La course (2018) Sculpture par Benoît Saison

Vendu par Benoît Saison

Certificat d'authenticité inclus

Œuvre d'art originale Sculpture, Papier

Classification des oeuvres

Œuvre d'art originale

Les œuvres d'art originales désignent toute œuvre considérée comme authentique et non une copie ou une imitation des œuvres originales d'un artiste. Les œuvres d'art originales peuvent être n'importe quel type de peinture, de sculpture, de performance ou d'autres médias. Il existe de nombreux types de supports originaux. Les techniques mixtes comprennent les peintures à l'huile, acryliques et aquarelles. Pour les peintures d'atelier qui témoignent d'un savoir-faire artisanal, cette attribution doit être davantage nuancée. Bien qu'elles puissent être moins précieuses pour différentes raisons, les reproductions et les copies ont eu un impact considérable sur notre expérience. Ils atteignent un public plus large que les originaux et agissent comme un tonique contre la marchandisation. L'œuvre originale pourrait également faire référence à la première œuvre, qui précède toujours toutes les autres. Il peut également faire référence à un prototype ou à un modèle à partir duquel d'autres œuvres peuvent être réalisées. Chaque œuvre présente de grandes similitudes avec l'original.
Dimensions Hauteur 16,1in, Largeur 11,8in / 0.25 kg
Convient pour l'extérieur? Non, Cette œuvre ne peut pas être exposée à l'extérieur

Elle s’y précipite, remplie de désir, pour le rejoindre. Libre. Composition : pages froissées de livres, vide, carton alvéolaire Benoît Saison, Papivore & Co, La course, 2018,Pièce unique À propos de cette œuvre: Classification,[...]

Benoît Saison

France

Né à Calais en 1973, son adolescence est marquée par le début de son parcours
à l’école d’art de Calais, auprès entre autre de Jacques Declercq.
Après un autre chemin professionnel, en 2015 il se consacre pleinement à son univers artistique.

Matière sensuelle et éphémère.
Nu où sa texture s’exprime.
Habillé quand les mots s’y couchent, mais toujours hanté d’une histoire réelle ou imaginaire,
générée du contexte dans lequel je le glane.

Recyclé, dessiné, froissé, collé, estampé, le papier devient aussi volume.

Froisser est parfois symbolique d’échec.
Froisser devient ici la marque d’un instantpositif, d’un état d’esprit au moment de la création,
générateur d’un autre état de la matière.
J’y accueille la sérendipité comme une partenaire de ces instants.

La présence de la marque du geste, du mouvement et de sa trace, est l’axe principal de mon travail artistique.

Brut, je respecte cet état du papier en y apposant parfois qu’un froissé, qu’un geste.
Entre épure et poésie, par une économie de moyens,
je fais naitre l’émotion en détournant le papier de sa destination première.

Les pages d’ouvrages se retrouvent caviardées.
Froissées, elles deviennent abstraites, où la matière reprend ses droits et où les mots s’en mêlent.
Le texte, devient alors à son tour matière, que je malaxe pour exposer mon récit, mes maux, mes espoirs.

Le spectateur devient acteur de l’oeuvre : on échange nos regards, on partage nos points de vue.
Il doit parfois intervenir pour faire naître l’oeuvre et y découvrir son sens.

Se mettre en mouvement, ensemble.

Il vit et travaille à Blériot-Plage - France.