Benoit Delomez
Toutes les oeuvres de Benoit Delomez
2014 - Installations - BOUILLON BLANC/ BALLADE/ DIALOGUE • 3 oeuvres
Voir tout2009/2013 - Photographies - DIALOGUE/OCULI • 11 oeuvres
Voir tout2016 - Photographies - ENTREVUES • 14 oeuvres
Voir tout
Série de 14 photographies
Les prises de vues revisitées des façades d'architectures contemporaines[...]
Série de 14 photographies
Les prises de vues revisitées des façades d'architectures contemporaines ont été réalisées lors d'une résidence d'artiste en Corée du sud à Heyri Art Valley.
Ce travail « Identity » a été commencé précédemment au temple d'Athis de l'Orne avec des photographies d'enfants face contre mur. Ici les enfants questionnent ce lieu, interpellent leur ombre ou bien est-ce celle de l'autre, celui qui est de l'autre côté du mur/miroir...
Les prises de vues revisitées des façades d'architectures contemporaines ont été réalisées lors d'une résidence d'artiste en Corée du sud à Heyri Art Valley.
Ce travail « Identity » a été commencé précédemment au temple d'Athis de l'Orne avec des photographies d'enfants face contre mur. Ici les enfants questionnent ce lieu, interpellent leur ombre ou bien est-ce celle de l'autre, celui qui est de l'autre côté du mur/miroir...
2016 - Photographies - L'ETRANGE POUVOIR DES PETITS RIENS • 7 oeuvres
Voir tout
Installation composée de 42 modules de 100 x 33 - Allée centrale de la nef de l'église Saint-Laurent[...]
Installation composée de 42 modules de 100 x 33 - Allée centrale de la nef de l'église Saint-Laurent à Kairon près de Granville.
2015 - IDENTITY • 7 oeuvres
Voir tout
Des murs/ frontières partout dans le monde ont été un jour construits, coupant l'homme de ses racines,[...]
Des murs/ frontières partout dans le monde ont été un jour construits, coupant l'homme de ses racines, de sa famille, souvent dans la violence et l'obligation d'errance, de fuite.
Au cœur du village de Heyri Art Valley, en Corée du Sud, Benoît Delomez se met en quête d'un lieu, un espace déconnecté de toute fonctionnalité, voire même d'appartenance à un territoire.
Sa déambulation l'amène à sélectionner deux lieux. Comme une évidence, ce mur de béton gris avec ces deux tables renversées l'une sur l'autre ou bien cette bâche plastique recouvrant deux objets mystérieux seront le point de départ de son travail. Le cadrage photographique met en avant les qualités plastiques du lieu, en tant qu' espace de réflexion : interrogation sur la perte d'identité, dualité, miroir.
Au cœur du village de Heyri Art Valley, en Corée du Sud, Benoît Delomez se met en quête d'un lieu, un espace déconnecté de toute fonctionnalité, voire même d'appartenance à un territoire.
Sa déambulation l'amène à sélectionner deux lieux. Comme une évidence, ce mur de béton gris avec ces deux tables renversées l'une sur l'autre ou bien cette bâche plastique recouvrant deux objets mystérieux seront le point de départ de son travail. Le cadrage photographique met en avant les qualités plastiques du lieu, en tant qu' espace de réflexion : interrogation sur la perte d'identité, dualité, miroir.
2011- Photographies - LE VOYAGE D'ALICE • 2 oeuvres
Voir tout2005 - Photographies - Cabane d'eau • 4 oeuvres
Voir tout
Chaque prise de vue a été réalisée dans une salle de bain privée.
Après avoir embué le miroir au[...]
Chaque prise de vue a été réalisée dans une salle de bain privée.
Après avoir embué le miroir au dessus de son lavabo, le maître des lieux y inscrit un mot, puis déclenche et met en scène ainsi son autoportrait.
Lieu d’introspection, tout comme le miroir, image du corps, image de soi, où la pensée peut jaillir, loin du dehors, dans ce « jardin secret » que nous aménageons, tourner en spirale pour être enfin happée, un peu comme le dit Hubert Reeves dans les dialogues du ciel en parlant des trous noirs si mystérieux « ..cette matière tombe vers le trou noir en orbitant autour de lui, un peu comme l’eau quand on enlève le bouchon du lavabo ».
Le miroir ici associé à l’idée de vacuité, cette image peut être lue comme notre « voyage d’Alice ».
Après avoir embué le miroir au dessus de son lavabo, le maître des lieux y inscrit un mot, puis déclenche et met en scène ainsi son autoportrait.
Lieu d’introspection, tout comme le miroir, image du corps, image de soi, où la pensée peut jaillir, loin du dehors, dans ce « jardin secret » que nous aménageons, tourner en spirale pour être enfin happée, un peu comme le dit Hubert Reeves dans les dialogues du ciel en parlant des trous noirs si mystérieux « ..cette matière tombe vers le trou noir en orbitant autour de lui, un peu comme l’eau quand on enlève le bouchon du lavabo ».
