dans mon atelier, j’imagine ! T’imagines ? Non tu ne peux imaginer mon univers, j’suis bête ! Nous nous connaissons si peu. Déjà c’est peut-être beau… Au vu des apparences, cela doit être à moi de te parler.

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