Le miroir ici associé à l’idée de vacuité, cette image peut être lue comme notre « voyage d’Alice ».
2003 - Média mixtes - CONTRECHAMPS ET CROISEES • 5 oeuvres
Voir tout
Série de 16 photographies réalisée pour la ville de Saint-Flour (Cantal)
2002 - Rue des images • 5 oeuvres
Voir tout
RUE DES IMAGES 2002
Installation réalisée en Résidence à Saint LÔ - 85 cubes miroirs, photographies,[...]
RUE DES IMAGES 2002
Installation réalisée en Résidence à Saint LÔ - 85 cubes miroirs, photographies, écritures
“ St Lô, ville à l’architecture récente par la force de l’Histoire, vit cependant très intimement avec les traces de son passé. Le lieu que j’ai choisi pour mettre en évidence cette impression, se situe en contrebas de “la rue des images”, à l’entrée de l’une des portes de l’ancienne ville.
J’y ai découvert un ensemble végétal de 85 volumes, presque cubiques, parfaitement taillés, qui venaient rythmer l’espace et me renvoyaient à celui des façades symétriques et massives des années 50 environnantes. Ces topiaires contemporaines servent de support à l’écho de la ville d’aujourd’hui, de son architecture, de ses rues et de ses habitants.”
Sur chaque volume de verdure, un cube de miroir et de verre est installé, transformant ce lieu en un nouvel espace architectural. 85 photographies ont été prises dans la ville par l’intermédiaire de ce cube miroir. Le cadrage, effectué sur les arêtes du cube à la jonction de trois plans/miroirs, nous renvoie aux trois dimensions de l’architecture, et permet la capture d’une image déstructurée de façades d’immeubles, d’éléments architecturaux des années 50 ; ces images ont été ensuite intégrées en transparence dans chaque volume.
Des paroles de la rue, volées et collectées au moment des prises de vues, entraînent le passant à devenir lui-même acteur du projet.
En résonance à la rue des images, l’image des rues, recomposée sur ces cubes, rassemble de nouveaux rythmes, des mots ainsi que des idées d’aujourd’hui, pour être en lien direct avec hier, et peut-être y puiser de sa force.
Les 85 sculptures vivantes, rattachées à la terre, se nourrissant d’elle, de lumière et d’eau, sont également pour lui le support nécessaire dans le travail qu’il poursuit actuellement. A l’inverse de l’architecture organique, qui tend à se fondre dans un environnement naturel, ici le végétal fait le chemin inverse et nous renvoie à l’architecture environnante proposée par l’homme. La présence de ce dernier, metteur en scène des deux composantes végétal/ville, se retrouve également dans ce travail par sa parole gravée dans le verre. Tandis que sur la pointe du miroir les nuages passent.
Installation réalisée en Résidence à Saint LÔ - 85 cubes miroirs, photographies, écritures
“ St Lô, ville à l’architecture récente par la force de l’Histoire, vit cependant très intimement avec les traces de son passé. Le lieu que j’ai choisi pour mettre en évidence cette impression, se situe en contrebas de “la rue des images”, à l’entrée de l’une des portes de l’ancienne ville.
J’y ai découvert un ensemble végétal de 85 volumes, presque cubiques, parfaitement taillés, qui venaient rythmer l’espace et me renvoyaient à celui des façades symétriques et massives des années 50 environnantes. Ces topiaires contemporaines servent de support à l’écho de la ville d’aujourd’hui, de son architecture, de ses rues et de ses habitants.”
Sur chaque volume de verdure, un cube de miroir et de verre est installé, transformant ce lieu en un nouvel espace architectural. 85 photographies ont été prises dans la ville par l’intermédiaire de ce cube miroir. Le cadrage, effectué sur les arêtes du cube à la jonction de trois plans/miroirs, nous renvoie aux trois dimensions de l’architecture, et permet la capture d’une image déstructurée de façades d’immeubles, d’éléments architecturaux des années 50 ; ces images ont été ensuite intégrées en transparence dans chaque volume.
Des paroles de la rue, volées et collectées au moment des prises de vues, entraînent le passant à devenir lui-même acteur du projet.
En résonance à la rue des images, l’image des rues, recomposée sur ces cubes, rassemble de nouveaux rythmes, des mots ainsi que des idées d’aujourd’hui, pour être en lien direct avec hier, et peut-être y puiser de sa force.
Les 85 sculptures vivantes, rattachées à la terre, se nourrissant d’elle, de lumière et d’eau, sont également pour lui le support nécessaire dans le travail qu’il poursuit actuellement. A l’inverse de l’architecture organique, qui tend à se fondre dans un environnement naturel, ici le végétal fait le chemin inverse et nous renvoie à l’architecture environnante proposée par l’homme. La présence de ce dernier, metteur en scène des deux composantes végétal/ville, se retrouve également dans ce travail par sa parole gravée dans le verre. Tandis que sur la pointe du miroir les nuages passent.
Contacter Benoit Delomez
Envoyer un message privé à Benoit Delomez